Aristophane de Byzance

successeurs de Zénodote d'Ephèse à la tête de la bibliothèque d'Alexandrie, Aristophane de Byzance (Byzance v.-257–Alexandrie v.-180) et Aristarque de Samothrace (v. 220-143 av. J.-C.), d'avoir introduit un ensemble de codes (appels de notes, division du texte en chapitre, titres, etc.) qui sont un peu les ancêtres de notre ponctuation ou, plus justement, de la plus élémentaire mise en page. Aristophane de Byzance employa le premier ce qu'on peut nommer « signes de ponctuation ». Ils étaient

témoignages, il aurait été banquier. Selon Démétrius de Byzance, c’est Criton qui lui permit de vivre dans un certain loisir pour se consacrer à la philosophie. Il semble avoir disposé ainsi d’une fortune plutôt confortable. En revanche, d’après Platon, Socrate aurait vécu dans une grande pauvreté, et cette affirmation est confirmée par Xénophon[7]. Ce point est également confirmé par les surnoms dont l’affublent les comiques (cf. Eupolis ou Aristophane) : "le gueux", "le mendiant", "le va-nu-pieds", etc

témoignages, il aurait été banquier. Selon Démétrius de Byzance, c’est Criton qui lui permit de vivre dans un certain loisir pour se consacrer à la philosophie. Il semble avoir disposé ainsi d’une fortune plutôt confortable. En revanche, d’après Platon, Socrate aurait vécu dans une grande pauvreté, et cette affirmation est confirmée par Xénophon. Ce point est également confirmé par les surnoms dont l’affublent les comiques (cf. Eupolis ou Aristophane) : "le gueux", "le mendiant", "le va-nu-pieds", etc

témoignages, il aurait été banquier. Selon Démétrius de Byzance, c’est Criton qui lui permit de vivre dans un certain loisir pour se consacrer à la philosophie. Il semble avoir disposé ainsi d’une fortune plutôt confortable. En revanche, d’après Platon, Socrate aurait vécu dans une grande pauvreté, et cette affirmation est confirmée par Xénophon7. Ce point est également confirmé par les surnoms dont l’affublent les comiques (cf. Eupolis ou Aristophane) : "le gueux", "le mendiant", "le va-nu-pieds", etc

témoignages, il aurait été banquier. Selon Démétrios de Byzance, c’est Criton qui lui permit de vivre dans un certain loisir pour se consacrer à la philosophie. Il semble avoir disposé ainsi d’une fortune plutôt confortable. En revanche, d’après Platon, Socrate aurait vécu dans une grande pauvreté, et cette affirmation est confirmée par Xénophon9. Ce point est également confirmé par les surnoms dont l’affublent les comiques (cf. Eupolis ou Aristophane) : "le gueux", "le mendiant", "le va-nu-pieds", etc

au Véme siècle ACN. Le théâtre grec : L’origine du théâtre grec est liée au culte de Dionysos, le dieu du vin.  On y joue des tragédies s’inspirant de la mythologie (Sophocle, Eschyle et Euripide) et des comédies (Aristophane). 1.1.1. CHEZ LES ROMAINS A. Les temples / Le Panthéon : Dédié à tous les dieux de la mythologie romaine, le Panthéon de Rome fût construit par Agrippa (ami d’Auguste) en 25 ACN. En 118 PCN, Hadrien le redessine : il remplace la structure

témoignages, il aurait été banquier. Selon Démétrios de Byzance, c’est Criton qui lui permit de vivre dans un certain loisir pour se consacrer à la philosophie. Il semble avoir disposé ainsi d’une fortune plutôt confortable. En revanche, d’après Platon, Socrate aurait vécu dans une grande pauvreté, et cette affirmation est confirmée par Xénophon7. Ce point est également confirmé par les surnoms dont l’affublent les comiques (cf. Eupolis ou Aristophane) : "le gueux", "le mendiant", "le va-nu-pieds", etc

témoignages, il aurait été banquier. Selon Démétrios de Byzance, c’est Criton qui lui permit de vivre dans un certain loisir pour se consacrer à la philosophie. Il semble avoir disposé ainsi d’une fortune plutôt confortable. En revanche, d’après Platon, Socrate aurait vécu dans une grande pauvreté, et cette affirmation est confirmée par Xénophon[12]. Ce point est également confirmé par les surnoms dont l’affublent les comiques (cf. Eupolis ou Aristophane) : « le gueux », « le mendiant », « le va-nu-pieds

d'outre-mer, qu'allons-nous faire? A juger par vos regards, vous êtes mous de corps, avec vos longues boucles de jeunes dandys, et votre force de bras. B. Ne vous êtes-vous jamais aperçus qu'un natif d'Abydos ne s'est jamais comporté en homme? Et Aristophane dans son Triphallos se moque accessoirement beaucoup des Ioniens: Ensuite tous les étrangers distingués qui le talonnaient et le sollicitaient avec insistance l'un pour savoir comment il irait à Chios vendre l'enfant, l'autre comment il le vendrait

taches que les citoyens ne pouvaient pas faire. Exemple : commerce. Ils sont négociant, banquier, métier de marin… Beaucoup de ces métèques ont contribué à la gloire d’Athènes. A partir du 3ème siècle Av JC on a une définition du métèque. Aristophane de Byzance la formule. Métèque= quiconque venu d’une ville étrangère qui habite dans la cité et qui acquitte une taxe en vu de certains besoin déterminer de la cité. Pendant un certains nb de jours l’étranger n’est pas soumis aux taxes car il est de