Arctique

activités ? C’est autour de ces questions que nous conduirons nos réflexions dans cette étude du thème « le désert : un espace à conquérir ». I. LES TYPES DE DESERT La typologie de MoniqueMainguet propose : 1) Les déserts polaires froids Ces zones (arctique et antarctique) reçoivent en effet peu de précipitations, à cause de la présence de cellules anticycloniques. La glace empêchele développement de la végétation dans le domaine subpolaire désertique. La toundra apparaît dans le domaine subpolaire

cette région riche en hydrocarbure, et en minerais avec le plomb, le zinc, l’ or, l’uranium, l’argent ) Dans le doc 12p199 : La fédération de Russie a annoncée qu’elle est en droit de revendiquer près de 1,2 million de km carré de superficie en Arctique en plus de sa ZEE = Zone Economique Exclusive (cette zone peut receler 10 milliards de tonnes d’hydrocarbure) En effet il y a de plus en plus de demande de ressources naturels il faut donc trouver et exploiter de nouveaux gisements. Les progrès

polaires est en train de disparaitre, suite à la fonte de la banquise liée au réchauffement climatique. Il est possible de suivre l'évolution de la banquise et la disparition des barrières géographiques liées au réchauffement climatique dans l'océan arctique grâce à des observations réalisées par satellites. En effet, sur le site de Cryosphere Today, du groupe de recherches polaires de l'université de  l'Illinois, les observations satellitaires du National Snow and Ice Data Center permettent de visualiser

donc de la reproduction et de la croissance. - Malformations congénitales chez les oursons. - Anomalies de développement. - Affaiblissement du système immunitaire. Le réchauffement planétaire risque de contribuer à la pénétration dans la zone arctique de virus et de bactéries contre lesquels les ours blancs n'ont pas d'immunité Et concernant l’habitat, la banquise est le territoire de chasse de l’ours polaire et sa diminution engendre une sous-alimentation et des périodes de jeûne de plus en

l’habitat  naturel  de  l’ours  polaire,  menacé par le changement climatique.    Les ours polaires apparaissent pour la première fois en 1922.  Avant 2011, Coca­Cola a versé plus de 1 million de dollars au WWF afin de « soutenir » sa  recherche en Arctique et ses efforts de conservation.    2. La famille attendrissante    On y voit une maman ours entourée de ses 2 petits oursons.  ● La  maman  est  bienveillante  à   l’égard  de  ses  petits  ​ (posture  et  regard  doux  posé  sur ses enfants, et une main sur l’épaule)  

hivers moins froids mais plus nuageux, tandis que la probabilité de vagues de chaleur sévères serait accrue. Les pluies intenses seraient plus nombreuses, de même sans doute que les tempêtes. A cause de l’augmentation des températures les régions arctique et antarctique se réchauffent. Le Groenland et l’antarctique pourraient fondre rapidement, ce qui entraînerait une élévation du niveau de la mer d’au moins deux mètres. De plus, les glaces réfléchissent les rayons du soleil, limitant ainsi le réchauffement

Climat subarctique : C'est un climat intermédiaire entre climat tempérée et climat polaire. Permagel : Zone du sol ou du sous-sol gelé en permanence et complètement imperméable, dans les régions arctiques et subarctiques. c) La position géographie et le sol de la Taïga La Taiga s'étend du cercle polaire arctique du 45ème parallèle nord pour la part la plus méridionale au 70ème parallèle nord pour la part la plus septentrionale Or, elle est principalement localisée dans le nord, ce qui explique le froid

qu'elle n'atteigne leur territoire. C'est là que voit le jour le début de la construction de la dernière ligne de radars: la Distant Early Warning line (DEW) (ligne avancée d'alerte précoce). Ces stations de radars avancés se situaient dans la partie arctique du grand nord canadien, dans la côte nord de l'Alaska, sur les îles Aléoutiennes, sur les îles Féroé, au Groenland et sur l'Islande. Sa construction fut entamée le 15 février 1954 quand le président des États-Unis, D. Eisenhower signa une loi qui

le reflet de l’imagination de l’Homme. Leurs couleurs vives et très rapide ont grandement influencé sur la vie des peuples boréens. On parle même de « Chant des aurores » car il serait possible qu’elles émettent un son. Chez les Sâmes, un peuple arctique de Laponie, il ne fallait pas se moquer des aurores boréales sous peine d'être entraîné vers les cieux ou d'être brûlé vif. Ils y voyaient aussi un bon présage pour des conditions météorologiques plus clémentes. Les Finnois associaient le phénomène

façon comparative ou même analytique. Dans ce cas en particulier, l’exposition est structurée dans un ordre chronologique, débutant avec le lancement du satellite Spoutnik par l’Union soviétique en 1957 et terminant par l’exploration de la région arctique de la planète Mars, par la station météorologique canadienne Phoenix en 2008. L’évolution devient assez claire pour le visiteur dès le début. Une fois la lecture du panneau introductif effectuée, le visiteur est invité à faire le tour de la première