Association nationale des industries alimentaires

| |Nom : ANIA (Association nationale des industries alimentaires) | |Adresse : 21 rue Leblanc, 75015 PARIS | |Activité : Porte-parole de l’agro-alimentaire |Département ou service : Affaires Sociales

« Monographie de la région orientale 2009». ACTA, ACTIA, 1998 (Association de Coordination Technique Agricole (ACTA) et l’Association de Coordination Technique pour l’Industrie Agroalimentaire (ACTIA)), « Traçabilité : Guide pratique pour l’agriculture et l’agro-industrie ». Paris, France. AFNOR, 2002. « Traçabilité totale en agroalimentaire : Méthodologie, pratique et suivi ». Association des Qualiticiens du Maroc (AQM), 2002 «Bilan national de la qualité». BENDAOUD Mohamed, 2004, « Modélisation

agroalimentaire La Bourgogne, une région au service des Industries AgroAlimentaires pour relever les nouveaux défis industriels Innover pour prescrire aux marchés en développement des produits à haute valeur ajoutée, Intégrer les préoccupations du Développement Durable (nouvelles contraintes réglementaires - économiques - fiscales), Supporter la hausse des coûts énergétiques et des matières premières (concurrence des applications industrielles non alimentaires : biocarburants, biomatériaux…), Fidéliser et

ANDES, l’Association Nationale de Développement des Épiceries Sociales et Solidaires DOSSIER DE PRESSE JANVIER 2007 Qui est ANDESS ? Créée en 2000, ANDES est une association reconnue d’intérêt général qui fédère et anime en France le réseau des épiceries sociales et solidaires, et qui oeuvre en faveur de leur développement et de leur implantation durable. En soutenant ces structures, ANDES travaille à promouvoir un accès plus équitable à la citoyenneté économique des personnes

CONCLUSION IMMEE IDENTIFICATION DES SECTEURS PORTEURS DE LA REGION  BTP  T&C  A.A Potentiel : taux de croissance annuel moyen du secteur. Taille du secteur (CA) au niveau de la région. Légende Part de la région par rapport à la valeur nationale . Europalliances consulting 3 ANALYSE MATRICIELLE ORIENTAL 100 80 TEXT M&M L'évaluation du positionnement des secteurs de la région montre qu’il existe 4 secteurs phares susceptibles de permettre un développement équilibré de la région

potentiel industriel qui s’était développé grâce au rôle privilégié du pays, et de Dakar en particulier, au sein de l’AOF (Afrique Occidentale Française) et au développement d’infrastructures diverses (portuaires, ferroviaires et routières). Les industries pouvaient s’appuyer sur le marché des pays de l’AOF. Ce tissu industriel était essentiellement constitué d’activités d’huileries, de savonneries, d’égrenage du coton, d’industries d’emballage et d’alimentation ainsi que d’industries textiles. Dans

Le secteur agro-industriel occupe une place stratégique dans l'économie marocaine. Il compte plus de 1700 entreprises qui représentent 25% du total des établissements industriels. Les industries agroalimentaires (IAA) marocaines ont réalisé en 2002 un chiffre d'affaires, hors tabacs, de 53,8 Mds MAD (4,9 Mds €) dont près de 1,2Md € à l'export. Les plus importantes d'entre-elles, appartenant à de grands groupes marocains (ONA, Dyana Holding, Holmarcom) ou étrangers (Castel, Bel) génèrent des

organisent depuis 2000 TROPHELIA FRANCE les «Trophées Étudiants de l’Innovation Alimentaire». Plus de 180 produits alimentaires ont été réalisés dans le cadre de ce concours et plus de 25 ont fait l’objet d’une industrialisation et d’une mise en marché dans les circuits de distribution français. Trophélia est aujourd’hui devenu la référence nationale française en matière de challenge dans le secteur de l’innovation alimentaire . En 2008 dans le cadre du SIAL-Salon International de l’ALimentation, le concours

à hauteur d’un tiers du PIB industriel et 8 % du PIB national pour une production de plus de 5,4 milliards d’euros et dégage 1,6 milliards d’euros de valeur ajoutée. Ce secteur est en forte croissance grâce à la très bonne tenue de la demande aussi bien intérieure qu’à l’exportation. Ceci s’explique essentiellement par le changement manifeste des habitudes gastronomiques, induisant une amélioration du niveau de consommation nationale, mais qui demeure relativement bas par rapport aux pays

contribue à hauteur d’un tiers du PIB industriel et 8 % du PIB national pour une production de plus de 5,4 milliards d’euros et dégage 1,6 milliards d’euros de valeur ajoutée. Ce secteur est en forte croissance grâce à la très bonne tenue de la demande aussi bien intérieure qu’à l’exportation. Ceci s’explique essentiellement par le changement manifeste des habitudes gastronomiques, induisant une amélioration du niveau de consommation nationale, mais qui demeure relativement bas par rapport aux pays à