Assumer Ses Actes

obligé de faire un choix entre deux choses ou plus. Cela représente la contrainte de ne choisir que l’une ou l’autre des options offertes, alors qu’il voudrait peut-être avoir les deux. Doit assumer les conséquences de ses actes Un homme, qu’il soit amoureux ou non, doit assumer les conséquences de ses actes. Par exemple, lorsqu’il frappe sur quelque chose, il doit accepter le fait d’avoir brisé cette chose. Le moindre geste ou action, aussi minime soit-il, aura des conséquences. Ainsi, l’action

qualité de son ouverture au monde qui rendra cette conscience plus ou moins riche. B- La conscience comme choix existentiel La conscience n’est pas une sorte de fatalité que l’on subirait passivement mais elle impose au contraire tout homme à assumer sans cesse sa liberté. Si dans le domaine théorique, on peut tout à fait être sceptique (douter) mais dans la pratique même politique, on ne peut pas être sceptique car il faut nécessairement choisir si l’on veut ne pas subir. Dans l’action ne pas

Introduction Le jugement est une des dimensions fondamentales de la morale. Or, celui-ci nest possible que si la personne est considre commelauteur responsablede ses actes. Ds lors, tout ce qui semble contester cette possibilit semble ruiner la morale. Nest-ce pas le cas justement des explications de notre conduite par le recours linconscient Cette notion dsigne des phnomnes psychiques qui se produisent en nous sans que notre volont le dcide. Il semble donc que nous soyons commands de lintrieur

Troisième partie (p. 51-56) : l’existentialisme prône l’action p. 51 : « l’homme n’est rien d’autre que l’ensemble de ses actes » p. 52 : « Un homme s’engage dans sa vie, dessine sa figure, et en dehors de cette figure, il n’y a rien. (...) Le génie de Proust, c’est la totalité des oeuvres de Proust » (sous-entendu : Proust n’est pas plus que l’ensemble de ses actes, c’est à dire, pour ce qui est de son génie en littérature, ses livres) p. 55 : « le lâche se fait lâche, le héros se fait héros

atténuantes. Se pose ainsi le problème de la conscience de nos actes ou de nos paroles et de leur portée : sommes-nous responsables alors que nous avons agi sous une influence telle qu’elle a obscurcit notre conscience ? Inversement, n’est-ce pas nier totalement notre conscience que de se donner des excuses ? Si la conscience nous donne une connaissance de nous-mêmes et de notre rapport au monde, elle nous oblige à « répondre » en retour de nos actes, la conscience semble inséparable de la responsabilité

et il fut prémédité » (« atroce » « prémédité » ) toute cette ironie que julien fait vis-à-vis des classe social supérieure et le fait qu’il se assume les conséquence de ses actes encre de plus en plus le discours de julien dans le discours épidictique , on peut déduire de son discours que julien ne cherche pas a se faire pardonner il assumes ses actes et se présente comme étant un martyr, et accepte sa condamnation ainsi que l’injustice de la société actuel qui le condamne car il est issue d’une

sujet. Ainsi la liberté, par sa dimension ontologique, doit être distinguée des libertés dans leurs dimensions politiques. 1) Liberté/ [Déterminisme, fatalisme] qu’est ce qui prouve la liberté ? [2) Qu’est ce qu’être libre ?/ 3) Comment l’homme assume-t-il sa liberté ?] Mais que signifie la liberté ? Quand nous affirmons ou contestons que l’homme est un être libre, de quoi parlons-nous ? Et d’ailleurs comment l’homme se situe-t-il face à sa propre liberté ? I/ Une liberté sous condition 1/

intitulé Antigone, Antigone représente la révolte tandis que Créon représente la résignation. Dans la structure de cet écrit, deux thèmes l’illustrent, soit le désir de liberté et la responsabilité de diriger son peuple. La motivation derrière les actes de révoltes d’Antigone vient de son désir de liberté. Elle s’oppose aux comportements hypocrites. En effet, un sentiment de désapprouvassions est illustrer envers les personnes qui sont incapables d’être sincère dans leurs discours. Dissimuler ses

soi-même en gage . C’est prendre une décision librement et être prêt à en assumer les conséquences. Par conséquent, s’engager c’est prendre une responsabilité qu'on n'était pas obligé de prendre. D‘après Sartre « L'homme se trouve dans une situation organisée, où il est lui-même engagé, il engage par son choix l'humanité tout entière et il ne peut pas éviter de choisir. » L’engagement participe à donner un sens à son existence: assumer le poids de sa responsabilité en toute liberté, sans quoi l'existence

un bon point de départ pour la dissertation), mais on remarque aussi que nous le faisons souvent (ainsi dans la vie de couple par exemple). La distinction entre ce que nous sommes et ce que nous faisons, entre notre être (ou notre essence) et nos actes était très utile pour traiter le sujet. Elle présent l’intérêt de clarifier les idées et d’aller à l’essentiel, et a été vue par certains élèves d’ailleurs. Certains ont parlé d’inné et d’acquis, de nature et de culture : cela n’était pas impertinent