Aristote Vivre Ensemble

mêmes choses, nous avons les mêmes désirs, nous sommes faits pour nous entendre", etc. Ici, c'est une passion commune qui va rendre compte de la force des sentiments éprouvés ; là c'est le partage d'une même vision du monde. Bref, on invoquera un ensemble de "points communs". Dire que l'autre possède des points communs avec moi, c'est dire qu'il y a des choses en l'autre qui existent aussi en moi, qu'à ce niveau, nous nous ressemblons. Dire que j'ai des choses en commun avec l'autre, c'est donc dire

irréalisable). Dans les désirs nécessaires il en distingue trois différents: les désirs nécessaires au bonheur, les désirs nécessaires à la vie et les désirs nécessaires à la tranquillité du corps. Épicure dit qu'il faut s'abstenir de désirs vains pour vivre, il faut aussi éviter la souffrance, le trouble, obtenir la tranquillité du corps et l'ataraxie (la paix de l’âme). Nous pouvons faire ressortir certains points clés (idées) de ce texte: l'homme a une nature (il y a ainsi des désirs naturels), ensuite

société, politique ou non, ne peut exister. Elle se définit d’ailleurs, tout d’abord, comme un ensemble d’individus organisés, caractérisé par ses institutions, ses lois et ses règles. Ainsi la société n’est pas créée en dehors de l’homme, par un principe qui le transcende mais avec et par lui. Pourtant, paradoxalement, un homme en dehors de la société n’est pas un homme « c’est une brute ou un dieu » selon Aristote, aussi il apparait comme indissociable de celle-ci alors qu’elle est essentielle à son

dans la vie fait parti des composant essentiel de la vie pour être heureux?Le bonheur n’a pas de recette, il n’y a pas de d’ingrédients qui forme le bonheur c’est pour cela que ce questionnement est pertinent. Pour citer une philosophe connue, Aristote, le bonheur est le but ultime et commun à tous les êtres humains. Pour atteindre ce bonheur, il a plusieurs moyens que nous pouvons utiliser. C’est pourquoi, je veux philosopher sur cette question car elle touche tous les êtres humains en entier

Nietzsche voyait dans le travail la meilleure des polices .Le labeur est une police qui discipline, arrache à la réflexion et à la pensée. 11. Complémentarité du travail et du loisir. Certains sociologues définissent le loisir come un ensemble d’occupations auxquelles l’individu peut s’adonner de son plein gré. Il nous parait vain de rêver d’un loisir libre et pur de toute aliénation si le travail demeure déshumanisé. Le loisir ne peut alors que prolonger la servitude du travail. La

humain au centre. D ne se détache jamais totalement catholicisme, règles imposées par Eglise. Beaucoup de références à Dieu, preuve existence, qui laisse parfois individualisme recherché de côté. Morale au sens général Entendu ordinairement : ensemble de règles de conduite : comment se comporter vie tous les jours, dans société. C'est homme qui façonne règles de conduite, règles tenues pour inconditionnellement valables pour société déterminée. On ne peut imposer à scté nos valeurs, nos droits

Sujet : Peut-on jamais être un marginal ? Etre marginal se rapporte au fait de vivre en marge de la société, de ne pas être implanté et investi dans celle-ci. La société étant ici le lieu de vie des hommes, un environnement codé avec des conventions, des règles plus ou moins contraignantes. Il est du devoir de l’individu, de « l’animal social et politique» (Aristote) de respecter les codes, afin de vivre dans la société, d’en être un constituant comme le suppose la nature sociale de l’homme. Cependant

incité à faire le choix de la réflexion philosophique et àà se prononcer sur les formes idéales de constitutions. * La justice, la connaissance et la vertu en politique De res publica : faire reposer l’ordre politique sur la morale, cad un ensemble de valeurs propices à la réalisation du bien et du juste. Conception élitiste de la cité : le gouvernement politique doit reposer sur l’excellence des meilleurs et un ordre social hiérarchisé morale = gage de stabilité sociale / justice

la lyre, - Athéna, déesse grecque de la Sagesse, protectrice d'Athènes, qui tient en main le bouclier à tête de gorgone. Les personnages : 1 - Platon, montre le ciel ou monde des idées, il tient le Timée dans sa main gauche 2 - Aristote, désigne le monde de l'expérience terrestre, il tient l'Éthique dans sa main gauche 3 - Socrate, fondateur de la tradition philosophique occidentale, n'a laissé aucun écrit 4 - Eschine, orateur athénien 5 - Xénophon - ou Antisthène , fondateur

La politique ● Pour vivre ensemble, les hommes ont besoin d'énoncer et de suivre des règles qui permettent le bon fonctionnement de la communauté et qui définissent le juste et l'injuste, le droit et le tort. Cet espace commun, réglé par des usages, des lois et des valeurs, est le domaine de la politique. Du grec polis, qui signifie '' cité '', la politique est la science qui s'occupe des affaires publiques et des principes du gouvernement. I/ Le domaine de la politique A/