Atelier de misère

hommes du jour, déchargent les berlines pleines du noir charbon que le câble a remontées du fond du gouffre. Là, les femmes trient la houille, la séparent des schistes et du roc stérile. Une partie du combustible est conduite par la locomotive vers un atelier de lavage spécial. » Extrait de L. Simonin, Le Creusot et les mines de Saône-et-Loire, 1867. In Magnard, Histoire. Une terre, des hommes. Cycle 3, 1996, p. 133. Le marteau-pilon du Creusot « Ce marteau ne ressemblait en rien aux marteaux

prisonniers admirer lui mais les geôliers le détestent. Claude avait toujours faim dans la prison et un jour Albin, un homme maigre et faible lui offre un demi de ces rations. Une vraie amitié s’est commence entre Claude et Albin. Le directeur des ateliers, M-D était un homme detester par les prisonniers et il était jaloux de la popularité de Claude. Alors, un jour M-D avait decider de changer Albin de quartier. Claude avait beaucoup de difficulté avec la seperation et essaye de persuader le directeur

de conscience que le capitalisme libéral déstructure les sociétés (libéral : que l’Etat ne contrôle pas, l’Etat n’intervient pas pour corriger, réguler les abus comme dans le capitalisme interventionniste). Les socialistes ont fait le constat de la misère des travailleurs, des conditions de vie exécrable. On s’entasse dans les centres-villes qui se « taudifient », dans des logements insalubres, exigus, l’alimentation est insuffisante… Ils connaissent des conditions de travail très dures : la longueur

conversation à caractères allusif, on a seulement des morceaux d’infos, des non-dits, de l’implicite, des sujets taboux. La valeur informative : cadre spatiaux temporel : 1943-1945 en zone libre après la guerre. Un matin très tôt. Le lieu : un atelier de couture (vocabulaire de la couture lignes 30-35-50) ce qui défini un cadre et une atmosphère de travaille. Les personnages : ils sont nombreux pour une scène d’ouverture, on doit prendre en compte les présents et les absents : les deux enfants

5 ans de prison pour ce crime. Il a besoin de beaucoup de nourriture pour vivre. Il est doux, gentil, aimé. Tous les prisonniers l’écoutent et le respectent. Il est très attaché à Albin. Il tue M.D. puis est condamné à mort. M.D., le chef des ateliers de la prison, est un homme «mauvais» (vicieux) mais pas «méchant» (il ne commet pas de crimes). Il se sert de Gueux pour contenir les émeutes des prisonniers. Cependant, il décide de séparer Albin et Gueux, pour une raison inconnue («parce que»)

auprès de laquelle il est surpris le 5 juillet en flagrant délit d'adultère. Scandale public. Léonie Biard est emprisonnée, tandis que son titre de pair de France vaut à Hugo d'échapper à la prison. Victor Hugo se fait oublier et commence à écrire les Misères, qui deviendront Les Misérables. Le 4 juin 1848, Victor Hugo est élu député. Le 20 juin, il prononce son premier discours à l'Assemblée 1er août. Il soutient la candidature de Louis-Napoléon Bonaparte à la présidence de la République. Il était un

brevets etc) On distingue plusieurs sorte de pays : Un centre (triade) Des périphéries intégrés autonomes (Russie, Chine, Brésil, = d’affirme de plus en plus sur la scène internationale) Des périphéries intégrés dominées (Etat atelier = On y accueil des industrie de type textile, électronique… ,Etat spécialisé dans la fourniture de matière première = Pétrole, gaz 30% de la production mondiale PMA (49) = pays moyennement avancé, mis à l’ écart pour des raisons géopolitiques

cours histoireThème 2 : La France dans l’Europe des nationalités : politique et société 1848-1871 Chapitre 2 : L’industrialisation et l’accélération des transformations économiques et sociales en France. Intro : Entrée dans une phase d’industrialisation dans le premier tiers du XIXe siècle, la France est marquée à l'époque par de profondes transformations économiques et sociales. Alors que le pays reste majoritairement rural, les industries se développent et des milliers de travailleurs ruraux

qui ressemble sur plusieurs points à Paul Cézanne, grand ami de Zola, et qui se brouillera avec l’écrivain après la publication du roman.   Résumé   CHAPITRE I (pp. 29-52)   Un soir d'orage, au mois de juillet, alors qu'il rentre dans son atelier, Claude découvre une jeune fille qui s'est réfugiée sous le porche. Elle lui demande l'hospitalité, lui expliquant qu'elle se retrouve seule et perdue dans Paris. Elle vient de province et se rendait à l'origine à Passy pour être lectrice chez une

produit est celui d’un miroir qui refléterait l’affligeante vérité des classes ouvrières. La nouvelle prend des allures de brasier, le peuple brûle, l’État l’encourage. L’énergie d’activation est la véhémence du ton de l’auteur, engagé contre la misère. La peine de mort est signe de déclin, d’une société qui croit progresser en encourageant le peuple au vice. Pour l’auteur il faut agir en amont du problème, soit investir dans le peuple par l’éducation. Enfin, une note est introduite au début