Arbre couvrant

Hier au soir Hier, le vent du soir, dont le souffle caresse, Nous apportait l'odeur des fleurs qui s'ouvrent tard; La nuit tombait; l'oiseau dormait dans l'ombre épaisse. Le printemps embaumait, moins que votre jeunesse; Les astres rayonnaient, moins que votre regard. Moi, je parlais tout bas. C'est l'heure solennelle Où l'âme aime à chanter son hymne le plus doux. Voyant la nuit si pure, et vous voyant si belle, J'ai dit aux astres d'or: Versez le ciel sur elle! Et j'ai dit à vos yeux:

Identification : Pinson des arbres Le pinson des arbres mâle adulte a les parties inférieures rosâtres avec le bas-ventre blanchâtre. Les parties supérieures comprennent le manteau brun-noisette, et le croupion verdâtre. Deux barres alaires blanches sont visibles sur les couvertures alaires. La queue est gris ardoisé sur les plumes centrales, les autres sont noires avec des liserés blancs. Il a la calotte et la nuque bleu-gris, les joues rosâtres et le front noir. Le bec est gris-bleu en été et

grande partie (dont quatre sont tombés dans le jardin du Professeur Catillon, écrasant au passage une partie du toit de sa maison) ; mais il en reste encore, dont un énorme cèdre qui a perdu ses plus grosses branches lors de la tempête. Craignant qu’un arbre appartenant à son voisin vienne de nouveau endommager sa maison lors d’une prochaine tempête, le Professeur Catillon voudrait bien qu’il soit abattu. D’autre part, Monsieur Belhomme trouvant insuffisant le grillage qui séparait les deux propriétés

arbres, le mouvement était transmis au moyen d'un premier couple d'engrenages par l'arbre primaire ou d'entrée (solidaire de l'arbre moteur) à un arbre auxiliaire situé en dessous de ce dernier et sur lequel était calée - de façon fixe - une série d'engrenages. Le mouvement était ensuite transmis de l'arbre auxiliaire au troisième arbre, le secondaire (arbre de sortie), relié au couple conique et au différentiel. L'arbre secondaire était situé dans le prolongement du primaire. Ses pignons pouvaient

Commentaire composé semi-rédigé niveau Lycée sur un extrait situé au début de l'ouvrage dans la section La Petite toute seule (II, III, V) de l'oeuvre Les Misérables de Victor Hugo : la petite Cosette est contrainte, par une nuit d'hiver, d'aller chercher de l'eau au milieu de la forêt. Le passage étudié s'étend de "L'enfant regardait d'un oeil égaré cette grosse étoile ..." à "... un bruit d'agonie sous leur voûte monstrueuse". Extrait: Le noir envahit tout - Au tout début de l'extrait

J’ai demandé à mon frère Blaise de me fournir des couvertures, des cordes, des vêtements, une épée… J’ai inventé un système pour avoir de l’eau pour boire et me laver ; une gouttière était mise dans une cascade d’eau elle était accrochée dans un arbre plus bas, je pouvais ainsi me laver. « -Mais comment faisais-tu pour te nourrir ? me demanda Don Périclès -J’allais justement te le dire. » Je mangeais tous les fruits que je trouvais, j’en volais même dans les vergers des voisins. J’avais adopté

Louna marche lentement, tête baissée, concentrée sur son clavier de téléphone portable. Tout à coup, elle lève la tête. -« Oh non ! J’ai oublié mes affaires de sport ! » Elle se tourne, prête à courir vers la maison. Mais elle s’arrête sur place, le regarde troublé. -« Mais où suis-je ? » se demande-t-elle. La rue habituelle n’est plus la même. Les maisons, les buissons et les voitures garées au bord du trottoir ont disparu. Elle fait un tour sur elle-même ; cet environnement familier s’est

existe plusieurs types de tailles pour les arbres comme la taille en tonelle ou celle en pyramide par exemple. Sur le schéma de droite on remarque que la coupe d'un rameau favorise les points de croissances qui restent . Comment pousse un arbre ? Les arbres croissent parce que, comme tous les être vivants, ils fabriquent continuellement de nouvelles cellules, du moins durant la saison de croissance. Ces nouvelles cellules, ou ces cellules vivantes s’appellent le cambium (le cambium n’est

désastre humain :pour les forestiers ; pour les amoureux ; pour nous tous. Arbre= " mémoire vivante " Mort d'un arbre = tristesse car mort d'un témoin de l'histoire, d'un témoin des réunions de famille (description : "gisent à terre, racines dressées …" P.2 Cause = catastrophe naturelle. | | | Conséquences : Déforestation massive Désordre écologique. *Il faut rétablir l'équilibre pour survivre P.3 | *étymologie du mot arbre qui évolue entre " fertilité " et " construire)P.1 *étymologie qui prend

seulement troublé par de discrets sanglots qui s’égrenaient par une fenêtre du chateau… On dit que depuis, un petit roi erre dans la forêt, l’âme en peine, les yeux rougis, le manteau arraché, et qu’il reste de longues heures devant le tronc calciné d’un arbre en forme de couronne...