Argumenter En Amour

plus aisément sur ce qu’elle lui apprenait de dangereux » -elle s’attarde sur les souffrances de l’amour et lui énumère les vices des hommes dépeignant ainsi un monde cruel ou l’amour n’amène qu’a la souffrance » -madame de Chartes oppose vertu et amour. Elle dresse deux tableaux antithèse : L’amour mène aux « malheurs domestiques » La vertu mène a « l’élévation » et à « l’éclat » -ces débats sur l’amour étaient des sujets fréquents dans les salons du XVII Conclusion : A travers ce portrait

extorquer à Géronte une somme qui permettra à Léandre de racheter Zerbinette aux Egyptiens qui la retiennent. Axes de lecture Une scène comique : Géronte déchiré entre son amour de l'argent et sa fibre paternelle ; Le rôle du valet : la stratégie de Scapin. I. Une scène comique : un cruel dilemme pour Géronte déchiré entre son amour de l'argent et sa fibre paternelle. (1) Le comique de situation Au début de l'acte II, scène 7, Scapin commence par jouer le drame : les didascalies « faisant semblant

II. Un duel opposant l'amour à la vertu 1. La vertu, un chemin pénible et incertain 2. L'amour, un chemin plaisant III. L'importance de l'amour 1. Le bonheur passe forcément par l'amour 2. L'amour est suivi de souffrances ARGUMENTS I. Une tirade : argumentation indirecte 1. La dénonciation de la religion CL de la religion « sacrifice, croix, ciel, prédicateurs, mystiques, confessez». Le religion est assimilée à la gradation «  prison, croix, supplices, tortures

ressent plus de plaisir à toucher son argent que lorsqu’il touche sa propre femme, alors cela nous démontre à quel point il aime plus son argent que sa femme et sa famille. Donc dans ce travail, nous tenterons de prouver que l’avarice ne rime pas avec amour. Dans ce long texte sur le livre d’Honoré de Balzac nous allons essayer de vous démontrez que cette phrase est totalement sensée, en vous l’expliquant en trois point. Ces points vont être divisés en trois paragraphes. Nous verrons d’abord la définition

Symbolique du vol : 10. b) Figure d’insistance 10. a) Mot : «Pourquoi» (v.1, 6 ,28) 10. c) Effet de la figure de style : Le poète exprime sa douleur en créent un effet d’insistance sur le mot « pourquoi». Déduction 11. Le poète nous explique son amour qu’il porte pour Rimbaud, il fait part de son image de l’amour à travers l’envol de l’oiseau. Verlaine fait part de son incompréhension face à son mal de vivre. Réseau de musicalité Repérage des illustrations Interprétation Procédés d’écriture Preuves

commun de l'inconstance. Dans cette tirade argumentative, Dom Juan met particulièrement en avant le fait qu'un homme ne peut absolument pas rester fidèle à une femme durant tout sa vie. De plus, il affirme aussi qu'il serait fou d'être constant en amour. Mais ce personnage ambiguë se fait passer pour une victime de l'amour, qui ne peut se refuser à aimer plusieurs femmes en même temps. Cet éloge est un véritable paradoxe qui bouleverse les valeurs morales de l'époque. A) Une véritable apologie

ont pris le théâtre en cette extrémité. Pridamant : Mon fils comédien ! Alcandre : D'un art si difficile Tous les quatre, au besoin, ont fait un doux asile Et depuis sa prison, ce que vous avez vu, Son adultère amour, son trépas imprévu, N'est que la triste fin d'une pièce tragique Qu'il expose aujourd'hui sur la scène publique, Par où ses compagnons en ce noble métier Raviseent à Paris un peuple tout entier. Le gain leur en demeure et ce grand équipage, Dont je

balance Tant de pleurs, tant d'amour, tant de persévérance, Rome sera pour nous... Titus, ouvre les yeux ! Quel air respires-tu ? N'es-tu pas dans ces lieux Où la haine des rois, avec le lait sucée, (1015) Par crainte ou par amour ne peut être effacée ? Rome jugea ta reine en condamnant ses rois. N'as-tu pas en naissant entendu cette voix ? Et n'as-tu pas encore ouï la renommée T'annoncer ton devoir jusque dans ton armée ? (1020) Et lorsque Bérénice

libre cours, comme en rêve, aux évocations symboliques et aux sources du génie de chacun (Cette ivresse n’est pas sans analogie avec l’ivresse amoureuse, capable de tous les « comportements insensés »). C'est ainsi que chacun va discourir sur le dieu Amour (Åñùò), étrangement oublié par les poètes, afin de découvrir ce qu'il est, ce qu'il provoque en l'homme, à quelles fins il peut être utile à différents niveaux (politique, social, artistique, moral, …), et si après cela il y a lieu de le louer.

Cette passivité et cette obéissance sont mises en évidence à travers le tour impersonnel : v.36 : « il faut que je dévore », le verbe modal qui énonce le devoir : « Dois-je » (vers 27) et le terme « contraindre » (vers 58) Fidèle, constant dans son amour : « fidèle » (vers 45), « longue constance » (vers 44) Ce n’est pas un héros complètement bon : il souhaite l’échec du mariage entre Titus et Bérénice. (vers 41 et 42) « Qu’après m’être longtemps flatté que mon rival// Trouverait en ses vœux quelque