Attentat d'Anagni

inversée, qui représente l’organisation de l’association criminelle. Le regarde se tourne directement sur le bas de cette pyramide, sur le portrait de Michel Manouchian, le « chef » de ce groupement. Puis dans le bas de l’affiche des photos de six attentats ou destructions représentant les actions qui leurs sont reprochés. De même dans le haut de l’image se trouve un texte (blanc sur fond rouge) tourné à la forme interrogative « Des Libérateurs ?». Mais il semble avoir une réponse à cette question dans

victimes d'une tragédie effroyable. Leurs frères Hassan et Nordin viennent de s'entretuer en faisant exploser accidentellement une grenade. Ont-ils sombré dans le terrorisme ? Hassan a- t-il voulu arracher à Nordin la grenade destinée à un attentat ? Ou bien est-ce Nordin qui n'a pas supporté qu’Hassan joue au héros ? Personne ne peut le dire et la question n'est pas là. La structure qui impose et qui réglemente aujourd'hui la conduite de ces orphelins, c'est l'école. La direction de l'école

le rouge excepté la question « des libérateurs ? » écrite en blanc signifiant la paix. C'est une ironie du blanc car l'affiche veut montrer que ce ne sont pas des libérateurs mais une «  une armée du crime »  de terroristes qui font des attentats. Sur la partie haute il y a un flèche qui part du haut et qui descend vers le bas , à l’intérieur de cette flèche , il y a la présence de médaillons avec la photo des condamnés, comme les médaillons qui sont sur les tombes des cimetières

RÉSUMÉ : Un attentat vient d’avoir lieu dans un restaurant de Tel-Aviv. Docteur Amine Jaafari, musulman d’origine arabe, s’occupe de soigner les victimes au bloc opératoire. Il arrive finalement chez lui tard dans la nuit. Cependant, sa femme qui était supposée être rentrée de voyage n’est toujours pas là. Au cours de la nuit, le docteur est réveillé par un appel téléphonique. Il doit se rendre à l’hôpital où on va lui annoncer le décès de sa femme et que les blessures qu’elle a subies portent à

il refuse et il est pendu. Dora, à la fin, s'apprête à faire le prochain attentat et peut ainsi rejoindre Kaliayev. À noter que Dora et Kaliayev sont amants (au sens ancien du terme, c’est-à-dire qui aime et est aimé). La pièce est basée sur des faits historiques réels : le 17 février 1905, le groupe terroriste des socialistes révolutionnaires (Organisation de combat des SR), dont Ivan Kaliayev, dit Yanek, a commis un attentat sur le grand-duc Serge. C'est d'après cet événement lié à la révolution

l’autodétermination, que le F.L.N se rallie à la lutte pour l’indépendance. Cette guerre est déclarée par un attentat du F.N.L le 1er novembre 1954. Puis il y a eu le 20 août 1955 à Philippeville, le massacre des Européens par le F.N.L. En représailles des milices pieds-noirs ont tué un millier de musulmans. C'est cet événement qui plonge définitivement l'Algérie dans la guerre. Les attentats du F.N.L se poursuivent. Paris prend donc une décision, un grand nombre d'appelés du contingent fut envoyé

GRZYWACZ : Juif polonais, 2 attentats ELEK : Juif hongrois, 5 déraillements WASJBROT : Juif polonais, 1 attentat, 1 déraillement WITCHITZ : Juif polonais, 15 attentats FINGERCWAJG : Juif polonais, 3 attentats, 5 déraillements BOCZOV : Juif hongrois, chef dérailleur, 20 attentats FONTANOT : Communiste italien, 12 attentats ALFONSO : Espagnol rouge, 2 attentats RAYMAN : Juif polonais, 13 attentats MANOUCHIAN : Arménien, chef de bande, 56 attentats, 150 morts, 600 blessés. L’image

contre les attentats qui font des victimes innocentes. Chaque refrain est basé sur un jeu de mots entre "à dieu" et Adieu". Le "tu" du refrain est Dieu. Le "je" je pose des questions sur lui et montre que les extrémistes commettent des attentats au nom de Dieu qui pourtant ne leur demande rien. Dans la 1ere strophe c'est un attentat ferroviaire à Madrid : une femme meurt. Dans la 2eme strophe c'est un Kamikaze à Netanya en Israël : un homme meurt. Dans la 3emece sont les attentats des tours

II) 11 ANS APRES : LE CONSTAT a) Evolution de l’opinion publique face aux actions de l’Etat. Le lendemain des attentats, l’Amérique est sous le choc. On va voir peu à peu se former une unité sans précédent : les américains sont touchés pour la première fois sur leur propre territoire, sur des symboles particulièrement américains, ce fut une attaque à l’entité que forme l’Amérique, et par conséquent tous les américains se sentaient concernés et se retrouvèrent bousculé dans leurs convictions

trêve de l'organisation séparatiste basque, auteur de nombreux attentats.   Novembre 2002: naufrage au large de la Galice du pétrolier Le Prestige, qui perd 60 000 tonnes de pétrole. La gestion de la crise par le gouvernement est controversée.  Janvier 2003: le gouvernement espagnol apporte son soutien au projet américain d'attaquer l'Irak. En février, un million d'Espagnols manifestent contre la guerre en Irak.  11 mars 2004: des attentats dans 10 trains à Madrid à une heure de pointe font 191 morts