Archétype Amérindien

Dans notre entreprise, nos intrants sont les activités et les ressources (humaines, matérielles, financières) utilisées pour exécuter des activités, produire des extrants et atteindre des résultats. En effet, notre savoir-faire et nos connaissances concernent notamment les quantités d’ingrédients nécessaires et les étapes à suivre pour réussir nos recettes. Nos ressources matérielles se divisent en deux parts : d’une part le matériel, c’est-à-dire les bols, les ustensiles, l e réfrigérateur et ses

principal 1 Dans les deux textes, les sauvages sont présentés de manière très similaire, puisqu’ils sont introduits comme des personnes innocentes de la vie extérieure. Sous-argument 1.1 Sous-argument 1.2 D’abord, dans le texte de Cartier, les Amérindiens sont inconscients de ce qu’ils leur arrivent et ils se laissent influences par les Français. Celui de Lahontan, les sauvages sont associés à des personnes qui ont toujours vécu dans la pauvreté et ils croient qu’il en a d’autres comme eux.

Barbades »). Le Huron paraît être quelque chose d’insolite et d’exotique. Cela est renforcé lorsqu’il dit « Je suis Huron », c’est un dépaysement total pour les Kerkabon. Ici l’abbé et sa sœur qui n’ont jamais quitté la France sont opposés à un Amérindien aventurier (« il était curieux », « il était venu et allait s’en retourner ») et malgré leur dévotion, se laissent séduire par un étranger qui n’a pas l’air d’être aussi religieux qu’eux. Dans ce texte, Voltaire fait donc la satire de l'Église

(point positif), ces fronts pionniers, et les occupations humaines permanentes qui en découlent, sont source de nombreux savoirs populaires, concernant les richesses de la forêt et comment les utiliser. Si on additionne les savoirs des populations amérindiennes et les savoirs acquis localement par les migrants, on dispose déjà, concernant l’utilisation durable des ressources forestières, d’un capital de connaissance considérable qu’il faut se donner les moyens d’utiliser.

Indes. L’année 1492 est celle où Christophe Colomb découvre l’Amérique. Elle marque habituellement la fin du Moyen Age et l’avènement de l’époque moderne. les Européens assoiffés d’or s’imposent en conquérants face aux différentes populations amérindiennes qui y résident depuis plus de 30 000 ans. L’expansion européenne s’effectue en moins de 50 ans. I Christophe Colombe Christophe Colomb était un navigateur italien né à Gênes (Italie) en 1451 et mort à Valladolid (Espagne) en 1506. Il est

Pour accepter les autres, il ne faut pas forcément les accepter comme ils sont, comme ils se montrent à nous avec leurs qualités et leurs défauts. Accepter les autres, c'est accepter qu'ils aient un mystère qu'on ne connaît pas et un avenir qui pourra les transformer. Les accepter, c'est donc un acte de foi et un acte d'espérance.  Accepter les autres, une méthode pour mieux vivre. En n'aimant pas les autres comme ils sont, nous nous faisons souffrir nous-mêmes. Nous dépensons beaucoup d'énergie

pré-coloniale[modifier | modifier le code] Nezahualcoyotl, était le seigneur de la ville de Texcoco et un dirigeant amérindien a l'époque de l'Amérique précolombienne. Avant sa découverte par les Portugais en 1500, on estime que le territoire actuel du Brésil (la côte orientale de l'Amérique du Sud), a été habité18 par environ deux millions d'amérindiens, répartis au nord et au sud19. La population amérindienne a été divisée en grandes nations autochtones composées de différents groupes ethniques parmi lesquels

des groupes de chasseurs nomades sont passés de l'Asie en Amérique. Au fil des millénaires, les Indiens s'installent partout du Nord au Sud. Les différents peuples et Leurs vie au quotidien : Vivant en symbiose avec leur milieu naturel, les Amérindiens dépendent en effet des conditions climatiques et des ressources. Dans les régions arctique et subarctique, il s'agissait de la pêche. Le travail du bois de thuya (totems, masques), de la vannerie et du tissage étaient aussi très développés. Le Grand

Il parle de la situation des indiens d’Amérique après la colonisation de leurs terres par les espagnols. Il évoque le mauvais traitement qui leur est infligé par les colons. D’après ce qu’il a vu, beaucoup d’atrocités sont commises sur le peuple amérindien.   Vient le tour de Sepùlveda qui défend sa position contre les indiens d’Amérique. Dans son discours, il affirme que ces indiens sont des créatures que Dieu ne reconnaît pas. Pour lui, s’il y’a la guerre, c’est uniquement par la volonté de Dieu

l'Amérique par Christophe Colomb en 1492. Le terme est fréquemment employé dans l'historiographie espagnole et portugaise. Todorov souhaite comprendre comment le « Je » découvre l'« Autre » en étudiant les circonstances ayant présidé à la découverte des Amérindiens par les Espagnols. Cet épisode historique a une valeur paradigmatique car il s'agit de la « rencontre » la plus intense de l'histoire (elle aboutit au plus grand génocide connu) et parce qu'il fonde notre identité moderne en nous projetant dans