Argument Libertinage

-l'antisémitisme -la barbarie nazie -les génocides -les crimes liés au colonialisme -guerre mondiale -les crime contre l'humanité dans le bloc soviétique. *Stratégies argumentatives : -Convaincre : s'appuis sur la raison,tous repose sur la force des arguments. -Persuader : c'est jouer sur les émotions et donc on fait appel aux sentiments . -Délibérer : c'est la confrontation de plusieurs thèse(c'est peser le pour et le contre). *L'éloquence : C'est l'art de bien parler devant un auditoire,dans

maladie), le mal est dans les institutions, surtout religieuses. Critique de la religion, satire des prêtres : le libertinage de frère Giroflée, le jésuite, l’abbé Périgourdin. Voltaire dénonce la complicité entre le pouvoir politique et l’Eglise. Critique de toutes les formes d’injustices et d’arbitraire, de la violence, de l’esclavage, de la violence à l’égard des femmes, du libertinage, de l’immoralité. Critique de la classe aristocratique, critique des médecins. Cela reflète l’esprit des Lumières

arrivée en plaçant un autre décor comme une autre ville ou en présentant de nouveaux personnages tels que Pierrot et Mathurine dans l’acte II scène 1 : « Nostre-Dinse, Piarrot, tu t’es trouvé là bien à point. –Aga, guien, Charlotte ». Le dernier argument montrant que Dom Juan est au centre de l’intrigue est qu’il joue un rôle majeur dans toutes les actions et fait progresser l’histoire en séduisant tour à tour les demoiselles qu’il rencontre sur son passage et qui lui apporteront des ennuis « Ah 

que je vais analyser apparaît dans le premier acte, plus précisément, il s’agit de la deuxième scène. Deux personnages sont présents sur scène : Dom Juan et Sganarelle (son valet). Ils sont en train de discuter sur le mode de vie de Dom Juan (libertinage) et celui-ci essaye d’expliquer à son valet les raisons pour lesquelles il agit de cette façon. Par contre Sganarelle essaye de faire comprendre à Dom Juan que la méthode de vie qu’il suit n’est pas du tout la correcte, qu’il sera puni par Dieu

finale « le maintien de la constitution, des bonnes mœurs et aux bonheurs de tous », ainsi sont évoqués l’équilibre entre droits et devoirs, l’accès aux institutions politiques et le respect des bonnes mœurs (habitude de vie) encore inabouti. · Un argument plus politique et polémique est énoncé dans ce préambule à l’aide d’une gradation de termes péjoratifs : « l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de la femme, sont les seules causes des malheurs publics ». L’homme ne peut donc espérer atteindre

deux jeunes femmes, la jeune Cécile de Volanges et de la pieuse Présidente de Tourvel , par deux libertins: la marquise de Merteuil et son acolyte, le vicomte de Valmont, deux manipulateurs et libertins. C’est un roman inscrit dans la tradition du libertinage de mœurs, mais aussi un roman d'analyse psychologique dans la lignée de Julie ou la Nouvelle Héloïse de Jean-Jacques Rousseau publié en 1761 (qui est d'ailleurs cité dans notre extrait). Le texte proposé est la lettre XXXIII entre la marquise de

Par quels procédés Ronsard persuade-t-il Hélène, et aussi son lecteur, de profiter sans plus attendre de la vie ? En quoi peut-on dire que ce texte fait la défense d'une thèse philosophique, et laquelle? Quelles stratégies utilise Ronsard pour argumenter, et dans quel but? 2- MONTAIGNE , Essais, 1580-1595, « Que philosopher, c’est apprendre à mourir », livre I chap XX, de « Ils vont, ils viennent, ils trottent, ils dansent, de mort nulles nouvelles. » à « Le savoir mourir nous affranchit de toute

: « je lui en prépare de plus efficaces » (l.57) → il est prévoyant, il planifie. Il adopte une attitude religieuse en allant à la messe (l.67-68). C'est un maître du langage : il est érudit (il cite La Fontaine), il est cultivé (il utilise un argument d'autorité : La Fontaine l'a dit alors c'est vrai ; il prend pour exemple de grands modèles). De plus, il sait utiliser la flatterie et l'euphémisme (ex : il flatte Merteuil pour éviter qu'elle s'énerve). Il sait également pervertir le langage

continent, fr = langue universelle dvp des cafés et de la presse siècle de la recherche et du bonheur: “le rire est le propre de l’homme”_Rabelais bonheur dans la nature et la culture + quête du bonheur qui passe par la recherche des plaisirs privés libertinage = mvmt social de l’aristocratie ODG imprégnée par ces idéaux qui sont dans l’air du temps: raison, nature, bonheur = modernité d’ODG Cours sur la DDFC: recherche d’une harmonie sociale + cohérence avec la Révolution fr: texte bcp marqué par la rhétorique:

contrer certaines décisions du souverain*. La jeune Cour est au contraire éprise de galanterie: elle aime le luxe, les fêtes, les plaisirs, et entend bien, à l'exemple du roi, faire sienne une morale plus hédoniste, sans pour autant tomber dans le libertinage d'esprit*. Dans cette conjoncture, Molière, courtisan choyé, semble être allé dans le sens de la jeune Cour en attribuant au personnage sympathique et équilibré qu’est Cléante (le raisonneur) la conception de la religion que se fait la jeune Cour