Assumer Ses Actes

dans chacun de ses actes. Il s'oppose à son instinct : c'est un agent libre et il est un produit mobile original. L'homme est doté d'un libre arbitre qui lui permet de résister à son instinct, contrairement aux animaux qui ne suivent que leur instinct. Tous les hommes sont libres, du maître à l'esclave puisque vu que l'esclave est lui aussi un agent libre, il a la capacité de se révolter. De plus, puisque l'homme est un agent libre, il est défini par l'ensemble de ses actes. En effet, à sa naissance

refus d’accéder à la connaissance ? S’excuser par ignorance, n’est-ce pas une façon de ne pas assumer ses actes ? Soit nous acceptons cette excuse et admettons dans ce cas que l’homme ne peut pas tout savoir soit nous la refusons et indiquons ainsi que l’homme doit toujours rechercher la vérité et le savoir. La réponse à cette question permettra peut-être de nous aider à assumer nos actes en faisant progresser notre raison. Il s’agit de faire admettre que la recherche de la vérité

responsabilité nous sommes chacun un sujet moral unique qui doit prendre une responsabilité même pour les actes et désirs inconscients. *** L’identité d’une personne subsiste à travers le temps, le sujet est donc responsable à la fois moralement et juridiquement de l’ensemble de ses actes. En effet, le seul moyen de réaffirmer que vous êtes bel et bien quelqu’un, c’est de revendiquer vos actes comme vôtres, malgré le temps, malgré les défauts de la mémoire, malgré l'inconscient. L’expression «

est très prononcé chez le personnage principal de l’histoire : Meursault. En lisant ce texte, nous ne pouvons pas ignorer le fait qu’il est un héros existentialiste. C’est un homme qui ne croit aucunement à Dieu et c’est une personne qui assume pleinement ses actes. Meursault est un personnage existentialiste. En effet, étant non croyant, il ne met pas Dieu dans sa vie. La philosophie existentialiste se base sur le fait que chaque personne doit être leur libre arbitre de leur propre choix. Ce but est

lieu un événement mondialement connu pour sa grandeur, la Seconde Guerre mondiale. Tous les pays vaincus furent en quelque sorte forcés de collaborer avec des dominants, s’ils voulaient survivre, en acceptant certaines conditions imposées. Devant les actes de plus en plus graves desAllemand, une résistance s’organise à partir de l’été de 1940. Écrite en 1941, une œuvre fictive de Jean-Paul Sartre est inspirée de ce contexte historique. Morts sans sépulture raconte l’histoire de 6 résistants qui, capturés

Les actes engagent-ils plus que les paroles ? S'engager par les paroles et les actes, est-ce plus significatif que de s'engager par la pensée ? Introduction : Qu'est-ce que l'engagement ? Est-ce seulement une chose futile, trop utilisée pour qu'elle aie encore du sens, ou bien une réelle prise de position, une implication certaine dans un projet ? L'engagement se fait sous forme de paroles ou d'actes, les paroles précédent souvent les actes, elles servent à annoncer ce qu'on compte faire, mais

physiques, mentales (déficients intellectuels ou malades mentaux handicapés) ou atteintes de handicaps associés, dont la dépendance : - les rend inaptes àtoute activitéprofessionnelle ; - justifie l’assistance d’une tierce personne pour la plupart des actes essentiels de la vie quotidienne ; - nécessite une surveillance médicale et des soins constants ; - requiert un soutien et une stimulation constante, ainsi qu’un suivi paramédical régulier. Au-delà de ces missions, la circulaire de 1986 confère une

atténuantes. Ici se pose le problème de la conscience de nos actes ou de nos paroles et de leurs portées. En effet, sommes-nous réellement responsables de ce que nous faisons si nous avons agi sous une influence quelle qu’elle soit ? Inversement, n’est-ce pas nier totalement notre conscience que de se donner des excuses ? Si la conscience nous donne une connaissance de nous-mêmes et de ce qui nous entour, elle nous oblige également à assumer nos actes. La conscience semblerait donc inséparable de la responsabilité

famille. Frantz a participé à la Seconde Guerre mondiale, et est devenu un tortionnaire, et depuis il se séquestre, dans l’impossibilité d’assumer les conséquences de ses actes. C’est ce que ce passage met en tension : la liberté ou le déterminisme (familial et social) et la responsabilité ou la non responsabilité de ses actes. Frantz est séquestré physiquement, mais comme on le verra, tous les membres de la famille sont aliénés, séquestrés dans une impossibilité d’agir « pour eux », librement, en

En faisant une promesse, un homme perd-il sa liberté ? Introduction : La liberté désigne l’absence de contrainte : rien ne nous gêne dans nos pensées, nos actes, et nos choix. Agir librement, c’est agir sans contrainte. On n’a besoin de personne, on est autonome. Or, une promesse est un acte, une parole à quelqu’un dont on a fait le choix. Pour faire une promesse, nous n’avons besoin de personne, nous seul prenons la décision de la faire. Nous agissons librement. Ne peut-on pas aussi affirmer