Armées blanches

mille cinq cent soixante-quinze membres correspondants. Une condition sine qua non était imposée à toute personne qui voulait entrer dans l’association, la condition d’avoir imaginé ou, tout au moins, perfectionné un canon ; à défaut de canon, une arme à feu quelconque. Mais, pour tout dire, les inventeurs de revolvers à quinze coups, de carabines pivotantes ou de sabrespistolets ne jouissaient pas d’une grande considération. Les artilleurs les primaient en toute circonstance. « L’estime qu’ils obtiennent

declarent avoir entendus un coup de feu hièr soir aux alentours de 2:00 pm. Ils disent avoir vu une voiture sportif rouge partir rapidement du parking du lac. Plusieurs voisins affirment la déclaration du couple. Des plongeurs de la police ont retrouvé une arme du crime, le revolver, un 9mm, elle a été envoyé dans un laboratoirs pour identifier les empreintes. QUELQUES JOURS PLUS TARD les analyses ont mené aux empreintes de monsieur LAVIGNE, un homme de 32ans, célibataire et aucun enfant, tout le contraire

de sa longueur et mesure 50 cm. Pour obtenir une bonne maîtrise technique et une certaine dextérité, sa pratique demande beaucoup de souplesse, de force et d'agilité dans les doigts, les poignets, les coudes et les bras. Toute la subtilité de cette arme repose sur le mariage de la souplesse et de la force afin de doser l'intensité lors de son utilisation aussi bien en impacts reçus que donnés. Il s'utilise traditionnellement par paire pour donner un maximum d'efficacité. C'est donc un exercice réclamant

sa cachette aussi vivement que l’éclair et courut vers la calèche. Tout le monde fut surpris, personne n’aurait pu prévoir un tel coup. Le courageux Yanek n’eut que le temps d’apercevoir le grand-duc Serge seul dans son carrosse et qu’il lança son arme directement sur celui-ci. La calèche explosa en mille morceaux ainsi que le pauvre duc. À travers les cris et les pleurs, le héros resta bravement là en dénonçant à voix haute ce que lui et son groupe revendiquaient. En entendant tout ceci, Boria

assauts. Une armure pèse de 20 à 25 kg, mais le poids étant répartis sur l’ensemble du corps. Les chevaliers avaient plusieurs armes, celles pour se défendre et celles pour attaquer l’adversaire. Celle qui symbolise surtout la chevalerie est l’épée (arme offensive), rangée dans le feurre, suspendu au baudrier. Elle est composée de l’allumette, des quillons, de la garde et d’un plommel. Il existe plusieurs épées : celles qui sont courtes pour percer, celles d’estoc, et celles pour donner des coups sur

d'entraîner de grosse hémorragies, en raison d'une capacité vulnérante spécifique les conduisant à entailler le système vasculaire sur leur passage. Localisées au cerveau par exemple, elles s’avéraient mortelles. Le casque, apparu dans toutes les armées à partie de 1915, ne pouvait d'ailleurs que très imparfaitement protéger la tête.Un éclat de la taille était capable du pire : il pouvait dilacérer complètement des parties entières du corps, cou, bras ou jambes notamment. Les nouvelles armes 

Picasso à voulut interpréter toute l’horreur que les espagnols éprouvèrent, certes d’un style particulier, qui ne ressemble pas à la manière réaliste des peintres traditionnels. Ce n’est pas un tableau pour une décoration d’appartement, c’est une arme de guerre offensive et défensive contre l’ennemi ! Description : Dans ce tableau, Picasso n'a utilisé que deux couleurs : le noir et le blanc. Le noir représente le mal, la souffrance, la mort , la gravité du sujet on appelle ça la monochromie et

la censure. Il serait scandaleux en effet de montrer une amitié entre deux soldats ennemis alors que le but de la propagande est la diabolitisation de l'ennemi. La Seconde Guerre mondiale a été le théâtre d'une propagande constante, utilisée comme arme de guerre, par les nazis, mais aussi par les Alliés. L’Etat encourage et organise la propagande pour mobiliser les soldats et les civils. Les discours des hommes politiques sont très importants et les affiches de propagande se multiplient pour encourager

tous deux arme anti-personel Il est à remarquer que toutes ces caractéristiques attribuées à l’obus ne sont pas le fruit du hazard. En effet, les obus étaient préalablement testés et poffinés pour exploser d’une telle ou telle manière pour telle ou telle situation. La division de l’enveloppe d’acier en éclats de différentes tailles était étudié en fonction du calibre du canon, de la charge explosive à bord, de la distance et la nature de la cible. Ce qui fit de l’obus une arme dévastatrice

précision remarquable, mais le bruit de l’arme arracha un cri à l’ingénue. Mais le second zombie se retourna et se jeta sur Jérémie, qui, dans la chute, fit tomber son arme. Jérémie était donc au prise avec le monstre, mais la jeune ingénue, saisi une pioche et embrocha l’immonde cadavre animé qui tomba par terre. Jérémie saisi son arme et lui tira dans la tête pour s’assurer que le mort ne se relèverait pas. - Merci ! dit Jérémie, je me présente, Jérémie et toi ? -Alexandra, mais appelle moi Alex