Attentat Suicide De Tchen

Portait Parallèle de Tchen et Hong Les conquérants (1928), La Condition Humaine (1933) Le portait de Tchen est projeté en Hong Leur rapprochement des 2 hommes vers un même But - Dans les conquérants  Hong est un anarchiste et soutient par ses actions de meurtrier le régime communiste - Dans la condition humaine Tchen se rapproche du terrorisme en Perpétrant une grande violence : dans la première scène Tchen a Poignardé un trafiquant d'armes et dans la 4ème partie le 11avril il tente

communistes par la Bande Verte, une société criminelle secrète Résumé La Condition humaine relate le parcours de Tchen, Kyo, Katow, Clappique et May, un groupe de révolutionnaires communistes préparant le soulèvement de la ville de Shanghaï. Au moment où commence le récit, communistes et nationalistes préparent une insurrection contre le gouvernement. Pour s'emparer de sa cargaison, Tchen poignarde un trafiquant d'armes. Kyo et Katow, soutenus par le baron Clappique, peuvent alors les distribuer

ici sur l'homme par rapport au temps et à l'instinct de mort, en montrant le cheminement intellectuel d'un communiste révolutionnaire qui cherche un sens à sa vie et le trouve dans le terrorisme. Tchen passe à l'acte et va assassiner Tchang Kaï Shek.Notre scène d’étude expose l’attentat suicide de Tchen sur la voiture du général Chang-Kai-Shek, chef du Kuomintang et tyran désavoué par les communistes- qui se solvera par un échec et la mort tragique du terroriste. Cet extrait clôt la

sa cargaison, Tchen poignarde un trafiquant d'armes. Kyo et Katow, soutenus par le baron Clappique, peuvent alors distribuer le fret aux combattants clandestins. L'insurrection a lieu le lendemain : le 22 mars. Le capitaliste Ferral convainc le milieu des affaires de se rallier au général Tchang Kaï-chek, sur le point d'envahir la ville. La victoire remportée, ce dernier se tourne contre les séditieux. En réaction, Kyo consulte le Komintern, mais Moscou préfère rester neutre. Tchen, pour sa part

1927. Tchen, partisan de l’insurrection, tue un trafiquant d’armes puis il rejoint ses compagnons, Kyo et Katow, à la boutique d’Hemmelrich. Là ils écoutent des disques, et discutent de l’insurrection prévue le lendemain. Au Black Cat, un club de Jazz, Kyo rencontre Clappique. Kyo exhorte cet occidental spécialiste en commerce d’armes à récupérer les armes du trafiquant tué dans la soirée. Quand il rentre chez lui, Kyo, apprend de sa femme, May, qu’il est trompé. De son coté, Tchen se rend

donne rendez-vous. Tchen, avec deux complices organise sans succès un premier attentat contre Tchang Kaï-chek. Il se cache ensuite chez son compagnon Hemmelrich (un ouvrier d’origine suisse) et décide d’agir seul la fois suivante. Ferral trahi les révolutionnaires et décide de rejoindre le camp de Tchang Kaï-chek. Le narrateur le rend comme un personnage ridiculisé et minable. Cependant c’est lui qui s’en sortira le mieux. Kyo  se rend au rendez-vous de Clappique avec sa femme. Tchen décide de se jeter

groupe de révolutionnaires communistes préparant le soulèvement de la ville de Shanghaï. Au moment où commence le récit, le 21 mars 1927, communistes et nationalistes préparent une insurrection contre le gouvernement. Pour s'emparer de sa cargaison, Tchen poignarde un trafiquant d'armes. Kyo et Katow, soutenus par le baron Clappique, peuvent alors distribuer le fret aux combattants clandestins. L'insurrection a lieu le lendemain, et ils remportent facilement la victoire grâce à une population qui leur

L’absurdité du destin dans la Condition Humaine I) L’absurdité du hasard dans le destin de l’Homme 1) Un hasard menant à la mort * Si Tchen était passé plus tard chez Hemmelrich il aurait vu Katow qui aurait pu l’empêcher de commettre son attentat suicide en l’informant de l’absence de Chang-Kai-Shek dans la voiture. * Si Clappique avait perdu tout son argent rapidement, il serait sorti de la maison de jeux et aurait rejoint Kyo au rendez vous. Le hasard n’étant pas de son coté

significatives: « Souen, pose ta main sur ma poitrine, et prends dès que je la toucherai : je vais vous donner mon cyanure. Il n'y en a 'bsolument que pour deux.» Tchen: Présence: Nous pouvons distinguer le personnage de Tchen dans la première, troisième et quatrième partie de La Condition Humaine. Dans la première partie, nous pouvons voir Tchen tuant un trafiquant d'armes et parvient ainsi à s'emparer de ses papiers qui permettront à Kyo et à Katow, ses compagnons, de s'emparer de la cargaison d'armes

mainly the socialist insurrectionists and people involved. The four protagonists are Ch’en Ta Erh (whose name is spelled Tchen in the French version of the book), Kyo Gisors, the Soviet emissary Katow, and Baron De Clappique. Their individual plights are intertwined throughout the book. Chen Ta Erh is sent to assassinate an authority, succeeds, and is later killed in a failed suicide bombing attempt on Chiang Kaishek. After the assassination he becomes governed by fatality and desires simply to kill