Arménien

Le génocide arménien (Հայոց Ցեղասպանություն : Hayots Tseghaspanoutyoun en arménien, Ermeni Kırımı en turc) a eu lieu d'avril 1915 à juillet 19161. Les deux tiers2 des Arméniens qui vivaient sur le territoire actuel de la Turquie ont été exterminés au cours des déportations et massacres de grande ampleur3. Il fut planifié et exécuté par le parti au pouvoir à l’époque, le comité Union et Progrès, plus connu sous le nom de « Jeunes-Turcs », dirigeant l'Empire ottoman et engagé dans la Première Guerre

photographe Allemand.Il a pris position en faveur des droits des juifs et des Arméniens, c’est d’ailleurs un des principaux témoins du génocide Arménien en prenant des clichés et des notes dans les camps arméniens malgré les interdictions des autorités turques. Son esprit humaniste s’est formé dès son plus jeune age, il avoue avoir été marqué par la lecture qui lui faisait son père du récit du génocide Arméniens en 1895.Il a fait des études de droits et les sciences politiques à Zurich, Paris

Causes et conséquences du génocide arménien   Selon la Convention des Nations Unis de 1948 : " Le génocide s'entend de l'un quelconque des actes ci-après, commis dans l'intention de détruire, en tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial, ou religieux, comme tel : - meurtre des membres d'un groupe, - atteinte grave à l'intégrité physique ou mentale de membre du groupe, - soumission intentionnelle du groupe à des conditions d'exigence devant entraîner sa destruction physique totale

famille. De l’autre côté de l’Océan Atlantique vit Armanoush, mi- américaine, mi- arménienne. Ses parents se sont séparés depuis longtemps. Sa mère vit avec un Turc (l’oncle d’Aysa) dans le Nevada et son père vit avec ses sœurs à San Francisco. Entre une mère américaine possessive et un père absent, Armanoush se réfugie dans le café virtuel Constantinople où elle débat pendant de longues heures sur le génocide arménien et la responsabilité du peuple turc. Voulant essayer de comprendre la douleur de

lors irrationnelle. Mais si le rapprochement avec la Géorgie ne posait a priori aucun problème, les relations turco-arméniennes furent loin d’apparaître aussi évidentes. Le génocide de 1915, non-reconnu comme tel, mais de surcroît véritable objet de censure en Turquie dans les années 1990 encore, scelle un passé commun douloureux. L’envenimement du conflit entre Azéris et Arméniens pour la région du Haut-Karabagh (depuis 1988) accélère la rupture : par solidarité avec l’Azerbaïdjan, Ankara renonce

En voulant exterminer un peuple dans sa totalité, le pouvoir ottoman a organisé le premier génocide de l’histoire du XXe siècle. Le génocide arménien constitue un tournant dans l’histoire de l’humanité. Tournant dans le déroulement du premier conflit mondial car les populations civiles massacrées ne sont pas des populations civiles ennemies, mais des sujets de l’Empire ottoman, qui ne constituaient nullement une menace pour la sécurité de ce dernier. Tournant dans l’histoire du XXe siècle

produit pas de véritables résultats stratégiques. Exemple 2 : Le génocide arménien où? en Turquie, un allié des empires centraux (L'Allemagne & L'Autriche-Hongrie) quand? en 1915 qui ? le gouvernement turc et ses outils (armée, gendarmerie) Pourquoi ? le gouvernement turc veut éliminer la minorité arménienne, soit 2 millions d'individus, de son territoire. La raison de ces massacres est qu'il soupçonne les Arméniens de vouloir se rallier aux Russes. Quelles manifestations de la violence de

est une sculpture et c'est fait en bronze. Le Monument en hommage à Komitas, aux Arméniens victimes du génocide de 1915 et aux combattants arméniens morts pour la France est une sculpture située , entre le Pont des Invalides Cours Albert-Ieret le , à Paris. Il s'agit d'une statue haute de six mètres réalisée par David Erevantsi[1], représentant Komitas, prêtre et musicologue arménien, rescapé du génocide arménien et réfugié en France. Présentation: La mise en place de l'œuvre a été approuvée

Missak (dit Michel) Manouchian (en arménien : Միսաք Մանուշյան, Missak Manouchian), né le 1er septembre 1906 à Adıyaman dans l'Empire ottoman, mort fusillé à 37 ans au fort du Mont-Valérien le 21 février 1944, est un poète français d'origine arménienne, un militant communiste (responsable de la section arménienne de la MOI) et un résistant (commissaire militaire des FTP-MOI de la région parisienne). Bien que principalement connu pour son rôle dans la Résistance, en particulier à cause de « l'Affiche

annonçaient déjà un cimetière de printemps." >>> texte narrateur de fin de "Mayrig" (extrait son à la fin de l'article) (extrait de "les punnaises de lit") MAYRIG ("maman" en arménien) & 588 RUE PARADIS, les deux films magnifiques racontant l'histoire d'Henri Verneuil (Achod Malakian de son vrai nom), jeune arménien débarqué à Marseille en 1924 à l'âge de 4 ans avec son père (joué par Omar Sharif),  sa mère (jouée par Claudia Cardinal) et ses deux tantes. (extrait "La meilleure école de Marseille")