Armoire

prêter des bijoux. Tu es bien assez liée avec elle pour faire cela. Elle poussa un cri de joie. - C'est vrai. Je n'y avais point pensé. Le lendemain, elle se rendit chez son amie et lui conta sa détresse. Mme Forestier alla vers son armoire à glace, prit un large coffret, l'apporta, l'ouvrit, et dit à Mme Loisel: - Choisis, ma chère. Elle vit d'abord des bracelets, puis un collier de perles, puis une croix vénitienne, or et pierreries, d'un admirable travail. Elle essayait

milieu aisé, « petite table », au pied d'un grand lit »(l10), « baldaquin revêtu d'une indienne » (l11) l'indienne est une étoffe rouge, rare à partir du XVIIe siècle puisqu'elle devint interdite, « la haute armoire en bois de chêne » l'auteur accentue sur le fait que ça soit une « haute armoire »(l12), « grenier » (l14), « une tête de Minerve » (l16) d'où Minerve est la déesse de la guerre pour les romains, représentée par l'oiseau. On observe également une figure de style, qui est l'énumération «Par

Sur 13 personnes sorties en 2007 : 3 CDI 4 CDD de plus de 5 mois 3 missions en intérim 3 personnes inscrites à l’ANPE Le chantier insertion menuiserie a permis la réalisation des meubles dans les appartements mis à leur disposition ( table, lit, armoire, étagère ) ; toutes les personnes ont aussi bénéficié d’une formation théorique et pratique. 

chambres que j'appelle aussi mon univers Le matin, au réveil après ma toilette. Je m'installe devant ma coiffeuse qui se situe entre l'armoire et le lit. Après avoir finit ma coiffure, je m'apprête enfin a sélectionner ma tenu dans ma grande armoire a trois portes, customisé par de nombreux poster de mes idoles. En cherchant une veste pour fignoler ma tenu, j’aperçois cette Djellaba qui ma était offerte par ma mamie durant mes dernière vacances d été que j ai passer avec ma famille a Marrakech

Le passage avec la « très haute armoire à glace » est, selon moi, le moment capital qui pourrait résumer le récit. Effectivement, pour la première fois, le personnage principal « apercoit » l’intrus, celui qui lui ronge la pensée, qui le hante ; le Horla. Si j’ai mis le verbe entre guillemets c’est parce que, comme tout au long du livre, on trouve une discordance entre la réalité et la folie. En effet, pages après pages, nous, lecteurs, doutons de la sanité mentale du personnage. Lui-même se remet

trou noir... Combien de temps suis-je restée inconsciente dans cette pièce dans laquelle je me trouve ? Je distingue à peine ce qui m'entoure , peut-être une porte en bois , je m'avance pour aller voir mais elle est fermée , je découvre alors une armoire au fond, ainsi que plusieurs meubles, des commodes, une étagère, un bureau avec une chaise mais aucune fenêtre . Dans un coin, un rat mort . Il fait si froid , l'odeur d'humidité m'enveloppe toute entière comme si j'étais dans une cave , j'ai peur

le rythme  des vers  est  présent  dans  ce  poéme.  La  longueur des  vers,  c’est  à  dire  le  choix  de  l’utilisation  des  alexandrins  nous  apporte une sensation  que les  vers  ne  suffisent  pas  à  contenir  tout  ce  qui  est  dans  cet  armoire  et  nous  donne  aussi  un  sensation d’empleur.      

fois on a une impression que Charles est seul dans la pièce car on la découvre à travers ses yeux. Sans prêter attention l'aspect ruraldes meubles, il se centre sur l'aisance que ces derniers apportent comme le « grand lit à baldaquin », « haute armoire en bois de chêne » ou encore les objets renseignant sur la situation familiale telque les couverts riches « avec des timbales d'argent ». Même la mention du « trop-plein » du grenier lui sera rassurante. Mais la vision de ces meubles aveugle l'autre

| |Dans la France de l'Ancien Régime, quand un couple s'installe, la jeune épouse apporte son trousseau et un coffre(plus tard une armoire). Le| |marié fournit le lit, la table et les bancs. | |

couverts, avec des timbales d'argent, y étaient mis sur une petite table, au pied d'un grand lit à baldaquin revêtu d'une indienne à personnages représentant des Turcs. On sentait une odeur d'iris et de draps humides qui s'échappait de la haute armoire en bois de chêne, faisant face à la fenêtre. Par terre, dans les angles, étaient rangés, debout, des sacs de blé. C'était le trop-plein du grenier proche, où l'on montait par trois marches de pierre. Il y avait, pour décorer l'appartement, accrochée