Arménie

réellement protéger les populations arméniennes44. Déçus, les Arméniens fondent deux partis révolutionnaires : le Hentchak (« la cloche »), de tendance socialiste, en 1887 et le Dachnak (Fédération révolutionnaire arménienne) en 1890. Leur agitation en Arménie occidentale et aussi ailleurs dans l'empire déclenche une répression féroce organisée par le sultan Abdülhamid II : de deux cent à trois cent mille Arméniens sont massacrés de 1894 à 1896 sans que les puissances européennes, dont l'opinion publique

Arménie 1. La carte d'identité de l'Arménie L'Arménie compte 3 200 000 habitants et a comme capitale Erevan, qui est sa plus gande ville avec 1 245 700 habitants. L'Arménie est une des plus anciennes civilisations, en plus elle est la première nation à adopter le christianisme comme religion d'État en 301. En Arménie, on parle bien sûr l'arménien. L'arménien est une langue indo-européenne, elle est aussi parlée dans d'autres régions près de l'Arménie. Parmi les langues indo-européennes, l'arménien

L’extermination des Arméniens in Histoire de la Turquie, de l’Altaï à l’Europe, Ibrahim Tabet, 2007 Pendant la 1GM, les Arméniens furent accusés de soutenir l’armée russe, le 20 avril 1915, les Arméniens de Van se révoltent, massacrent les Musulmans. 4 jours plus tard, le 24 avril (devenu fête des martyrs arméniens), le gouvernement ottoman commence à déporter la population arménienne et au cours des opérations, des centaines de milliers de personnes furent massacrés et d’autres chassés vers

terme « souverain » de la définition du statut de la république fédérée. Une fois cette modification opérée, ces républiques ne seraient plus en mesure d’agir de façon autonome et de garder leurs particularismes. C’est pourquoi, en Géorgie et en Arménie notamment, il y eut des revendications pour garder le monopole interne des langues nationales. Face à ce mécontentement la modification ne fut pas opérée et permit à l’URSS de continuer à se présenter comme le « champion » du droit des peuples à

Se fondant sur les plus récentes découvertes archéologiques, des auteurs comme Alexis Lichine situent en Arménie la « patrie du raisin »[5], tandis que Hugh Johnson ne manque pas de souligner que ce lieu d'origine de la vigne cultivée[6] est en même temps celui où le mont Ararat sert de frontière septentrionale entre la Turquie et l'Arménie orientale, lieu où la légende biblique fait planter la vigne par le patriarche Noé à la fin du Déluge[7]. Une récente découverte a encore repoussé la date d'apparition

Recherche : Le Génocide Arménien Où ? Le Génocide arménien a eu lieu sur le territoire actuel de la Turquie ou les Arméniens habitaient. A l'époque, les Arméniens vivaient dans l'empire Ottoman principalement en Turquie, Arménie & Georgie. Quand ? Le Génocide Arménien a commencé à Constantinople, capitale de l'empire ottoman, le samedi 24 avril 1915. C'est le début du premier génocide du XXe siècle. Comment ? A Constantinople, 600 arméniens sont assassinés sur ordre du gouvernement en

Zeïtoun. Celle-ci constitue depuis le début de l'occupation turque une région quasi autonome. 29 mars 1863 : «Constitution» nationale arménienne. 24 avril 1877 : Déclaration de guerre de la Russie à la Turquie. La Russie en profite pour entrer en Arménie. 3 mars 1878 : Signature du Traité de San Stefano. L'article 16 du traité prévoit l'obligation pour la Sublime Porte de procéder à des réformes dans les provinces arméniennes. 6. 13 juillet 1878 : Traité de Berlin : il ne prévoit aucune cession majeure

certes d’un étranger, mais comme l’Allemagne est alors alliée à l’empire, sa présence ne pose pas de pbm. 4/ D’après l’auteur, d’où viennent les Arméniens ? Entourez la région sur la carte . Les Arméniens viennent du Nord de la Turquie, la Haute Arménie 5/ D’après les documents, quel est le sort des hommes dans cette région ? Les hommes sont aussi déportés, beaucoup sont tués en route . Pas les femmes et les enfants Les hommes sont tués rapidement afin de déposséder le peuple de ses moyens de

question de la responsabilité turque, Paris, Ed, Denoël, 2008, 490 p. ASSO, Annick, Le cantique des larmes : Arménie 1915, paroles de rescapés du génocide, Paris, Ed. La Table Ronde, 2005, 291 p. ALTOUNIAN, Janine, “Ouvrez-moi seulement les chemins d'Arménie...” : un génocide aux déserts de l'inconscient, Paris, Ed. Les Belles Lettres, 1990, 246 p. CARZOU, Jean-Marie, Arménie 1915 : un génocide exemplaire, Paris, Calmann-Lévy, 2006, 333 p. CHALIAND, Gérard, TERNON, Yves, 1915, le génocide

montrent l'utilité, ou plutôt l'une des nombreuses utilités des activités proposées chaque été par l'organisation de bienfaisance arménienne. Que ce soit au sein des colonies de vacances pour les 7 à 15 ans, lors des voyages initiatiques en Arménie et au Karabagh pour les 15-18 ans ou à travers des stages en entreprises pour les étudiants, l'Ugab poursuit inlassablement son rôle éducatif et culturel. Chaque programme est en effet à l'image des objectifs poursuivit par l'organisation depuis