Argument Libertinage

tragdie. La gloire politique triomphe sur lAmour.Un libertin habile sort dun mauvais pas. Comment Dom Juan parvient-il transformer une situation apparemment inextricable en un morceau de bravoure rhtorique Il choisit aucune des femmes et choisit son libertinage, sans dilemme. Mme de La Fayette est lorigine dun roman considr comme la perfection de lart narratif classique. Sa vertu triomphe sur lAmour quelle ressent pour le duc de NemoursLe quiproquo comique de Marivaux permet de comprendre le dbat fondamentale

pathétique) : « Hélas ! que ne le marquais-je un jour plus tôt ! » Le jeune homme déplore après coup d’ avoir rencontré Manon car il n’aurait pas sombré dans le libertinage et la dépravation ; le conditionnel passé montre cette alternative : « j’aurais porté chez mon père toute mon innocence ». Des Grieux introduit dans son récit le personnage de Tiberge, son ami, sorte

dans sa coquetterie comme on vivrait dans l'état le plus décent et le plus ordinaire.Telle était notre maîtresse, qui menait ce train de vie tout aussi franchement qu'on boit et qu'on mange; c'était en un mot un petit libertinage de la meilleure foi du monde. Je dis petit libertinage, et c'est dire ce qu'il faut; car, quoiqu'il fût fort franc de sa part, et qu'elle n'y réfléchît point, il n'en était pas moins ce que je dis là. Du reste, je n'ai jamais vu une meilleure femme; ses manières ressemblaient

vraisemblance. De plus, les comédies classiques ont un dénouement heureux ; ce qui n’est pas le cas dans Dom Juan. Le dénouement ici appartient plus au baroque ; un autre mouvement littéraire. Dans cette comédie on peut observer plusieurs thème comme le libertinage, l’amour, la religion, la société. Dans l’acte III, la scène 2 présente Dom Juan, Sganarelle et le pauvre. Egaré dans une forêt, Dom Juan et son valet Sganarelle font la rencontre d’un pauvre à qui il propose de lui donner un louis en échange d’un

réplique pleine de condescendance ‘‘vous ne connaissez pas Monsieur, bon homme’’ Nous allons voir maintenant que Dom Juan essaie, à travers cette remise en cause des mystères de la charité, de prouver l’inexistence de Dieu. Dom Juan reprend un argument célèbre qui a été énoncé par le poète Malherbe (1555-1628) ‘‘Si le pauvre prie le Ciel pour les riches, alors pourquoi est-il toujours pauvre ?’’ grâce à ‘‘un homme qui prie le Ciel tout le jour, ne peut pas manquer d’être bien dans ses affaires’’

moralisateur, Sganarelle, qui s’offusque de l’attitude provocatrice de son maître. Dans cette scène d’exposition, Dom Juan réplique donc vigoureusement et effectue une éloge de l’inconstance. Il s’agira ainsi de se demander en quoi le héros prône t-il le libertinage à travers sa perception singulière de l’amour : derrière ses visions particulières et une stratégie persuasive se cache le portrait d’un véritable libertin. Dans un premier lieu, dans son discours, Dom Juan exprime sa vision singulière

texte : présence marquée du champ lexical du commerce + emploi de majuscules Argument n°1 l.3 à 13 : la puissance maritime de l’Angleterre résulte du commerce ( démonstratif « c’est » à valeur de présentatif = montre le commerce est déterminant dans la maîtrise des mers par les Anglais ( expression du nombre (« trois flottes à la fois ») = représente la puissance de l’Angleterre hors de ses frontières Argument n°2 l.14 à 22 : le commerce procure à un état sa puissance militaire terrestre

la lettre LXXXI, de la Merteuil à Valmont, nous nous situons au coeur de l'oeuvre, au moment où le pari devient lutte. La marquise affirme d'emblée sa supériorité sur le vicomte (et sur toutes les autres femmes), et la soutient par de nombreux arguments. Ce faisant néanmoins, elle dévoile les clefs de son personnage complexe, et peut-être jusqu'à ses failles. Ainsi elle établit une relation ambigüe avec son ancien amant. Madame de Merteuil amorce sa lettre avec un ton plus que condescendant

semble cependant que Molière n’ait eu connaissance que des versions italiennes et françaises9. Cette pièce s’inscrit dans un projet de Molière de « dénoncer les vices du siècle »10, en particulier l’hypocrisie. Elle est une réflexion sur le libertinage et ses excès. Molière est adepte de la libre-pensée, mais respecte les convictions religieusesnote 2. Il s'attaque principalement à toute forme d'hypocrisie, que ce soit celle du dévot ou celle du libertin. En présentant un libertin foudroyé par

Caractères ou le mœurs de ce siècle . En réalité il doit peu de choses à cet auteur, et son livre est très supérieur à celui de l’écrivain grec. Ainsi, malgré lui, même s’il combat les modernes, la qualité de son ouvrage, leur fournit un argument supplémentaire. L’ouvrage a connu 8 éditions différentes, et s’est enrichi, au fil des années, de touches successives. Il comprend en tout 16 Livres  : · Les quatre premiers peignent l’Homme