Arguments Pour La Corrida

L s'y réfère, soit la JP s'y réfère. par exemple dans le code pénal, un texte interdit toute cruauté envers les animaux. ce texte prévoit qu'il est possible d'y déroger dans les endroits ou on a une tradition ininterrompue ( ex : combats de coqs, corridas de taureaux... ) De plus, les parents ont pour le moment un droit de correction = fessée, mais il faut qu'elle soit légère. pour le moment c'est encore validé mais des députés veulent l'interdire. * Sous l'ancien code pénal, la légitime défense

extraordinaires et fort éloignées de la | |banalité de la vie quotidienne sont considérées comme des jeux mortels, parce que l'on y joue avec la mort ou que la mort y est jouée, non pas | |pour la subir, mais pour la vaincre. Ainsi il en va de la corrida où toute la symbolique, qui s'y déploie, concourt à représenter le combat de | |l'homme avec la mort, et de certaines compétitions sportives où l'on recule sans cesse les limites de l'endurance du corps humain. Or, si ces | |performances peuvent

selon les circonstances. 59 U n guerrier de la lumière trop confiant en son intelligence finit par sous-estimer le pouvoir de l’adversaire. Il ne faut pas oublier ceci : il y a des moments où la force est plus efficace que la sagacité. Une corrida dure quinze minutes ; le taureau comprend vite qu’on le trompe – et sa réaction est de se jeter sur le toréador. Alors, il n’y a pas d’ingéniosité, d’argument, d’intelligence ou de charme qui puissent éviter la tragédie. Aussi le guerrier ne sous-estime-t-il

l'aristocratie anglaise. Le sport est massif d'un point de vue politique. On parle du sport tous les jours, et on en troue des répercussions dans le monde entier: c'est un des spectacle le plus regardé au monde. Il traverse donc la mondialisation. C'est un argument pour dire que le sport est universel, partagé par tous. Il y a des discours sur le sport, des discours partagés mais il y a beaucoup de discours de sens commun. Quand il y a une coupe du monde, tout le monde en parle. Cela est donc porté par l'institution

même. Coutume contra legem : pour la loi impérative, elle n’est pas admise. Pour la loi supplétive, la coutume montre la volonté d’un groupe social de ne pas appliquer la règle supplétive. Sa survie dépend du législateur. Exemple, les animaux en corrida. B. La jurisprudence 1. Notion Droit romain = science du droit. Ce sont les solutions que les jurisconsultes ont élaborées Droit français : La jurisprudence désigne un ensemble de décisions rendues pendant une certaine période. Cet ensemble est

d'unité est fournie par la notion de conscience. Kant dit : « grâce à l'unité de la conscience dans tous les changements qui peuvent lui survenir, il est une seule et même personne ». Il s'agit de l'argument central du texte. Il faut entendre dans cet argument deux niveaux de sens : un sens littéral qui se situe au niveau de la perception, et un second sens qui a trait à l'expérience et à la construction de la personnalité de chaque individu.• S’agissant du premier, la notion de soi-même, l'unité de conscience

dans le litige. Pour lui, le juge devait appliquer la loi la plus appropriée, c'est-à-dire la proper law. Il admet que le juge applique une autre loi que la sienne. De 1107 à 1200, il rédigea un ouvrage, Dispute entre les maîtres. On échangeait des arguments sur un sujet particulier, et celui qui pouvait convaincre son auditoire pouvait remplacer le professeur. A l’université de Bologne on glosait, c'est-à-dire que l’on recherchait les intentions du législateur. Cela correspond à l’exégèse. On examine

s'en sert au profit de l'Admin ou des justiciables. Soit il va utiliser coutume afin de justifier ou valider une action de l'Admin, soit l'utilise contre l'Admin, au profit des administrés, des requérants : vente du muguet 1er mai, spectacles de corrida, processions à caractère religieux, sonnerie de cloche civiles ou religieuses. Il est arrivé au juge d'annuler une décision de l'Admin qui aurait méconnu une coutume locale. B - La doctrine constitue-t-elle une source de la légalité administrative

coutumière. Ex : un pourboire a la fin d'un repas au restaurant c'est un usage mais pas une coutume ( pas d'élément psychologique qui suit) Les usages locaux qui concerne des régions, qui sont donc limité à une ou plusieurs régions. Notamment avec la corrida. Dans le code civile il y a des usages qui sont reconnue en matière de mitoyenneté ( clôture ..) Les usages professionnels, qui cet fois sont limitée à une activité et qui sont des pratique de métiers. Ex : entre commerçant la solidarité est présumé

legem, en droit pénal la coutume peut faire naitre une cause d’irresponsabilité pénale, une traduction locale ininterrompue peut constituer un fait justificatif du délit de cruauté envers un animal à les coutumes relatives aux combats de coqs ou la corrida. La coutume contra legem, celle qui pose le plus de problèmes puisque cette coutume va venir contrarier la loi. A priori ça ne devrait pas se produire puisque les lois ne peuvent être abrogées par désuétude (= le simple fait que la loi ne soit plus