Assumer Ses Actes

la responsabilité du Président de la République, il faut nécessairement distinguer sa responsabilité politique – couramment définie comme l'obligation de répondre des actes qu'il accomplit devant ceux dont il détient de le pouvoir (peuple) – de sa responsabilité pénale – habituellement définie comment l'obligation de répondre des actes qu'il accomplit devant la justice. D'UNE IRRESPONSABILITÉ POLITIQUE DE PRINCIPE AU DÉVELOPPEMENT D'UNE RESPONSABILITÉ POLITIQUE DE FAIT Selon la tradition française

Troisième partie (p. 51-56) : l’existentialisme prône l’action p. 51 : « l’homme n’est rien d’autre que l’ensemble de ses actes » p. 52 : « Un homme s’engage dans sa vie, dessine sa figure, et en dehors de cette figure, il n’y a rien. (...) Le génie de Proust, c’est la totalité des oeuvres de Proust » (sous-entendu : Proust n’est pas plus que l’ensemble de ses actes, c’est à dire, pour ce qui est de son génie en littérature, ses livres) p. 55 : « le lâche se fait lâche, le héros se fait héros »

obligation de réparer le tord que l’on a causé, d’accepter les conséquences de ses actes. La responsabilité est une conscience, c’est assumer ce qu’on fait comme nous le souligne Rabelais dans Pantagruel « science sans conscience n’est que ruine de l’âme » c'est-à-dire qu’il faut toujours agir avec conscience, ouvrir l’œil sur les faits, les événements… C’est une situation de celui qui peut être appelée a « répondre de » ses actes ou d’un fait. Elle peut s’entendre au sens juridique ou pénal aussi bien

la liberté à cause de la peur de la liberté( mauvaise foi -exister : liberté, tous nos actes résultent de choix libres( importance du projet que l’on a créer pour notre vie. Il faut faire des choix en fonction de ce projet ! -La mort : on n’a plus de choix, on n’existe plus, mais on est, car on est la somme de nos actes. -L’existence : brouillard, anxiété, confusion, liberté(peur -Seul les actes comptent, les pensées n’ont aucune importance, car elles restent en nous et les autres ne

circonstances, excitations et impulsion. La formule implique d’emblée que je me sois ici comporté de façon passive. Mais en vérité, mon comportement n’a pas été seulement passif, il a été actif aussi, et de façon essentielle, car c’est mon vouloir qui a assumé telles circonstances à titre de mobiles, qui les a fait valoir comme mobiles. Il n’est ici aucune place pour la relation de causalité. Les circonstances ne jouent point le rôle de causes et mon vouloir n’est pas l’effet de ces circonstances. La relation

but d’assurer la participat° de l’individu a la collectivité. On dit que ces droits sont négatifs. Ces droit on d’une certaine manière pour obj de conserver la liberté de l’individu. DETERMINISME : les actes des H sont soumis à un ensemble de causes, les actes humains ne proviennent pas d’un choix perso mais sont dicté par la réalité du monde / programmé. DROIT : ensemble des règles de conduite socialement édictée et sanctionnée, qui s’imposent aux membres

on est en présence d’un service public dès lors qu’on est en présence d’une mission d’intérêt général assuré ou assumé par une personne publique : « soit géré directement par une personne publique en régie, soit confié à une personne privée » selon l’arrêt CE, 1938 Caisse primaire Aide et protection , pourvu que la personne privée « assume » cette activité en la contrôlant, selon l’arrêt CE, 1990, Ville de Melun. Le gestionnaire

Dissertation finale Littérature et imaginaire Huis clos Dans Huis clos, seule Inès assume sa responsabilité Philosophe et écrivain, Jean-Paul Sartre, est fondateur du courant littéraire philosophique et esthétique nommé l’existentialisme. Huis clos, écrite vers 1943 début 1944, est l’une de ses premières pièces de théâtre. Parmi les trois personnages de Huis clos, Inès tient une place tout-à-fait particulière. Le fait qu’Inès se déclare ouvertement lesbienne alors que l’homosexualité était

choisir et, pour choisir, se représenter. La psychanalyse défend la thèse du refoulement, c'est-à-dire la thèse selon laquelle l'esprit ne peut assumer certains événement traumatiques, et se trouve dès lors contraint de les « oublier », c'est-à-dire en rejette pas conscience dans un inconscient continuant pourtant à déterminer le fonctionnement des actes et des paroles. À part ce cas-là, le choix de censurer (qui impliquer une volonté et une décision), procède toujours d'une analyse, d'une capacité

10% des capacités de notre cerveau, et bien je crois que l'aliénation morale et éthique autant sociale que personnelle sont responsables de cette limitation. La conscience est par définition la connaissance que le sujet a de son existence et de ses actes par une réflexion et une analyse sur lui-même. Omniprésente elle est avant, pendant et après chacune de nos actions et de nos choix au travers de la mémoire. Pour Descartes, il y a identification de la conscience et du sujet : je ne suis rien d’autre