Argument Libertinage

réfléchie, prévenante, alors que son mari est instinctif et agi sans réflexion. Leur fille, Pétra, ressemble au père, mais son jeune âge lui ajoute de la naïveté. Le Maire, Peter Stokmann, représente le Capitalisme, vieil homme sur de lui, posé, aux arguments correctement énoncé, et aux talents d'orateurs reconnu. Le jeu des acteurs s'accordent de même aux caractères des personnages. Alors que Peter reste en place et ne se déplace que très peu, Thomas bouge, court, se déplace sans arrêt, il s'emporte

D'abord utilisé dans un sens péjoratif – comme «baroque» –, le terme «rococo» vient du mot «rocaille», employé pour qualifier un aspect du style Louis XV, qui utilise des motifs à base de rochers et de coquillages Le libertinage est un courant de pensée né au XVIIe siècle, développé en Italie et qui débouchera, au XVIIIe siècle, sur la notion de raison critique des Philosophes. Matérialistes, les libertins considèrent que tout dans l'univers relève de la matière, laquelle

vicomte ", et surtout " mais vous abusez de mes bontés, même depuis que vous n’en usez plus "  S’agit de vivre comme des personnages de roman, faire de sa vie un roman [ se propose d’être la rédactrice de ses Mémoires, chaque nouvelle entreprise de libertinage présentée comme un haut fait, un exploit Roman de la galanterie + peinture des mauvaises mœurs de la bonne compagnie, où Valmont héros du Mal et de la corruption (double de Satan, le Sé-ducteur), plus qu’un homme un personnage à qui l’on donne

rétablissement du titre originel, y figurent les passages les plus audacieux qui ont été censurés dans l'édition officielle publiée à Paris en 1682. Sommaire [masquer] 1 Contexte historique 1.1 Genèse et sources 1.2 Réception 2 La pièce 2.1 Argument 2.1.1 Acte I 2.1.2 Acte II 2.1.3 Acte III 2.1.4 Acte IV 2.1.5 Acte V 2.2 Liste des personnages 2.3 Registres 2.4 Dénouement 3 Les personnages 3.1 Dom Juan 3.2 Sganarelle 3.3 Les rapports maître-valet 4 Dom Juan au théâtre 4.1 Mises

introduire de nouveaux thèmes et de nouveaux personnages. Cette pièce montre que Don Juan, un personnage provocateur et séducteur va mal finir. Molière ne va pas plagier cette pièce mais il s’en inspire. Il y intègre des thèmes qui lui sont chers. -> Le libertinage, critique de l’hypocrisie religieuse, l’abus de puissance, les dettes… Molière va transgresser les règles classiques du théâtre (règles des 3 unités...) La pièce se passe sur plusieurs semaines. La pièce est jouée pour la première fois en 1665

que le conseil des Dieux s'apparente à un tribunal, le fait qu'Athéna, dans le rôle de l'orateur, s'adresse d'abord à lui dans le premier vers indique qu'il tient le rôle de juge, c'est lui qui rend les sentences après avoir pesé les différents arguments. D'autre part, l'emploi de l'impératif, dès le second vers indique que sa parole est perfective, c'est-à-dire qu'elle implique forcément un acte de la part de l'allocutaire. Cela signifie également qu'il est celui qui donne les instructions, celui

l'auteur tient à jetter un regard indigné sur le monde et la société. Il y a la volonté de faire éclater une évidence, en usant d'hyperbole et de discours maximaliste. Il se repose donc sur une vision pessimiste du monde, mais tout en utilisant ni argument, ni preuve, mais l'action immédiate. Il a pour but d'inciter le lecteur à agir en le poussant à l'indignation de son existence dans une société indigne. On peut citer encore une fois Voltaire, avec De l'horrible danger de la lecture où il fait le

analogie, dégradation - Opposition entre la finesse de la laine et le statut. L’ordre du matériel et de l’animal, absurde de se sentir aristocrate car porte la même chose qu’un animal, montre la bêtise, recherche argument de cause à effet, écart entre la cause et l’effet = argument de cause à effet. - Voit les comparaisons qui mettent en avant les éléments positifs et négatifs, montre écart entre les choses stupide, opposition entre le  « quelque » et « foule » → Opposition entre les valeurs

l’absence de tout problème économique (« ils n’avaient rien »). Le sous-entendu : la vertu n’existe que dans une société organisée face aux problèmes posés par la complexité d’une société structurée. 3. Le ton de la provocation : impertinence et libertinage Un ton moqueur et irrévérencieux, désinvolte. • Ironie de « bon vieux temps », qui apparaît a posteriori, à la lumière de l’éloge qui suit, si on le rapproche du vers 21 : même adjectif « bon », mais par antiphrase au vers 1 et au sens propre

aude » de Kant. Les scientifiques raisonnent grâce aux observations, analysent les causes à effets. L’esprit des Lumières a également un souci de démonstration, de vérité, il s’appuie sur des choses prouvées dans le but de convaincre par des arguments les plus irréfutables possibles. Ainsi les philosophes revendiquent le rationalisme, fondé sur l’expérience, l’analyse des faits et le raisonnement logique. La démarche scientifique constitue donc la base d’un raisonnement de philosophe, qui s’en