Arearea

point reconnaissables que, malgré le mauvais état de la toile, il était impossible de s’y tromper. » Parmi les nombreux tableaux tahitiens de Gauguin pourraient par exemple être cités : Femmes de Tahiti (Sur la plage), 1891, musée d’Orsay, Paris Arearea (Joyeusetés), 1892, musée d’Orsay, Paris Fatata te miti (Près de la mer), 1892, National Gallery of Art, Washington Matamoe (Le Paysage aux paons), 1892, musée des Beaux-Arts Pouchkine, Moscou Pastorales tahitiennes, 1893, musée de l’Ermitage, Saint-Pétersbourg

Plus c'est en volume devant plus on va derriere et vice versa. Vairumati 1897 ; la on trouve des jeux qu’on a déjà vu, fourmillement de couleurs chaudes, touche tres variée. La on quite le domaine du mimetisme au profit d’autres choses. Aréarea 1892 ; construit comme un puzzle, dans la verticalité plus que dans la profondeur, meme si la encore il creuse l’espace, mais la ce que le spzintees d’apres vont retenir, c'est la verticalité, la profndeur, la bidimensionalité pluto que l’illunionnisme

domaine de la critique d’art, u article publié par Jean Aurier dans le Mercure de France en 1801 Le symbolisme en peinture. Il s’occupait de l’œuvre de Gauguin et livrait une définition qui devrait s’appliquer + généralement à l’art symboliste. Arearea œuvre de Gauguin avec recherche d’un ailleurs primitif passant d’abord chez Gauguin par la Bretagne puis ensuite à Tahiti. Dans cet article il définit l’œuvre d’art symboliste en 5 points : l’œuvre d’art sera premièrement idéiste puisque son idéal

bananes, 1891. Travail de nature morte synthétique, simplification. Coté artificiel de la composition. Les enfants n’ont pas l’air à leur place : regards fuyants, ils ne mangent pas → sentiment inquiétant. Nappes blanches épaisses // Cézanne. · Arearea OU Joyeusetés, 1892. Motif récurent : femmes polynésiennes assises, chien rouge. Arrière-plan : motif imaginaire. Couleurs pas naturelles pour susciter l’émotion. Fantasme de Polynésie, ce n’est pas la réalité. Cloisonnements des plans, écrasement

chez les Fauves ». Le nom Fauvisme leur restera alors attribué. Nul lien réaliste n’attache la couleur au motif représenté et seul le dessin simple et synthétique permet l’identification. Ils se rattachent en cela aux expérimentations de Gaughin (Arearea) avec ses plages roses et ses prairies écarlates mais ils généralisent le concept. Ils utilisent donc des couleurs violentes en larges aplats, dont le choix est essentiellement guidé par l’instinct. Les artistes sont : * Henry Matisse (la femme

ia oe * Te tairite C G7 F C C7 Fa’aro’o mai na oe Tika tuhoki au taku tairi - te C F I teie reo iti ha’eha’a Ua taha te mahana G7 Te pi’i atu nei au ia oe E horo a vau C Pa’i’uma mai oe i roto Takupapai ava e G7 G7 C Haere taua arearea Mata heko te otuera (bis) G7 (fin) Pakakina te to’ao ki tua te kohera e C Mata heko te otuera * C * Pakakina te to’ao ki tua te kohera e C E ao noa ae o teie po G7 Apiti faa’hou o taua e Mai te huru C I te tau matamua ra e * C Topatopata