Armoire

nouvelle parure que son amie Mme Loisel lui avait rendu. Mme Loisel soulagée rentra chez elle mais connue la vie horrible des nécessiteux. Quelques jours plus tard, Mme Forestier s’était rendue à une soirée de la noblesse. Elle s'approcha de son armoire à glace afin de choisir une parure qui lui convenait. Devant elle, se trouva la parure que Mme Loisel lui avait rendu. Trouvant cette parure allant bien avec sa tenue, Mme Forestier l'a mit, En se regardant dans son miroir, elle trouva que cette parure

une bonne journée. -Revenus très très faibles. -Un homme gagne assez pour faire des épargnes, mais pas la femme ni l’enfant de moins de 12 ans. La classe moyenne aura progressivement accès à des produits industriels de consommation (vaisselle, armoire à glace, ...) - La bourgeoisie vivait la plupart du temps dans des châteaux et des maisons de campagnes. Devoirs et obligations -Journée de travail de 15 heures à 15 heures et demi avec 13 à 13 et demi de travail effectif. -Le livret de travail

diam's (casque et plastron) -Sceau pour vomir plein symbolisé par sceau d'eau -torch le joueur arrive dans la chambre, il y a un lit pour le checkpoint (pas obligatoire),un table de chevet (coffre) avec le sceau pour vomir et la torch dedans, une armoire avec les habits dedans. pour sortir il faudra descendre par le trou mais mettre l'eau sinon il y a la chute mortelle. Ils arriveront à la cave. Cave: objet à détenir par le joueur:-torch de la chambre -toile d'araignée -sword de la SAM le

Un cadre rural E ne rencontre pas C lors d'un bal. Elle n'est pas étourdit par les nombreux détails. intérieur de le ferme des Rouault ≠ majestueux/mystérieux/féérique → petit intérieur sombre Meubles imposants "grand lit à baldaquins" " haute armoire en bois de chène"→ adj + matière Objets nombreux "couverts" "timbales d'argent" le tout est cependant un indicateur social => famille aisée Confirmation de ce caractère par la présence des sacs de blé en dehors des greniers =>pluriel insiste

couverts, avec des timbales d'argent, y étaient mis sur une petite table, au pied d'un grand lit à baldaquin revêtu d'une indienne à personnages représentant des Turcs. On sentait une odeur d'iris et de draps humides, qui s'échappait de la haute armoire en bois de chêne, faisant face à la fenêtre. Par terre, dans les angles, étaient rangés, debout, des sacs de blé. C'était le trop-plein du grenier proche, où l'on montait par trois marches de pierre. Il y avait, pour décorer l'appartement, accrochée

prêter des bijoux. Tu es bien assez liée avec elle pour faire cela.     Elle poussa un cri de joie.     - C'est vrai. Je n'y avais point pensé.        Le lendemain, elle se rendit chez son amie et lui conta sa détresse. Mme Forestier alla vers son armoire à glace, prit un large coffret, l'apporta, l'ouvrit, et dit à Mme Loisel:     - Choisis, ma chère.     Elle vit d'abord des bracelets, puis un collier de perles, puis une croix vénitienne, or et pierreries, d'un admirable travail. Elle essayait les

demande-lui de te prêter des bijoux. Tu es bien assez liée avec elle pour faire cela. " Elle poussa un cri de joie. " C'est vrai. Je n'y avais point pensé. " Le lendemain, elle se rendit chez son amie et lui conta sa détresse. Mme Forestier alla vers son armoire à glace, prit un large coffret, l'apporta, l'ouvrit, et dit à Mme Loisel : " Choisis, ma chère. " Elle vit d'abord des bracelets, puis un collier de perles, puis une croix vénitienne, or et pierreries, d'un admirable travail. Elle essayait les parures

demande-lui de te prêter des bijoux. Tu es bien assez liée avec elle pour faire cela. » Elle poussa un cri de joie : « C’est vrai. Je n’y avais point pensé.» Le lendemain, elle se rendit chez son amie et lui conta sa détresse. Mme Forestier alla vers son armoire à glace, prit un large coffret, l’apporta, l’ouvrit, et dit à Mme Loisel : « Choisis, ma chère. » Elle vit d’abord des bracelets, puis un collier de perles, puis une croix vénitienne, or et pierreries, d’un admirable travail. Elle essayait les parures

demande-lui de te prêter des bijoux. Tu es bien assez liée avec elle pour faire cela. » Elle poussa un cri de joie. « C’est vrai. Je n’y avais point pensé. » Le lendemain, elle se rendit chez son amie et lui conta sa détresse. Mme Forestier alla vers son armoire à glace, prit un large coffret, l’apporta, l’ouvrit, et dit à Mme Loisel : « Choisis, ma chère. » Elle vit d’abord des bracelets, puis un collier de perles, puis une croix vénitienne, or et pierreries, d’un admirable travail. Elle essayait les parures

prêter des bijoux. Tu es bien assez liée avec elle pour faire cela." Elle poussa un cri de joie : "C'est vrai. Je n'y avais point pensé." Le lendemain, elle se rendit chez son amie et lui conta sa détresse. Mme Forestier alla vers son armoire à glace, prit un large coffret, l'apporta, l'ouvrit, et dit à Mme Loisel : "Choisis, ma chère." Elle vit d'abord des bracelets, puis un collier de perles, puis une croix vénitienne, or et pierreries, d'un admirable travail. Elle essayait les