Art gréco-bouddhique

d’Alexandre le Grand mais également par l’invasion indienne, perse et chinoise. Ce royaume correspondrait actuellement à la vallée de Kaboul autour de Peshawar et Swat, où la plupart des rois avaient leur capitale. Cependant, on trouve des vestiges de cet art au Cachemire, au Penjab, au Saurashtra, au Gujarat et jusqu'aux grands centres commerçants de Mathura et ses environs, sur le Yamuna. Situé aux confins de routes commerciales importantes, son rayonnement a été dominant: il est surtout marqué par la

L’Inde : l’art Bouddhique. 7 février http://yin.free.fr/Le_bouddhisme/Iconographique%20du%20Bouddha/Inde/Inde.htm INTRODUCTION * 3 zones géographique : Nord (indo-européen), Centre appelé « deccan » et Sud (dravidien). Très forte opposition entre Nord Inde et Sud Inde (culture diffuse par le biais du commerce maritime / région exempt des invasions musulmans). * Epoque védique (env. 1500-500 av. n.è.) : - Dynastie Maurya, religion royale : bouddhisme dans l’Indus. Pas de

L’art Bouddhiste I : A quelle époque se déroule- t-il ? L’art bouddhique naît dans le sous-continent indien, probablement durant les siècles suivant la mort du Bouddha historique ou Gautama Bouddha (VIe siècle av. J.-C. et Ve siècle av. J.-C.) bien que ses premières manifestations attestées par des découvertes archéologiques semblent dater du règne d'Asoka. Une première phase, essentiellement indienne, appelée phase aniconique, durant laquelle la personne du Bouddha est évoquée par des symboles

ou imaginaire) ; qui utilise la matière, la ligne et la couleur pour elles-mêmes. Académie : - Institution qui régit l’enseignement de la peinture, de la sculpture et de l’architecture. Elle impose généralement sa définition du « beau » en art. On parle d’ « art académique » souvent pour définir des créations restées très traditionnelles. - Représentation peinte ou dessinée d’un modèle nu réalisée à titre d’exercice. - Atelier privé où l’on enseigne les beaux-arts. Acrylique : peinture utilisant les

société Grecque, dans l'Antiquité ils étaient surnommé himation et en latin hellène. C'était une large bande rectangulaire qui se mettait autour du corps et au-dessus de l'épaule gauche. Cet habit c'est propagé dans l' Antiquité dans la société gréco-bouddhique et est portée jusqu'à nos jours. La tradition dit que le roi Pasenadi voulait que Bouddha aie un habit distincts des autres citoyens, il demanda alors à la mère adoptive de Bouddha, mais il le refusa par humilité. Le moines bouddhistes a trois

céramique de Pan-chan, ainsi nommée d’un site de la province de Kan-sou (qui a été exploré depuis 1921), nous serions entre 1500 et 1400 ou, selon d’autres, entre 1400 et 1300, donc première moitié de la dynastie c hang. Nous arrivons là au grand art avec une magnifique ornementation de spirales rouges et noires d’une valeur décorative digne de l’égéen. La comparaison, du reste, n’est pas seulement stylistique, car on a retrouvé des thèmes analogues dans la céramique peinte de l’Ukraine et de

au sud du Sahara Comme partout dans le monde, la mort en Afrique représente une rupture définitive. Toutefois, elle n’est pas considérée de la même façon qu’en Europe, où elle est entourée de conceptions provenant de l’Egypte ancienne et du monde gréco-romain, ainsi que par des croyances judéo-chrétiennes. Pour les Africains, même chrétiens ou musulmans, la mort constitue avant tout un passage vers le monde des ancêtres, selon l’idée d’une force vitale qui se transmet de génération en génération

japonais Au Japon, les procédés de "constructions" de jardins trouvent leurs origine sur le continent chinois. Comme il le fit de tout apport étranger, le Japon a ensuite parfaitement adapté cette influence à sa culture et a permis de faire éclore un art à nul autre pareil. C’est dans le Nihon-shoki, compilation littéraire et mythologique rédigée au début du VIII ème siècle, qu’apparaît le mot de niwa pour désigner un jardin. Symptomatique de la relation particulière qu’entretient l’homme japonais avec

l’esprit la solution, pour arracher les peuples qui l’habitent, après dix siècles de luttes douloureuses, d’efforts sans cesse brisés et repris, à l’étreinte puissante de l’idée sémitique. Il fallut que l’Inde sentît dans la substance même de l’idée bouddhique, y tressaillant, et faisant sa force et son entraînante beauté, l’incessant mouvement de fécondité et de mort qui fait bouger ses forêts et ses fleuves, pour qu’elle repeuplât les temples de ses cent mille dieux vivants. Au fond des grandes religions

à ces figurines un sens que les humains du Paléolithique ne leur accordaient pas forcément. Du fait de la très grande diversité des morphologies offertes, elles ne peuvent pas être réduites à un stéréotype de beauté, tout au moins selon les canons gréco-latins. Les interprétations des Vénus paléolithiques sont donc nombreuses et parfois fantasques. En l’absence de sources écrites, les théories concernant un éventuel culte de la fécondité ou de la Déesse-Mère sont purement spéculatives et ne peuvent