Arguments Eloge Poesie

Poétique, Aristote : la poésie comprend la tragédie (dramatq élevé), la comédie (dramatq bas), l’épopée (narratif élevé) et une 4è catégorie non définie (semble relever du narratif bas). Querelle Platon/Aristote porte sur le statut de la mimèsis. Platon pense que tt poème est récit (diègègsis), à côté du narratif pur il pose le récit mimétique (théâtre) et le récit mixte (poème épique). La mimèsis est la reproduction de la praxis, l’action humaine, c’est l’objet de la poésie. La mimèsis est plus une

oasis d’horreur dans un désert d’ennui ». Ce dégoût du monde s’incarne aussi dans un dégoût de nature : « Passez en revue, analysez tout ce qui est naturel, toutes les actions et les désirs du pur homme naturel, vous ne trouverez rien qu’affreux » (Eloge du maquillage, Le peintre de la vie moderne, chap. XI.) 1/ Il y a deux détours possibles pour le poète, c’est de cacher la nature sous l’artifice, le visage sous le maquillage. Il convient d’artificialiser la nature. Le héros littéraire de cette

ridiculiser Chiasme : croisement de deux symétries faites dans sens inverse : il faut manger pour vivre et vivre pour manger Comparaison : figure qui rapproche deux idées Diérèse : compter deux syllabes avec deux voyelles consécutives qui comptent pour une Eloge ; discours à la louange d’un homme, d’une idée, d’un ordre … etc. Enumération : juxtaposition de différents éléments d’un ensemble Epique : caractère d’aventure d’un héros et de faits extraordinaires Euphémisme : adoucissement d’une idée déplaisante

qu’elle puisse être mise en lumière, rendue accessible à tous. Par sa vision de la mode et de l’artificiel – expliquée notamment dans son « Eloge du maquillage »[9], Baudelaire s’oppose à la croyance selon laquelle la mode serait une vanité, une futilité. Contre la conception chrétienne de La Bruyère et de son « De la Mode », Baudelaire fonde les arguments d’une mode comme réponse à l’avachissement d’un monde ou le progrès technique a remplacé Dieu : « La mode change de signe : de négative qu’elle

l’éloge du soleil en célébrant l’étendue de ses pouvoirs o Le quatrain final associe la figure du poète au soleil ([o] [è]) Les mouvements observés dessinent le projet de lecture suivant : comment le poète décrit la démarche et la puissance de sa poésie à travers une célébration du soleil. I. Premier mouvement : Le poète dans la ville Demander l’analyse syntaxique de la 1ère strophe On peut distinguer deux parties dans ce premier mouvement qui constitue une seule et même phrase : -

s'agit pas de son avis personnel. - Ironie, on dit les choses + clairement - 2 arguments des esclavagistes : les européens ont exterminé des hommes (amérindiens) donc il faut exploiter les africains qui ne sont pas des hommes + argument économique (prix du sucre) - Mise en relation du physique et de l'âme (symbolique culturelle) est ridicule --> les Égyptiens tuaient les roux et les Européens trouvent ça ridicule. - Argument contre les africains : ils préfèrent le verre à l'or --> seulement une question

Anciens et savoir-être, liberté politique et religieuse, esprit de tolérance, recherche d’une sagesse à la mesure de l’homme… Chemin faisant, ces textes permettent de définir un homme nouveau à travers « un modèle social » idéal. Texte 1 – Érasme, Éloge de la folie (1509) p. 406 (L/ES/S) OBJECTIFS ET ENJEUX – Réfléchir sur la vison de l’homme (raison/déraison) et sur le statut du lecteur. – Étudier les paradoxes dans un discours à visée argumentative. LECTURE ANALYTIQUE Le ton de la conversation

de Pascal, mais toutes deux ne sont pas rigoureusement identiques, d’où la difficulté du choix. ð       la « première copie » sert de fondement aux éditions respectives de Louis Lafuma (1952) et Michel Le Guern (1977), ce dernier avançant comme argument que cette version « présente l’avantage de commencer par les liasses classées et de regrouper les fragments dont la destination est apologétique (p. 27). Réservée à Gilberte, la « seconde copie » est suivie par Philippe Sellier (1976), qui explique

régime de Charles X. Liberté morale, ensuite : ils tirent un pied de nez à l'ordre bourgeois. Liberté artistique, enfin : Hugo « tord le cou à ce grand niais d'alexandrin » et crée le drame romantique, cependant que Musset (au théâtre), Lamartine (en poésie), Chopin (en musique) font entendre leur voix singulière. Pour cette génération et pour celles qui suivent, le romantisme incarne donc ces valeurs de révolte individuelle et de passion pour la liberté, proclamées par Hugo dans la préface de Hernani :

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