Arret De Chambre Criminelle Du 23 Juillet 1969

Droit pénal général Fiches d'arrêt Doc 1 Arrêt du 22 mai 1973, cour de cassation, chambre criminelle Faits : un homme est condamné en appel à 1500 francs d'amende pour défaut de permis de construire par la cour d'appel. La construction de l'immeuble est achevé en 1963. L'homme forme un pourvoi en cassation au motif que l'infraction était assimilable à une infraction instantané et qu'il bénéficiait de la loi d'amnistie du 30 juin 1969. La cour d'appel à jugé qu'il s'agissait d'un infraction

1 : commentaire d’arrêt - Commentaire de l’arrêt de la chambre criminelle de la Cour de Cassation du 16 janvier 1986 : « l’affaire PERDEREAU » « Si on ne peut, à l’évidence, consommer l’impossible, on peut toujours le tenter » (Monsieur PROTHAIS, professeur de droit pénal, directeur de l'institut d'études judiciaires et de l'institut des sciences criminelles à l'université de Lille). Par cet arrêt, en sa chambre criminelle du 16 janvier 1986, la Cour de Cassation semble élaborer

PREMIER CONCOURS D’AGREGATION DE DROIT PRIVE ET DE SCIENCES CRIMINELLES 2010-2011 2ème épreuve (1 ère leçon en loge) SUJETS TIRES (du 4 au 6 janvier 2011) - Commentaire de l'arrêt rendu par la Cour de cassation, deuxième chambre civile, le 15 octobre 2009 (pourvoi n° 07-20129). - Commentez l'article 1er de la loi du 1er juillet 1901 relative au contrat d'association. - Commentez l'article 1202 du Code civil. - Commentaire de la loi n° 2010-729 du 30 juin 2010 tendant à suspendre la commercialisation

semblait encore vivant et a entrepris de l'achever en lui portant des coups de bouteille sur le crane et en lui serrant le cou avec un lien torsadé. Après l'autopsie et les conclusions des expertises, il est conclu que seul A a donné la mort à Y. La chambre d'accusation de Paris renvoie devant les assises A du chef de meurtre et Félix X du chef de tentative d'homicide volontaire au motif qu'il existe contre lui de lourdes charges d'avoir frappé Y avec l'intention de lui donner la mort. Félix X forme

vide peut-il être pénalement poursuivi ? Au sens de l’article 121-5 du code pénal, la tentative est constituée dès lors qu’il y a un commencement d’exécution et une interruption involontaire. La jurisprudence, à travers plusieurs arrêts notamment celui du 23 juillet 1969, a reconnu qu’était punissable la tentative de commission d’une infraction matériellement impossible à commettre. Cela constitue alors une tentative car il y a bien commencement d’exécution, c'est-à-dire que les agissements de l’individu

en qualité de maire de Tunis. 1957 (15 juillet) : La garde beylicale est remplacée par l'armée tunisienne qui retient le bey prisonnier, ainsi que son entourage, puisque personne ne peut plus entrer ou sortir librement du palais beylical de Carthage. 1957 (18 juillet) : Slaheddine Bey, fils cadet de Lamine Bey, est arrêté et transféré à la prison civile pour « coup et blessures contre un inspecteur de police qui surveillait le palais ». 1957 (23 juillet) : Le palais beylical est encerclé et verrouillé

particularisme – certains diront la marginalisation - du droit douanier. De la contrebande traditionnelle on est passé à des activités certes plus dangereuses comme l’invasion des stupéfiants, la prolifération des armes, le blanchiment toutes catégories criminelles confondues, etc. Dans ces conditions, l’efficacité de la recherche des preuves, affirme la douane, ne peut s’accommoder des procédures habituelles. Aujourd’hui coexistent donc plusieurs systèmes de preuves tous conçus pour l’efficacité de la répression

règlement » de cinq ans d’emprisonnement et 500 000 Francs d’amende. La question a fait couler beaucoup d’encre2. La source n’est pas près de tarir et la décision de la Cour d’appel de Reims du 3 février 2000, rendue postérieurement à l’arrêt de la Chambre criminelle intervenu le 22 juin 1999 relance le débat. La question centrale s’énonce clairement : le foetus peut-il être considéré comme cet « autrui » que vise l’article 221-6 C. pén. ? Les difficultés apparaissent parce que la réponse exige que soit

illégal de la profession (Tribunal correctionnel de Paris 23/10/1978), les usages illicites de titre de commissaire aux comptes, la violation d’interdiction d’exercer, la diffusion d’informations mensongères dans le rapport de certification (chambre criminelle du 12/01/1981 et du 2/02/2000) et surtout la non- révélation des faits délictueux constatés (tribunal correctionnel de Paris 18/05/1979 et 03/03/1980, ainsi qu’un arrêt de la chambre criminelle du 06/12/1982). Face à ces infractions, les sanctions

Commentaire de l’arrêt de la Chambre sociale de la Cour de cassation du 15 mai 2008 Les congés payés posent de véritables problèmes notamment pour savoir quand un employeur peut reporter ou non les dates de congés de ses salariés, tel est le sujet dans cet arrêt de la Chambre sociale de la Cour de cassation du 15 mai 2008. En l’espèce, un homme a été engagé le 1er septembre 1987 par une société. Le salarié a été licencié le 2 août 2002 pour avoir refusé de reporter la date de son départ en congés