Armée révolutionnaire insurrectionnelle ukrainienne

combats étant terminé en 1921. Elle se situe dans le prolongement de la révolution russe d'Octobre 1917 ; l'essentiel des campagnes militaires se poursuit jusqu'à la proclamation de la NEP. La guerre civile russe n'oppose pas simplement les révolutionnaires bolcheviks aux « Blancs » monarchistes partisans du retour à l'ancien régime tsariste. La violence ruineuse du conflit n'est pas due au seul choc des terreurs « blanche » et « rouge » décidées d'en-haut. Cette guerre civile est d'abord un chaos

moi-même qui puisse décider si j'ai raison ou non. Pour lui, personne ne peut dompter l'homme, ni l'etat, ni la société, ni l'humanité. Il s'insurge contre toutes les formes d'autorité, contre la religion et contre les positions de certains révolutionnaires qui veulent soumettre les hommes à une nouvelle forme de pouvoir. Il faut que l'homme se libère de la religion, de la morale bourgeoise « des devoirs et de toutes ces bêtises dont on a bourré la cervelle et le coeur », de la morale sexuelle

d’émigration et d’immigration se succèdent. Les couches populaires et petites bourgeoises jouent un rôle de plus en plus conscient et politique, cet essor aboutissant à la vague révolutionnaire européenne de 1848. Des peuples sans État se soulèvent : des Italiens, des Roumains, des Slovaques, des Ruthènes (autre nom des Ukrainiens), des Serbes. En Hongrie, ce sont précisément les minorités qui s’attaquent à l’État central qui les ignore voire les opprime. La crise est provoquée à la fois par des revendications

I) Echo de son temps : naissance et apogée du MLF 1 a. 68-70 l’incubation révolutionnaire 1 b. Théorie et idéologie du mouvement 1 c. Naissance médiatisée : la force de la communication 1 II) L’après 68 : quel avenir pour le mouvement ? 2 a. Aboutissements de la lutte 2 b. Essoufflement 2 c. Une lutte qui se réinvente 2 I) Echo de son temps : naissance et apogée du MLF a. 68-70 la gestation révolutionnaire Le printemps 68 exploite le vent de pensées critiques soulevées par la

la coalition 6.5 Les premiers jours d’un nouvel État 6.6 La paix de Brest-Litovsk 6.7 La création de la Tchéka 6.8 La dissolution de la Constituante 6.9 La mise au pas des concurrents révolutionnaires 6.10 La montée généralisée des périls 7 De la guerre civile à la NEP (1918-1921) 7.1 Armée rouge contre armées blanches 7.2 Campagnes contre villes : les « armées vertes » 7.3 Minorités nationales contre Russes 7.4 Interventions étrangères et guerre russo-polonaise 7.5 Terreur

et la Révolution ». Il montre que la Révolution au lieu d’être coupure (ce qu’elle est) est le processus d’approfondissement d’un Etat centralisé avec pour but d’approfondir la conscience nationale. Mais comment l’approfondir ? * L’Etat révolutionnaire est aussi centralisateur que la monarchie car vient se mêlé l’idée d’égalité des conditions en plus du rouleau compresseur de la monarchie. = la monarchie veut que tous les citoyens soient logés à la même enseigne * On supprime les

se créèrent dès 1843 et comptaient 375 000 adhérents en 1870. Avant les syndicats, la révolte des ouvriers restait donc assez spontanée, mal organisée, dispersée. Elle a pu, néanmoins, alimenté, en France, les journées révolutionnaires de février 1848, les journées insurrectionnelles de mai et juin 1848, ou encore participé à l’épisode de la Commune de Paris en 1871. Pourtant le nombre d’ouvriers n’ayant cessé de s’accroître : en 1907, ils représentaient 42% de la population active britannique, 40%

les fermiers trafiquaient leurs monnaies. De même, la guerre coûte très cher, notamment les canons, et partout en Europe les armées sont composées de mercenaires qui sont un fléau, en se payant sur le peuple. Les français sont les seuls à avoir une armée permanente. Même les zones de prospérité de la période antérieure sombres dans le marasme. D’un point de vue économique, la période est difficile. Concernant les données démographiques : les historiens démographes de la période considèrent que la

non-résolution de tensions passées. Russie : "nostalgie impériale" (Michel Foucher, Les nouveaux déséquilibres mondiaux) -> hard power, Realpolitik Ukraine : crise d'envergure inter qui se joue à deux échelles : échelle locale et nationale entre pop ukrainienne et pop russe; échelle inter avec Russie, E-U et UE Cœur de l'Eu : situations géopolitiques complexes, fragiles marquées par : sortes de "failed states" : Ukraine, Bosnie-Herzégovine zones grises : incertitudes géopol, opacité -> frontière Albanie-Kosovo;

Bessarionis dze Djoughachvili), connu sous le nom de Joseph Staline (Иосиф Сталин), et aussi surnommé Le Vojd ou Le Petit père des peuples, né à Gori le 18 décembre 1878 — officiellement le 21 décembre 18791 — et mort à Moscou le 5 mars 1953, est un révolutionnaire communiste et homme d'État soviétique d'origine géorgienne. Il établit en Union soviétique un régime de dictature personnelle2, période pendant laquelle les historiens lui attribuent, à des degrés divers, la responsabilité de la mort de trois