Australopithèque

rôle important, il est parfois difficile de se trouver une place avec ses qualités et ses défauts. C’est pourquoi l’homme met tout en œuvre pour se surpasser et être mieux que ce qu’il est déjà. L’homme est le résultat d’une évolution. D’abord Australopithèques et maintenant mammifère le plus évolué de la Terre, il est presque inscrit dans sa nature le fait d’évoluer et d’augmenter ses capacités. De la découverte du feu à l’utilisation de l’énergie nucléaire, l’homme dans toute sa puissance ne peut

ont pu l’atteindre. Ceux au bec plus long ayant survécu, peuvent se reproduire et donner des mésanges au bec long. C’est la sélection des espèces. En raison de ses deux facteurs importants, entre -4.4 et -2.8 millions d’années, la branche des australopithèques se détache pour devenir les hommes, en raison d’importants changements climatiques. Troisièmement, selon le docteur Van Lisbeth, l’homme serait né d’une adaptation volontaire à un changement climatique. D’abord des bactéries unicellulaires,

appartient à la lignée humaine. Pb3 : quels organismes place-t-on dans la lignée évolutive humaine ? 3. « Une famille peu ordinaire » : une histoire buissonnante. (TP2) a) Un ancêtre commun à tous les anthropomorphes. b) Un groupe préhumain : les australopithèques. c) Le genre Homo. Pb4 : D’où venons nous ? 

l'arbre. ARN polymérase (n.f.) : Enzyme catalysant la trans¬cription d'un brin d'ADN en ARN. ARNm (n.m.) : Acide ribonucléique messager. Poly¬mère de nucléotides (A, U, C, G) issu de la trans¬cription d'une séquence d'un brin d'ADN ou gène. Australopithèque (n.m.): Homininé fossile exclu¬sivement africain, connu par plusieurs espèces, essentiellement entre 4,2 et 1 millions d'années, présentant une certaine bipédie. Autotrophe (n.m.): Organisme ou cellule ayant la capacité de fabriquer sa matière

l’industrie de la pierre taillée. 1. Les ères occupées par l'homme au paléolithique L’observation des squelettes retrouvés révèle que plusieurs types d'hommes ont vécu au paléolithique : en Afrique (le zinjanthrope appartenant au groupe des australopithèques est le plus ancien), en Asie (le pithécanthrope), en Europe (le Neandertal et le cromagnon). 2. Les conditions de vie - l’habitat L'homme du paléolithique n'avait pas d'habitat car, il se déplaçait suivant les saisons et les changements climatiques

primates dateraient de -65 à -50 Ma tandis que celui de l'homme et du chimpanzé est forcément plus récent. Aucun primate actuel ni fossile ne pouvant cependant être considéré comme un ancêtre. B) l'homme est un Homininé cela inclut les australopithèques et le genre homo avec ses représentants fossiles et actuels. Ils se caractérisent par des adaptations du squelette à la bipédie permanente ( trou occipital avancé, bassin court et large etc...) donc aptitude à la course à pied et une face réduite

établis qui permettent de construire des arbres phylogénétiques. L'homme possède des critères morphologiques qui lui sont propres et qui permettent de classer un fossile dans la catégorie de la lignée humaine. La lignée humaine regroupe les australopithèques et les hommes (actuels et fossiles). Elle regroupe ainsi des individus depuis environ 6 millions d’années. Tout un buisson d’espèces s’est succédé au fil du temps. L'homme occupe une place importante dans le règne animal. L'homme est un primate

3e. La photocopie non autorisée est un délit. 6. La position de l’espèce humaine parmi la lignée fossile On étudie les caractères de primates fossiles et actuels. chimpanzé (de – 4 Ma à aujourd’hui) capacité crânienne moyenne : 400 cm3 australopithèque (de – 4 Ma à – 3 Ma) capacité crânienne moyenne : 450 cm3 Homo habilis (de – 2,5 Ma à – 1,8 Ma) capacité crânienne moyenne : 650 cm3 Homo sapiens (de – 0,2 Ma à aujourd’hui) capacité crânienne moyenne : 1 400 cm3 trou occipital trou occipital

Abel et Toumaï (7M) Ororin (6M) Lucy (3M) disparition à la suite d'une glaciation Le paléolithique inférieur de -2,5 millions à -250 000 années : Fin du tertiaire début du quaternaire période de sécheresse en Afrique disparition des australopithèque. invention des habitats (2M) : l'homme ne vit plus dans la forêt et se regroupe en campements homo ergaster : on lui doit les premières migrations hors d'Afrique vers l'Europe de l'est et le proche orient. homo habilis (2,5M) nomade création

visuel. Dans ce groupe on peut aussi le rapprocher des chimpanzés puisque c'est un hominoïde, hominoïdé, hominidé, homininé. III Les critères d'appartenance à la lignée humaine La lignée humaine commence il y a 7 millions d'années avec les australopithèques. Pour faire partie de cette lignée il faut avoir un cerveau développé (de 500 à 1500 cm3). On constate également par rapport aux singes une disparition du bourrelet sus-orbitaire, un bassin large et étroit, une arcade dentaire parabolique, un