Auguste Scheurer-Kestner

morts (1 adulte) 1892-1894 : vague d’attentat anarchiste contre les figures du personnel politique républicain  pour atteindre un régime qui se confond au yeux des terroristes avec la défense de l’ordre bourgeois. 1893 : attentat à la bombe de Auguste Vaillant. Emile Henri après plusieurs attentats meurtriers est exécuté. Décembre 1893 loi qui punit de prison la provocation au vol, au meurtre et à l’incendie et transfère en juillet 1894 aux tribunaux correctionnels ( et non les jurys de cours

est promu officier de la Légion d’honneur. 21 août: Zola assiste au départ du «Train blanc» de la gare d’Orléans (pèlerinage à Lourdes). 22 sept.: Congrès international de la presse à Londres (sur l’anonymat dans la presse). 9 déc.: l’anarchiste Auguste Vaillant lance une bombe en pleine séance de la Chambre des députés. 1894 12 févr.: attentat d’Émile Henry, au café de l’hôtel Terminus. 24 juin: assassinat de Sadi Carnot, président de la République, par Caserio. Été: séjour à Médan jusqu’au

raison, sans invoquer le secours d’une autorité surhumaine » (Manuel d’instruction civique, 1901). L’imagerie vantant les grands héros, défenseurs de la patrie, se diffuse dans les manuels scolaires. Au côté de Vercingétorix, sont célébrés Philippe Auguste, Louis XII, Henri IV, Louis XIV, tout autant que les héros révolutionnaires, Hoche ou Bonaparte. La République, par crainte d’une restauration monarchiste ou de la venue d’un homme providentiel, rejette toute personnalisation du pouvoir. Les grands

amitiés et ses relations : Mathieu Dreyfus, le frère d’Alfred Dreyfus, est un ami intime du banquier Christ, apparenté à Henriette Gallé, l’épouse d’Emile Gallé. Ce dernier est également le beau-frère de Charles Keller, qui fréquente le sénateur Scheurer-Kestner, un des premiers défenseurs de Dreyfus. C’est ainsi presque naturellement que Gallé va entrer dans la bataille de l’affaire Dreyfus, derrière celui-ci. Enfin la foi chrétienne et républicaine de Gallé va être ébranlé par cette affaire : pour

journaux : il demande à se faire payer en argent ou surtout en pages blanches (cela lui évite de sortir de l’argent frais de ses caisses), qu’il remplit lui-même de publicité qu’il revend à des entreprises/banques. En 1857, ses fils (Charles Guillaume et Auguste) s’emparent de la Société générale d’annonces (SGA), installée au 8 place de la Bourse, formant le 2e pilier de l’Agence Havas[footnoteRef:1]. A l’origine, la Correspondance Havas est composée de trois feuilles autographiées sur les presses lithographiques

Esterhazy. Cependant, le personnel a refusé d'annuler la condamnation et a affecté Picquart en Afrique du Nord. Pour attirer l'attention sur la fragilité des preuves contre Dreyfus, sa famille décide de contacter le vice-président du Sénat Auguste Scheurer-Kestner en juillet 1897. En quelques mois, il est convaincu de l'innocence de Dreyfus. Le même mois, Mathieu Dreyfus porte plainte au ministère de la Guerre contre Walsin Esterhazy. Lorsque le cercle de Dreyfusard s'est élargi, deux évènements presque

Quand on a l'honneur d'être vivant, on s'exprime ! »[Réf. incomplète][Quand ?][10], dira-t-il plus tard. Libéré, il visite son ami Ferdinand Taule, détenu à Sainte-Pélagie [3], où il rencontre Auguste Blanqui, alias « l'Enfermé », avec qui il se lie d'amitié et de complicité, ainsi qu'Auguste Scheurer-Kestner, personnage central de la défense de Dreyfus [3]. En 1896, il honorera Blanqui en parlant de « cette vie de désintéressement total (...) [qui] ne découragera que les lâches du grand combat pour

apparaîtra bientôt une opposition irréductible quand les ambitions de  pouvoir personnel de Louis-Napoléon Bonaparte  commencent à se faire jour. , ce qui sera  un parjure impardonnable aux yeux de Hugo qui s’indigne ainsi en juillet 1851;  «Quoi! après Auguste, Augustule! Quoi! parce que nous avons eu Napoléon-Le-Grand, il faut que nous ayons Napoléon-Le-Petit!» La suite des événements est connue. Dans la nuit du 1er au 2 décembre 1851 le prince-président  fait un coup d’état. L’assemblée est dissoute

Jules Grévy, Jules Favre, Jules Simon (avec un crescendo de gauche à droite). Républicains de tendance girondine. L’Union républicaine, groupe formé par Gambetta et les gambettistes avec en particulier Eugène Spuller, Joseph Reinach, Auguste Scheurer-Kestner, plus à gauche que la Gauche républicaine des Jules mais conscients de la nécessité de compromis et du besoin de donner de la République une image rassurante. Lors des élections de janvier, juin et octobre 1872 ; le camp républicain se

peintres qu'il a sans cesse défendus dans ses chroniques.  Il gagne l'amitié d'Édouard Manet, qui le représente plusieurs fois dans ses œuvres ; grâce à lui, Zola fait la connaissance de Stéphane Mallarmé. Il est proche aussi de Camille Pissarro, Auguste Renoir, Alfred Sisley etc.. Paul Cézanne, son ami d'enfance, tient évidemment une place à part. Pendant des dizaines d'années, le peintre et l'écrivain se côtoient, échangent une correspondance riche et s'entraident même financièrement. Mais avec