Association pour l'emploi, l'information et la solidarité des chômeurs et des précaires

Saindou Saoudati Rousselle Anaïs Groupe 3 La précarité Introduction : Actuellement il est difficile de définir le nombre exact de personne précaire en France, car chaque étude est basée sur différents critères. Mais tout le monde s’accorde à dire que le nombre de précaire ne cesse d’augmenter et la situation risque de perdurer car peu de solution sont mises à disposition de ces personnes. Cette situation d’instabilité ne permet pas aux individus de se projeter dans l’avenir, en effet

sans-logis) ; sans-emploi avec le MNCP (mouvement national des chômeurs et précaires), l’APEIS (Association pour l’emploi, l’information et la solidarité des chômeurs et travailleurs précaires) et AC ! (Agir ensemble contre le chômage). Créé en avril 1993 à l’initiative de syndicalistes, ce dernier groupe va jouer un rôle pivot entre les deux champs, syndical et associatif, notamment en cherchant à lier les conflits relatifs à l’emploi et ceux concernant la vie hors travail, par une synthèse entre

de la population pour 1975 et 1990, Enquête emploi pour 2000. Document 5 Lutte contre le mal-logement, organisation des chômeurs ou des sans-papiers sont autant de terrains où les associations se sont imposées. En revanche, les syndicats se sont au cours des dernières décennies concentrés essentiellement sur le seul champ de l'entreprise, à l'exclusion des précaires. [...] Cette attitude a été lourde de conséquences : les organisations syndicales n'ont pas pris la mesure du développement de

d’insertion permettent-elles aux personnes en situation de grande précarité de pouvoir se reconstruire à travers un projet professionnel ? Au commencement des années 80, de nouvelles formes de pauvreté apparaissent. Les jeunes non diplômés, les chômeurs de longue durée et certaines familles ne voient eloignés des normes sociales en matière d’éducation, de logement ou d’accès aux soins. Ces derniers ne semblent pas pouvoir s’en sortir avec la protection sociale en place de l’époque. Apparait la notion

formation ou bien des stages. En 1990, l’article 1 de la Loi Besson stipule que garantir le droit au logement constitue un devoir de solidarité pour l’ensemble de la nation (aucun français ne doit être sans abri). En 1998, la loi d’orientation à la lutte contre les exclusions consacre le passage d’une logique d’assistante à une logique d’accès aux droits (l’emploi, le logement, les soins et l’éducation) et réaffirme l’importance de lutter le plus en amont possible contre les exclusions. En 1999

des groupes sociaux ?Des liens sociaux relient les individus ... …au sein d’une diversité de groupe sociaux. Comment évoluent les liens sociaux dans des sociétés qui s’individualisent ?Processus d’individualisation et recomposition des solidarités : de la solidarité mécanique à organique. Les nouvelles sociabilités numériques qui contribuent au lien social. Quels sont les facteurs d’affaiblissement voire de ruptures des liens sociaux ?Différents facteurs d’affaiblissement des liens sociaux. Des facteurs

Introduction De novembre 1997à avril 1998, sur l’ensemble du territoire, à un rythme jusque-là inédit des chômeurs se lancent dans des occupations de bâtiments administratifs (ANPE, ASSEDIC, bâtiments EDF etc.), de lieux de mémoire à haute valeur symbolique (Normale Sup’, IEP) et organisent de nombreuses manifestations locales ou nationales. Ces sans emplois étaient alors réputés isolés, incapable de se mobiliser, sans aucun tissu social ou syndicale fort au niveau national

Il distingue en effet deux sociétés avec d’un coté les sociétés dites « traditionnelles »ou la solidarité est mécanique et repose sur une conscience collective forte elle se caractérise par la mise en commun de la propriété, le droit est répressif (on réprimande tout ce qui menace l’unité du groupe) et différenciation des individus est faible. De l’autre les sociétés dites modernes où la solidarité est mécanique c'est-à-dire que la division du travail et la différenciation des individus est accru

L’EXCLUSION SOCIALE SOMMAIRE Introduction I. L’exclusion sociale s’explique-t-elle ? Exclusion volontaire Exclusion involontaire : Les emplois précaires Le chômage L’exclusion en milieu scolaire La différence, tout simplement II. Quelles sont les mesures prises pour lutter contre ? Les mesures politiques : Santé & finance

Les maisons de l’emploi Fusion Anpe assedic Tables des matières Introduction      I-Presentation generale des maisons de l'emploi A) Définitions B) Constitution et fonctionnement C) Missions II – Les réformes pour améliorer l’emploi : l’exemple du plan Borloo (le volet emploi) A) Les mesures phares B) Les principaux résultats sur l’emploi III-Un exemple precis : la fusion ANPE-ASSEDIC UNEDIC A) Fusion