Audit Du Cycle Stocks Et Encours De Production

Plan Introduction PARTIE 1 AUDIT DE LA SECTION STOCKS Chapitre 1 : GÉNÉRALITÉS SUR STOCKS Section 1 : DEFINITION ET TYPOLOGIE DES STOCKS A) Définition des stocks B) Typologie Section 2 : LA GESTION DES STOCKS A) Les indicateurs de gestion des stocks B) Les documents de gestion des stocks Section 3 : L’EVALUATION DES STOCKS A) le coût dans le patrimoine de l’entreprise B) la valeur de l’inventaire C) la valeur du bilan Section 4 : LA COMPTABILISATION DES STOCKS A) Principes comptables

rapprochement d’entreprises concurrentes dans le but de renforcer le pouvoir de marché des entreprises. Ces regroupements visent également la matérialisation des économies d’échelles.  Economie d’échelle Parce que le regroupement d’unités de production permet de réaliser des gains de productivité et évites de créer des coûts supplémentaires sur le marché.  Renforcer le pourvoir de marché Parce que certaines fusions acquisitions permettent aux entreprises d’atteindre la place dominante sur

d’abord consacrée à des activités de développement urbain et de protection de l’environnement. L’institution a développé ses activités de microfinance à partir de 1995, grâce à des financements européens. Au 31 décembre 2004, enda a un encours de prêts de 2,9 M EUR, pour 16 292 emprunteurs actifs, et offre ses services principalement dans le Grand Tunis. b R isques : identification et contrôle B Tendance: Positive b b A ctivités: produits et services a F inancement

* M. Luc AKUESON Expert-comptable mémorialiste, du département Audit et assistance comptable au cabinet COFIMA. * M Claudel TOULASSI Réviseur comptable, du département Audit et assistance comptable au cabinet COFIMA. * Le personnel du Cabinet COFIMA pour son accueil. Résumé et mots clés Résumé Comme la plupart des entreprises du secteur public, l’IGN est confronté à des difficultés dans la gestion de son cycle d’exploitation notamment la gestion des comptes clients dont l’accumulation

Audit de la fonction 'production' Introduction La fonction technique ou « production » est une fonction vitale et occupe une place primordiale au sein des entreprises. Son importance est évidente : sans le produit, les autres fonctions n’ont pas de justification ; et la défaillance, la performance insuffisante de la production peuvent en très peu de temps anéantir les efforts des autres fonctions. En effet, cette fonction a pour principale mission d’assurer la mise à disposition du marché

re-conditionnement ; coût de déclassement sur produit fini ou encours ; coût de retravaillage / recyclages ; coût de pertes dues aux achats inemployables ; non respect des temps unitaires ; approvisionnement défectueux ; changement technique ; mauvaise planification ; accidents de travail ; coût d’absentéisme ; coûts des heures supplémentaires, pertes outillages ou gaspillages ; gaspillages matières premières ; casse en cours processus ; délais non tenus et sur stocks. Coût des rebuts Les rebuts sont les produits

une méthodologie spécifique; Justifiant un niveau de diligence acceptable par rapport à des normes. L'audit s’est étendu sur d'autres domaines; c'est ainsi qu'on parle d'audit informatique, juridique, fiscal, social, d'audit des achats, de la production… C’est ce qu’on appelle l’audit opérationnel. Lorsque la mission d'audit prend un caractère légal c’est-à-dire quand elle est imposée par les lois sur les sociétés ; elle prend le nom du commissariat aux comptes. Nous consacrons notre rapport

limité, l’auditeur donne une assurance modérée que les informations objets de l’examen, ne comportent pas d’anomalie significative. L’assurance modérée apportée par un examen limité est d’un niveau inférieur à l’assurance raisonnable apportée par un audit. L’opinion, dans le cadre de cette mission, est exprimée sous la forme d’une assurance négative par rapport à l’image fidèle des états financiers. Dans l’exemple d’une mission d’examen limité l’opinion serait « nous n’avons pas relevé d’éléments de

.................................................................. 28 Référentiel et plan comptable applicable ............................................................................. 58 3. Acceptation, préparation et planification des audits .................................................65 3.1. Acceptation d’un client et évaluation du risque « d’engagement »....................................... 65 4. Outils et applications des normes et référentiels ......................

Abdelghani Bendriouch pour la qualité de son encadrement. Mes remerciements s’adressent également à mon directeur financier, Mr Pierre Constans, pour son soutien et ses orientations. Il m’est particulièrement agréable de remercier le responsable de ce cycle, Mr M.Mouaffak, son assistante Mme Samia Raiti ainsi que tous les intervenants qui ont animé les séminaires et qui n’ont épargné aucun effort pour nous faire bénéficier de leurs connaissances et de leurs expériences. Enfin, Je souhaite par ce présent