Argumentation Las Casas

les Espagnols ont supprimé des pratiques barbares telles que les sacrifices humains, le cannibalisme, la polygamie, l’homosexualité, et ils ont apporté le christianisme, le costume européen, des animaux domestiques, des outils » [3]. Bartolomé de Las Casas, prêtre dominicain défenseur des Indiens, qui a décrit dans le détail le désastre de la conquête, condamnait l’esclavage et les traitements cruels tout en défendant la colonisation, laquelle devait être l’œuvre non des soldats mais des religieux

oppose le philosophe Sepùlveda et le dominicain Las Casas sur la question des habitants du nouveau monde : sont-ils des êtres humains et descendants d’Adam et Eve, ou simplement des espèces proches de l’animal destinés à être soumis ? Las Casas défend la cause des indiens au contraire de Sépulveda, tout au long de cette controverse chacun d’eux tiens un discours argumentatif pour défendre leur points de vue. Pour finir le légat du Pape donne raison à Las Casas. Il reconnaît au nom du Pape et de l'Eglise

le scénariste. Cette Controverse se veut vraisemblable même si les deux principaux personnages, Las Casas et Sepulvéda ne se sont probablement jamais rencontrés. Carrière affirme tout de même avoir gardé leurs différents arguments, considérations théologiques, raciales et culturelles. La Controverse de Valladolid se déroule en 1550 à la demande de Charles Quint à Valladolid entre Sepulvéda et Las Casas, arbitrés par le légat du pape. Elle a pour but de déterminer si les Indiens ont ou non une âme

La controverse de Valladolid L’ouvre à son terme… *En pronnoncant ls paroles suivantes : « Les habitants des Terres Nouvelles sont notre prochain », le Cardinal met fin a la dispute entre le frère Bartolomé et Sépulvéda. Les indigènes ne seront plus considéraient comme des esclaves mes commes des créatures de Dieu, des frères des espagnols. *Le Cardinal fait ici preuve de *La contreverse est remporté par le frère Barolomé, qui tout au long de sa vie et de la controverse fut du côtés

de les convertir ? Légitime conquête ? Le Roi va choisir 2 personnes très célèbres pour les mettre en débat, l'un pour (Las Casas) l'autre contre (Sepulveda) en 1550-1551. Suite à la controverse de Valladolid rien n'est décidé, les conquêtes continuent. On voit bien ici la limite de l'Humanisme, l'Homme blanc est au centre mais pas l'Autre. Quelques arguments de Las Casas en faveur des Indiens : Ils étaient tranquilles et en paix dans leurs pays Travail excessif imposé Ils n'ont

la modeste mise de fond initiale requis. Le voyage inaugural de Colomb est celui qui est le mieux connu des historiens. Deux documents écrits permettent de suivre les navires de l'explorateur : le Journal, dans la version donnée par Bartolomé de Las Casas, et la lettre à Santangel, écrite le 14 février 1493 sur la route du retour, sorte de bilan de son expédition adressée en Espagne. Par ailleurs, à compter de 1938, l'amiral américain Samuel Eliot Morison a entrepris de refaire le périple du Génois

plus juste » il se fondait dans le décor, il n’était plus un étrange mais un homme a par entier « un parisien ». C/Quels sont les arguments de Sépulveda pour marquer la supériorité des Espagnol sur les indiens (texte B) ? Comment Bartolomé de Las Casas s’y oppose-t-il ? Qu’apporte à la réflexion le choix d’un débat contradictoire. Sépulvéda considère que les indiens sont « au plus bas étage de cette condition » de la condition humaine, qu’ils sont ignorant et naïves, d’après lui « Dieu les a

populations vaincues sont réduites en esclavage et employées dans les mines d’argent. Les épidémies mortelles, que les conquérants ont apportées avec eux et contre lesquelles les Indiens ne sont pas protégés, emportent des milliers de victimes. Las Casas, un moine, soutient que les Indiens ont été crées par Dieu à l’égal des Chrétiens. On ne peut donc ni les massacrer, ni les traiter en esclaves, ni les convertir par la force Sépulvéda, philosophe, avance que les peuples américains sont inférieurs

dialogue des verbes de locution suivis du nom d'un personnage (l.1) demande le légat”, (l.6) “dit Sépulvéda“, (l.19) “demande-t-il à Sépulvéda” ou encore tout simplement le nom du personnage lorsque l'on passe du dialogue au passage narratif (l.15) “Las Casas” (l.25) “Le cardinal” permettant au lecteur d'identifier le locuteur. On trouve trois fois dans cet extrait le passage du dialogue au récit (l.15-18), (l.25-29) et (l.40-43). Ces passages de récit ont un rôle de transition. Tantôt, invitant à prendre

Bartolomé de Las Casas, prêtre et homme ayant vécu un certain temps parmi les Indiens, et Ginès de Sepùlveda philosophe rompu à l’art de la polémique tournant autour de la question qui oppose l’idée que les Indiens soient des hommes libres et égaux à celle qu’ils soient une catégories d’êtres inférieurs qu’il faut soumettre et convertir. Par quels procédés les deux hommes défendent t-ils leur thèse ? Qui est le vainqueur de ce débat ? Nous allons tout d’abord analyser l’argumentation de Las Casas