Areva TA

de 6 920 M€ en 2010 à 3 854 M€ en 2006. Un CA de 7 000 M€ est attendu pour 2011. Le premier producteur français sont Areva et Alstom. Areva (géant nucléaire français détenu à 80% par le Commissariat à l’Energie Atomique) qui a pris le contrôle de l’entreprise allemande Multibrid pour 75 M€, Areva à d’ailleurs acquis la totalité du capital restant de la société Multibird. Areva s’est positionné stratégiquement sur le marché de l’offshore et des machines de 5 MW. Alstom, qui a acquis l’entreprise

également une volonté de dépasser les différences culturelles afin de rendre le partenariat compatible au niveau opérationnel. Enfin, un climat de confiance entre les parties prenantes doit régner. Par ailleurs, Bouygues souhaite vivement qu’Alstom et Areva, leader mondial du nucléaire, fusionne d’ici peu afin de pouvoir aussi se développer dans ce type d’énergie. (cf piste de déploiement) III. Les pistes de déploiement A. Renforcement des activités en Europe En ce qui concerne le premier axe

génération, surgénérateurs), et leur disponibilité n'est pas soumise aux mêmes aléas géopolitiques.       • L'uranium se situe en effet dans des régions du monde très diversifiées : Canada, Afrique, Australie, Asie centrale. En outre, le groupe français Areva est associé à la propriété et à l'exploitation d'importants gisements d'uranium dans ces régions.       • Le prix de l'uranium, peu élevé, n'intervient que pour environ 5% dans le coût total de production du KWH électrique (contrairement aux combustibles

françaises est très important et sont présentes aux premiers rang mondiaux dans plusieurs autres secteurs de l'industrie et des services : le bâtiments et les transports publics (Bouygues, Vinci), les matériaux de constructions (Lafarge), l'énergie (Aréva), les transports (Alstom), les télécommunications (Alcatel), l'agro-alimentaire (Danone), les cosmétiques (L'Oréal), les pneumatiques (Michelin),le tourisme (Club Med, Accor) etc. Ils parviennent à conquérir des marché à l'exportation, à s'implanter

l'a dramatiquement rappelé. • (Pro) 3/Cela n'empêche pas les défenseurs de l'atome d'affirmer que la technologie actuelle est capable d'apporter une sécurité sans faille, notamment en cas d'accident grave. L'EPR de 3è génération construit par Areva est par exemple censé pouvoir résister à la chute d'un avion ou encore à des inondations puissantes, ce qui n'était pas le cas du réacteur japonais. 2/ Force est de reconnaitre que l’homme est en constante évolution et cette évolution s’accompagne

économique reste massive, aspect technique, import de technologies. Congrès de la Baule. Enjeux stratégiques : pays du Maghreb (ressources agricoles du Maroc et Tunisie, énergie en Algérie), Afrique noire : pétrole du Gabon, l’uranium du Niger par Areva. Relation très asymétrique, 5% du commerce avec la France. Sur le plan militaire La Françafrique est des contrats très nombreux avc des pays, bcp d’interventions, avc peu d’efficacité (cas du Rwanda). 5 bases militaires permanentes, Djibouti

Les enjeux d’aménagement 17 La bataille de la reconversion et de la compétitivité : Creusot Forge et Areva en Saône-et-Loire Le Pôle nucléaire de Bourgogne (PNB), classé pôle de compétitivité depuis 2005, est un pôle industriel et de recherche métallurgique qui emploie 7 000 salariés répartis dans 72 entreprises et cinq centres de recherche. Les principaux membres sont Areva, CEA, EDF, Ensam, IUT Chalon et Le Creusot, Université de Bourgogne, Sfarsteel, Valinox Nucléaire. Source :

plus laisser indifférents Vinci, Bouygues et Eiffage. Dépollution sous-marine, mesure de la qualité de l’air... Inspection des ouvrages d’art (ponts, barrages], pathologies des bâtiments, gestion améliorée des grands chantiers. Total, Areva, Cerap (Suez Environnement), GrDF Magrez (viticulture), chambre d’agriculture de la Somme Analyse spectrale de la végétation, mesure du stress hydrique et de la présence de maladies dans les cultures, optimisation des intrants, calcul du volume

manœuvre nationales ou continentales sont réelles. On peut même considérer que le rôle de l'Etat est aujourd'hui une question géoéconomique et géopolitique centrale de la mondialisation. Ainsi, les Chinois vont faire leur TGV seuls. Ils font appel à Areva pour le nucléaire, à Airbus pour l’aéronautique mais dans 20 ans, ils seront capables de faire la même chose que nous aujourd’hui. Si on analyse la structure des 100 premières transnationales, on constate que leur marché national reste essentiel et

nucléaire (ASN), formulées à la suite des évaluations complémentaires de sûreté (ECS) réalisées au lendemain de l’accident de Fukushima (cf. encadré ci-après). Les dépenses consenties du fait de ces prescriptions s’élèveraient à 200 millions d’euros pour Areva ; le Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies renouvelables (CEA), quant à lui, a prévu une enveloppe de 289 millions d’euros à cet effet pour les années 2012 à 2019. Les montants susmentionnés font clairement apparaître que le « coût » de