Argumentation Andromaque

fin ? Nous verrons tout d’abord les genres et formes d’argumentation que présentent les textes, les procédés littéraires utilisés et enfin les différents registres présents. Nous distinguons deux groupes : les textes A et B font appel à une argumentation directe tandis que les textes C et D utilisent l’argumentation indirecte. On distingue l’argumentation par l’utilisation de « je » dans le texte A. Les textes de l’encyclopédie et celui de Voltaire sont tous deux des articles, cependant, ils n’utilisent

touché par la galanterie. ARGUMENTATION 6. Arguments de Corneille : - davantage d’actions et de péripéties, moins de temps morts, du suspens renforcent la tension dramatique ; - des scènes plus dynamiques, plus visuelles ; - des scènes qui jouent avec les nerfs du spectateur : l’angoisse de la menace, l’effroi de la concrétisation de la violence ; - Corneille peut rappeler à Racine qu’il a aussi tué un certain nombre de ses héros tragiques : dans Andromaque, Pyrrhus est assassiné par

composer un devoir qui présente de manière organisée une interprétation du texte. • La dissertation consiste à conduire une réflexion personnelle et argumentée à partir d'une problématique littéraire issue du programme. Pour développer votre argumentation, vous devez vous appuyer sur les textes du corpus ainsi que sur vos lectures et votre culture personnelles. • L'écriture d'invention permet de mettre en œuvre d'autres formes d'écriture que celle de la dissertation ou du commentaire. Vous devez écrire

peut ou doit s’inscrire dans la réalité, même si des poètes l’ont envisagée comme une évasion ; en fait la poésie ne se définit pas par son sujet, mais par sa manière, son art. Je dois produire un plan détaillé, c’est-à-dire le schéma de mon argumentation avec ses idées principales et leurs exemples illustratifs, de façon à pouvoir rédiger directement le développement sur ma copie. Dans notre exemple : 1. La poésie doit s’inscrire dans la réalité • Le poète est celui qui m’apprend

Rouge et le Noir Hugo, Les Misérables Flaubert, Madame Bovary Maupassant, Bel-Ami Zola, L’Assommoir Camus, L’Etranger Céline, Voyage au bout de la nuit Proust, « un amour de Swann » extrait de Du côté de chez Swann Robbe-Grillet, Djinns Argumentation : Montaigne, Sans commencement et sans fin (extraits des Essais) La Fontaine, Fables, extraits (Livre I et VIII, notamment) Voltaire, Candide Diderot, Supplément au Voyage de Bougainville Montesquieu, Les Lettres Persanes Hugo, Les Châtiments

penser fait-il que l'on soit quelqu'un? Et surtout, d'où viennent ces pensées? Descartes tente de répondre à ces questions en établissant la thèse selon laquelle il se demande: qui sommes nous et que sommes nous? Pour cela, il met en place une argumentation logique tout au long de son texte. Tout d'abord sa première hypothèse serait que se sont les sens qui nous trompes. Ensuite, il se dit que se pourrait-être Dieu lui même qui le trompe, cependant il en vient a réfuter cette hypothèse et reprend

paragraphe constitue l’unité de base du plan, il en est également l’unité de sens, puisqu’il détermine la progression de l’analyse. Sa longueur moyenne est de dix à douze lignes, et il se compose des éléments suivants : - une idée principale. - une argumentation qui démontre la pertinence de l’idée. - un ou deux exemples précis qui valident l’idée et supporte l’argumentation. L’exemple n’est pas une décoration : il doit s’accompagner d’une analyse qui renforce votre argument. Fiche dissertation (cc)

travers tout ce deuxième paragraphe, Damilaville montre que pour les princes, la guerre n’est apparemment pas un état naturel tandis que la guerre se révèle comme la réalisation d’ambitions personnelles. Conclusion : L’auteur utilise une argumentation directe pour dénoncer les dégâts causés par la guerre et valoriser les bienfaits de la paix. Ce texte est par conséquent un réquisitoire contre la guerre qui utilise à la fois la persuasion (registre pathétique, images …) et la conviction (arguments

problème fondamental. Que peut donc signifier une critique ? La critique d'un texte ne saurait être réfutation, comme trop d'élèves le croient; la « réfutation » désignant, à proprement parler, l'action par laquelle on repousse un raisonnement, une argumentation en prouvant leur fausseté. Ce procédé est difficilement compatible avec la reconnaissance de la richesse effective d'un grand texte, comme c'est toujours le cas des textes qui sont proposés au baccalauréat. Critiquer, ce n'est pas détruire, mais

même à ces objections : cette légèreté, la défiance à l’égard du trop de sérieux, confèrent au genre le « charme » qui le rend persuasif et en fait donc une argumentation plus efficace que les discours théoriques dont l’austérité peut rebuter le lecteur. Pour développer cet argument, l’élève peut faire appel aux avantages de l’« argumentation indirecte » en général et aux vertus de l’apologue qu’il aura étudiés en cours. Par ailleurs, pour La Fontaine, le plaisir procuré par les fables ne mérite pas