Assortiment Galeries Lafayette

marchandise était exposée à la vue des clients et on pouvait toucher. -La qualité garantie. -Marge faible (13.5%) -Vendeur intéressés à la vente. -Ambiance de fête dans le magasin. Ceci concerne les magasins de grande catégorie (exemple des galeries Lafayette). 1879 : Aux USA, Woolworth a imaginé le magasin ou le tout à cinq cents. 1919 : FNCC : fédération nationale des coopératives de consommation, pour protéger le consommateur. 1920 : Rockefeller Center (N.Y) 1949 : Le premier centre LECLERC

vente : Parfumerie, Galerie Marchande, Parapharmacie. Cette marque américaine existe depuis l973.Après deux faillites successives de ses représentants en France, elle est distribuée depuis 2001 par Gad Eden en sélectif. Iman Type de produits : Soin et maquillage Distribution : 100 Point de vente : Parfumerie, Galerie Marchande, Boutiques spécialisées Type de produits **: Capillair_e__ _(distribué par Sephytal) Distribution ::_ _80 Point de vente: Parfumerie, Galerie Marchande, Boutiques

alimentaires. Il se caractérise par une structure de coût optimisée par rapport à d'autres formes de commerces de taille plus réduite (supermarchés, supérettes, épiceries...). Généralement situé en périphérie des villes, l'hypermarché propose un vaste assortiment de marchandises y compris non alimentaires, en libre-service. DEPARTEMENT 06 : ALPES-MARITIMES | | | Antibes | | Chemin Saint-Claude - 06606 - Antibes | | | | Auredis | | 344 CHEMIN DES

faible capacité d’achat ne lui permet pas d’obtenir des prix d’achats intéressent Il est difficilement compétitif sur les prix de ventes. Risque financier ->à supporter seul. Organise ses ventes ->comme il veut, adapter rapidement son assortiment a la demande de ses clients. Total liberté -> gestion du point de vente.{Ex : Déco} Des bénéfices lui appartiennent. Le commerce associé:L’association a pour but de regrouper les achats des adhérents et d’obtenir ainsi des prix compétitifs

vendu ses parts à Carrefour. Ce groupe, à la suite de sa fusion avec Promodès, et sur injonction de Bruxelles pour cause de position dominante, les a lui même cédées à une banque allemande, pour portage au profit à terme de Casino. De même, au Galeries Lafayette, l’une des deux familles fondatrices a cédé en 2005 à la BNP Paribas une partie du capital du groupe selon un montage complexe, associant les activités à caractère financier (Cofinoga et Laser) et préservant, dans une certaine mesure, l’autonomie

COMMERCIAL I. La distribution des produits de grandes consommations (PGC) A. Les supérettes Commerce de proximité. - 400 m², zone de chalandise réduite et restreinte (5-10 min de déplacement - Réimplantée en milieu rural - Assortiment alimentaire à 95 % et panier moyen de 12 € - Prix plus élevé que la moyenne (indice base 100 : 110 – 120) en raison de 2 facteurs : charges d’exploitation et concurrence - Forte présence de marques distributrices (marges élevées)

1er dans le commerce de proximité Les petits libre services sont en baisse Supérette en hausse ainsi que le convenience store Grand magasin : Définition : Surface supérieur à 2 500m², assortiment large et profond dans différentes familles de produits non alimentaire La largeur d’un assortiment détermine le nombre de familles de produits différents présents dans le magasins. La profondeur de l’assortiment illustre le choix à l’intérieur de chaque famille. Historique, évolution, prospective :

Politique commercial VI. Conclusion I.Histoire 29 octobre 1932 : Ouverture du premier Monoprix à Rouen Le premier magasin Monoprix ouvre ses portes en plein centre ville de Rouen, par Théophile Bader (fondateur des Galeries Lafayette). 1947 : Monoprix est crée ses propres marques Monoprix créé ses propres marques afin de palier les défaillances des distributeurs. Après la libération, l'expansion du réseau explose véritablement grâce à l'engagement et l'enthousiasme

L’hypermarché L’hypermarché se caractérise selon l’IFLS (Institut Français du Libre Service) par un établissement de vente au détail d’une surface minimale de 2500m² offrant principalement en libre service et à des prix très compétitifs un assortiment en alimentation, et en marchandise en général. Le paiement des achats est centralisé aux caisses de sortie (exception faite de certain département comme la photographie ou la bijouterie) les horaires d’ouverture sont prolongées. Les hypermarchés

des grosses agglomérations n’ont que ce moyen d’acheter de dosettes. Néanmoins, la VAD n’engendre pas d’achat d’impulsion : en effet en boutique, les clients n’achètent pas uniquement ce dont ils ont besoin. Ils peuvent être séduits pour un assortiment de tasses ou bien par les offres du moment ainsi que profité d’un marketing sensoriel important propice à l’achat. Notamment, la vue avec une ambiance de détente et de modernité, des jeux de couleurs (capsules) et de design (les machines s’inscrivent