ArcGIS

permet de connaître les types de transformation et le prix des prestations qui existent sur le marché (Voir annexe n°1, et carte n°1 ci-dessous). Carte n°1 : Localisation des ateliers de transformation existants dans le Languedoc-Roussillon (Source : ArcGIS, logiciel SIG (*)). # Atelier CFPPA Florac # # Atelier Verfeuille Atelier Fruitier des Cévennes Pays Larzac Coeur d'Hérault # Atelier Epicurien Clermont-L'Hérault # Échelle : 50 km # Atelier Jardins de la haute vallée Atelier

Les logiciels de DAO (Dessin Assisté par Ordinateur) sont principalement utilisés pour la cartographie. Une recherche sur Internet nous a permis d’étudier les différents progiciels de dessin et de cartographie suivants : ▪ ArcGIS – ArcInfo (Esri): Logiciel haut de gamme le plus utilisé sur le marché et le plus cher. Très puissant. Interface peu conviviale. ▪ Auto Cad (Autodesk) : Probablement le plus utilisé. Originalement conçu pour le dessin industriel.

très pragmatique du sujet, sans réelle définition. Il s’agit plus d’une opportunité de coller aux sources existantes : BD Topo®. La tache urbaine est construite sur la seule base de la couche bâtie avec des géotraitements facilement automatisables. ArcGIS BD Topo® 1976, 2002 et 2007 Source : 1/ 25 000e Restitution : 1/ 10 000e maximum Approche de l’environnement « urbanisé » par la définition d’une zone tampon de n mètres autour des bâtiments (5 m, selon l’approche fiscale moyenne de la propriété bâtie)

de se munir d’un outil de catalogage et d’aide à l’administration, la pénurie à l’heure actuelle de solution « clé en main » pour petits budgets et système autre qu’Oracle, SQL Server, informix (par exemple une solution équivalente à REPORT V2) ou ArcGIS, …ont motivé le GIP Loire Estuaire à faire appel à un stagiaire dont la mission consisterait d’abord à paramétrer, tester, évaluer et ensuite adapter une solution de gestion de métadonnées respectant la norme ISO 19115 de métadonnées spatiales

soit pas cher. La demande de ces produits (SIG) est faible par rapport à d’autres produits tels que les logiciels bureautique ou à usage fréquent ce qui implique un prix assez élevé. Il existe néanmoins d’autres produits dans le commerce tels que : ArcGis, ArcView, Geomatica, Geomedia, Geoconcept, Mapinfo, Spring … La majorité de ces outils sont assez riches en fonctionnalités mais le coût de leurs licence ainsi que celui de leur support technique incitent à la réflexion… Concernant les outils libres

forme graphique ou numérique afin d’étudier leurs particularités (Concordet in Andry, 2010) ; ainsi les données récoltées sont saisies sur Excel puis traitées avec le logiciel SPSS par l’analyse descriptive et la carte est obtenue grâce au logiciel Arcgis. QUATRIEME PARTIE : RESULTATS ET DISCUSSION 4.1 Principales sources d’énergie A l’issue de l’enquête, six combustibles domestiques ont été inventoriés (tableau 3) : Tableau 3 : Combustibles domestiques utilisées par les

(client) par l’intermédiaire du mapfile affichant la carte dans une interface accessible sur Internet. Par ailleurs, on voit apparaître des modules Open Source qui se greffent sur les grands SIG commerciaux comme Amein maintenu par Terrestris pour ArCGIS 8 et Wortomap développé par Tydac utilisable avec MapInfo 7.8, qui lui permet d’exporter le mapfile du SIG pour afficher la même carte dans une interface MapServer. A ce stade encore primaire, les solutions «libres» proposées ne sont que des prototypes

changements suivants : • l’hébergement des applications scientifiques par la DSI ainsi que la mise à disposition de licences ESRI (SIG ArcGIS), financés sur budget DSI, iront vers une communication des coûts aux unités puis à terme vers une éventuelle refacturation aux unités ; • la DSI continuera à assurer l’animation de la communauté des utilisateurs ArcGIS, mais l’objectif d’homogénéisation des outils de gestion des données géographiques à l’IRD relèvera de la DGD-S ; • l’offre de formation

fichiers ShapeFile en mode lecture-écriture; .mxs — un index de codage géographique pour les fichiers ShapeFile en mode lecture-écriture (format ODB); .atx — un index d'attribut pour le fichier .dbf sous la forme d'un fichier shapefile.columnname.atx (ArcGIS 8 et versions ultérieures); .shp.xml — métadonnées au format XML; .cpg — format utilisé pour préciser la page de code 56 (seulement pour les fichiers .dbf) afin de déterminer le codage de caractères à utiliser. Le format ShapFile constitue la norme

contours à l'aide de l'outil Main levée, puis ajuster les contours selon leur élévation et utiliser l'outil Bac à sable à partir des contours pour créer une surface TIN. Importer une surface TIN à l'aide du module SketchUp ArcGIS, disponible sur http://www.sketchup.com/markets/gis.php. ArcGIS constitue une suite de logiciels standard SIG (Système d'information géographique) destinée au traitement d'informations géographiques telles que l'emplacement de bâtiments au sein d'un système de coordonnées global