Argumentation Par Le Comique

LE LAPIN « Jeune lapin » – « Janot Lapin » Ton léger, vocabulaire piquant LA BELETTE « la dame au nez pointu » → périphrase amusante Ton léger, vocabulaire piquant LE CHAT Tournures solennelles et drôles « un saint homme de chat » → effet comique (homme et chat sur même plan) ↘locution adjectivale figée « bien fourré » → fourrure du chat par une expression figurée « chat fourré » = juge III. L’ART DU DIALOGUE Le style des dialogues permet «d’égayer l’ouvrage» en lui

description (T1) satirique d’un pédant narcissique et prétentieux qui se donne en spectacle lors d’un banquet, usant de tous les artifices du menteur éloquent, véritable contre-modèle de l’honnête homme (T2). L’auteur exagère parfois le trait et caricature de façon comique le comportement de son personnage blâmant ainsi cette posture et rapprochant son récit de l’apologue, de la fable. Le registre est donc épidictique mais aussi didactique (R) car la théâtralisation est toujours de mise, La Bruyère ayant la volonté

constitution de l’abbaye de Thélème. Difficulté pour comprendre les allusions, le double sens comme pour les références à Charles Quint. Le lecteur peut passer totalement à coté de l’implicite, trompé par le genre comique, les invraisemblances. 2. D’autres formes proposent une argumentation nettement prise en charge par l’auteur, dont l’opinion s’affirme avec véhémence. Véhémence de la dénonciation par Erasme du comportement des moines et des papes, indignes selon lui des enseignements du Christ.

elles sont inéfficace et enfin la réflexions attendue du lecteur. I) les Oeuvres littéraires permettent une réflexion efficace: a) La littérature offre plusieurs outils d'argumentation pour toucher un grand public. Une argumentation directe : 1)dans les Essai, Montaigne réflechit à la condition humaine, en mêlant les références littéraires antiques et contemporaines à ses réflexions personnelles. Mais comme selon lui «  chaque homme porte en lui la forme entiére de l'humaine

les vices des hommes ». Cela vous semble-t ’il éclairer la lecture du Malade imaginaire. Vous illustrerez votre réflexion d’exemples tirés de la pièce mais aussi d’autres œuvres, selon les besoins de votre argumentation. Nombreux sont les écrivains comme EMILE FABRE pensent que : « on appelle comédie la tragédie envisagée d’un point de vue humoristique ».  Cependant d’un autre coté nous avons d’autres

géants peut varier; ils restent des géants pour les épisodes comiques et l'épopée mais retrouvent taille humaine pour les parties philosophiques. Au fur et à mesure que l'on avance dans le roman la différence de taille avec les autres personnages tend à disparaitre. Le gigantisme de ses personnages permet à Rabelais de décrire des scènes de festins burlesques. L'infinie goinfrerie des géants ouvre la porte à de nombreux épisodes comiques. Ainsi, le premier cri de Gargantua à sa naissance est : «

être trop mathématique, il faut essayer de dégager l’évolution d’un récit, d’une description, d’une argumentation dans un texte. • Le genre littéraire du texte : roman, poésie, théâtre, littérature d’idées… • Le type du texte : narratif, explicatif, argumentatif, descriptif • Les registres, c’est-à-dire le ou les différents tons utilisés par l’écrivain :épique, tragique, comique, pathétique, dramatique, satirique, polémique, lyrique, didactique, etc… • Le(s) message(s)

jugement. En rédaction, on vous demandera de combiner ces différentes formes en vous indiquant aussi quel genre de texte vous devez produire. III. Les registres Le registre d’un texte est lié à l’effet produit sur le destinataire ou le lecteur. Comique : Faire sourire ou rire, amuser, souvent dans un but critique. Tragique : Sentiment de la fatalité, du destin. Présence de la mort, absence d’issue. Souffrance et déchirement moral. Pathétique : La pitié, la compassion. Lyrique : Emotions liées à

épistolaire. Lecture Analytique : * Alain, Propos sur le bonheur (1913), essai très structuré. * Blaise Pascal, Pensées (1670), essai. * Marivaux, L'ile des esclaves, scène VI (1725), pièce de théâtre. * Corneille, L'illusion comique, scène V ( 1636), pièce de théâtre. * Jean de la Fontaine, Le Philosophe scythe (1693), fable. Jean de la Fontaine (1621-1695) Il s’est tourné vers le libertinage Mythe Age d’Or : époque légendaire où être humain était heureux. Genres

il ne se contrôle plus comme on peut le voir dans la maladresse du ton qui est moraliste alors due Dom Juan lui interdit les remontrances. Faiblesse dans certaines argumentations : description de l'habit de libertin : voyant, clinquant et bien apprêté ; maladresse dans le stratagème Parodie du discourt : cela sert au comique de l'extrait. Sganarelle apparaît comme burlesque ce qui devient un faire valoir pour Don Juan III°/ Crédit apporté au discourt de Sganarelle : - Peinture du comportement