Assimilation

l’égalité des droits à savoir l’égalité devant la loi s’oppose à toute forme de privilège qui apparaît injuste. Dès lors, l’égalité nous semble assimilable à la justice. Pourtant, toute égalité est-elle nécessairement juste ? Sur quoi repose cette assimilation de l’égalité à la justice ? Si nous considérons l’égalité comme juste c’est parce qu’elle met tout le monde au même niveau. Mais alors, ce nivellement est-il nécessairement juste ? Ici, vous pouvez penser aux analyses de Calliclès dans le dialogue

l’on pense - C’est malin !  LITOTE n.f. Utilisation d'une expression suggérant beaucoup plus que ce qu’elle dit réellement - Ce n’est pas mauvais (c’est bon) - Va, je ne te hais point (je t’aime) Le Cid, de Corneille METAPHORE n.f. Etablir une assimilation entre un comparé et un comparant qui sont rapprochés sans outils de comparaison. Une métaphore filée est développée et poursuivie sur plusieurs mots. - Et tes mains, feuilles de l’automne - Les étoiles volaient dans les branches des arbres METONYMIE n

l’égalité des droits à savoir l’égalité devant la loi s’oppose à toute forme de privilège qui apparaît injuste. Dès lors, l’égalité nous semble assimilable à la justice. Pourtant, toute égalité est-elle nécessairement juste ? Sur quoi repose cette assimilation de l’égalité à la justice ? Si nous considérons l’égalité comme juste c’est parce qu’elle met tout le monde au même niveau. Mais alors, ce nivellement est-il nécessairement juste ? Ici, vous pouvez penser aux analyses de Calliclès dans le dialogue

modèle chinois représente un modèle adaptable aux modèles culturels occidentaux actuellement dominants, à savoir les modèles anglo-saxon, latin et germanique. Qui doit s’adapter à qui, et comment ? Une domination économique peut-elle forcer une assimilation culturelle ?

– La métaphore : c’est une comparaison sans terme comparatif. Cette assimilation directe du compare et du comparant peut créer des images surprenantes et d’une grande densité. EX : « Ma soif est un esclave nu… »

né : bercé, réduit au mutisme du 1er âge.3) la chute de la strophe quatre Constant glissement entre comparé et comparant : on ne sait plus si il parle de lui se comparant à un vaisseau ou si il n’est pas devenu vaisseau. Plus de Frontières = assimilation ? phénomène perceptible dès le vers 2, favorisé par la mise en sommeil des autres sens (vue, ouïe).Etoile pâle, ciel brumeux…mouvement ascendant puis descendant avant la chute finale Etude strophe 4 : image du miroir dès vers 1, vers 11, vers 13

le service militaire impose à toute la population de développer la solidarité au sein d’une classe d’âge, ce qui participe à l’unification de la population française. De même que l’appartenance des immigrés à la religion catholique facilite leur assimilation, c’est-à-dire l’adoption de la langue, de la culture et des valeurs de la population française. Ainsi, la France se trouve ne cesse de vouloir s’unifier, et ce, grâce au développement des réseaux de transports issus de la révolution industrielle

des problèmes de consommation, de statut social et de prestige. Cette situation touche également la question de la communication et de la culture: la quantité de plus en plus énorme d’information diffusée par les mass média demande pour son assimilation une puissante activité de synthèse au moment même où l’évolution sociale diminue cette activité, la réification grandissante (terme qu’emprunte Goldmann à Luckas) orientant de plus en plus la masse vers une réception passive plutôt que l’intégration

Soignant a entre ses mains la vie quotidienne du patient. Peut mener à des étiquetages Altérité Reconnaissance de l’autre dans sa différence (ethnique, sociale, culturelle ou religieuse) ! L’infirmier comprend que la patiente veut une infirmière. Assimilation (culturelle) Disparition totale de la Langues régionales culture d'un groupe qui disparues au profit du assimile et intériorise français la culture de l'autre groupe avec lequel il est en contact. ! Ethnocentrisme Intégration Lévi-Strauss

affectif et intellectuel qu’il puisse disposer d’un secteur d’activités dont la motivation ne soit pas l’adaptation au réel mais au contraire l’assimilation du réel au moi, sans contraintes ni sanctions : tel est le jeu, qui transforme le réel par assimilation plus ou moins pure aux besoins du moi […] » (Piaget et Inhelder, 2008). La seconde raison tient également d’une nécessité de compenser les contraintes du réel. L’instrument essentiel de l’adaptation sociale est le langage auquel l’enfant doit s’adapter