Assonances Et Allitération

Angélique / démoniaque => oxymore: « sorcière blonde »( v1) Répétition de sa « beauté » 2 fois (v4 ) ( v11) Mise en évidence de ses yeux: « pleins de pierreries » (v5) et ses cheveux: « blonde », « cheveux de soleil » « O belle Lorelei » = assonance en « é » = le juge est séduit (v5) « Lore » (d12) surnom , diminutif, il est séduit « loreley » « ensorcelé » => prononcer Lorelei à la française (d6) Elle souligne que ses yeux sont les flammes de l’enfer (v10) B- séductrice malgré elle

(Trace écrite) Cette allitération produit un effet de martèlement puisque la consonne est dure. Or, le sens du vers est d’évoquer la crainte du vieillissement de la rose. Il s’agit donc de montrer aux élèves que l’effet sonore s’accompagne d’une recherche de correspondance avec le sens du passage. A ce titre : QUESTION : Quelles sonorités se répètent dans le passage suivant : vers 16 et 17 : Cueillez, cueillez votre jeunesse ; Comme à cette fleur la vieillesse Il y a assonance en eu : insistance

comparaisons énumérations, répétitions, anaphores, parallélismes, hyperboles, antithèses, ironie… le ou les registres : pathétique, tragique, lyrique, polémique, satirique, comique, épique, fantastique, réaliste les effets sonores : allitérations, assonances les références culturelles dans les textes narratifs • le statut du narrateur • la focalisation employée • la description (éléments, ordre, utilité …les mouvements, ordre/désordre, les 5 éléments, les 5 sens, verticalité/horizontalité…)

dessus de tout. Si la rime est, pour lui, une parure nécessaire dont on ne peut se passer, on ne doit pas en abuser. D'ailleur, il affaiblit son effet d'écho trop répétitif par des assonances et des allitérations :"Plus vague et plus soluble que l'air", allitération en l et pl. "Par un ciel d'automne attiédi", assonance en ie. Pour le poéte les histoires racontées doivent être belles et emporter le lecteur, il demande vers 13 de "la Nuance encor" ,aux vers 31 et 32 "Qu'on sent qui fuit d'une âme en

que décrit le poète dans cette strophe est un bonheur idéal, les éléments naturels sont en sa faveur : vent du matin (on l’imagine léger), ciel lointain (on l’imagine à l’abri des soucis et du spleen) Les sonorités sont légères et douces aussi : allitération en -v dans « navire » « s’éveille » « vent » « rêveuse » et l’assonance en -ei qui est un son plutôt ouvert dans les rimes « éveille » et « appareille », « rêveuse » et « ciel ».

Alexandrin (12 syllabes) Rythme assez lent (dû à la tristesse du poème et des mots employés) Les rimes Qualifiée de suffisante (reprise d'un groupe constitué d'une voyelle et d'une consonne) Rimes féminines et masculines (assonances et allitérations) sont alternées de manière régulière (une sur deux) Lexique et ponctuation : Lexique varié (aucune répétition), deux majuscules dans la dernière strophe Le Temps qui mange la vie : Temps exprimé au sens large.

Bellay/ muses Intimes,amoureuses ambigües, de complémentarité. (v.8) * Légèreté de la description, une descr qui découle = Une phrase très longue en 4 vers. * Enjambements lecture + douce, fluide – solennelle * Assonances en « è » v6, v7, v8 * Allitérations en « S » v5 * « Ces doux plaisirs » n’appartiennent plus qu’au passé. Les deux quatrains font référence au passé heureux où Du Bellay était à son apogée, maître de lui-même, et accentue le caractère élégiaque du poème.

GENRES x | ~ Loading... x |+ — a x G @ File | C/Users/THERESE/Desktop/Memento%20ANALYSE%20DES%20GENRES%20(2).pdf 36o e ¢- 1 | of1 Q - +928 AY Read aloud Addtext | ‘VY Draw + ‘ Highlight v © Erase | @ Bl\27 B87 aQ = Jeux sur les sons: assonances, ‘enjambement.. allitérations. a + = Figures de style Quelques enjeux du texte théatral = Susciter le rire pour corriger les moeurs is = Susciter la terreur et la pitié pour détourner les spectateurs des passions (catharsis) bP = Représenter la situation politique

quand elles sont lues verticalement. Alexandrin : vers de 12 pieds* (12 syllabes). Allitération : répétition d’un même son-consonne en vue d’imiter un bruit Ex. Les souffles de la nuit soufflaient sur Galgala (V. HUGO) : la répétition des sons [fl] et[l] fait penser au souffle du vent. Alternées (rimes alternées ou croisées) V. Dispositions des rimes Apostrophe: Interpellation brute. Assonance : • Répétition d’un même son-voyelle en vue d’imiter un bruit. Ex. Tout m’afflige

sonorité "sot" et "saut" donnant de la légèreté pour l'un, alourdissant l'autre. - Cassandre incarne un vieillard libidineux et pervers. Il est selon les représentations, le père de Colombine, ou son amant. Cassandre "sous son capuce" présente une allitération en [s]. Cette sifflante minimise l'allure menaçante soit d'un père veillant sur sa fille, soit d'un vieillard libidineux qui avance masqué. Dans chaque cas, Cassandre en veut soit à la vertu soit au bonheur de Colombine. - Arlequin demeure un