Authentification

l’exportateur fourni la facture en plusieurs exemplaires (6 au moins en plus de l’originale) Certain pays exigent que la facture soit visée ou authentifier par la chambre de commerce locale de l’exportateur, d’autre exigent que se visa (authentification) se fasse par le consulat du pays de l’exportateur. L’Algérie a opté pour le système du prix de référence pour luter contre le phénomène de sous facturation. 2) Le connaissement maritime « BILL OF LADING » : Le connaissement maritime rempli

pour le suivi des ordres d’achat tout au long du cycle de production, jusqu’à la réception des marchandises. Exemple d’écrans e-SCM Web ation pplic ne a U uitive ie int onom e erg – Un fevr. 2009 Confidential BELHARRA 2 Authentification Gestion des droits et habilitations : chaque utilisateur contrôle ses propres données fevr. 2009 Confidential BELHARRA 3 Exception Management Chaque acteur peut visualiser, en fonction de son profil, toutes les anomalies, changements

insignificative en soi, mais efficiente pour l’oppression des autres. Pour Sartre (et, c’est sans doute aussi le cas pour Prévert) il faut se libérer de ce monde de la mauvaise foi, il faut échapper à ces systèmes d’oppression générale, par une authentification existentialiste, voire par l’irrationalité que Prévert offre dans son poème – se laisser emporter par l’oiseau-lyre pour arriver dans son pays d’imagination où il n’y ait plus cette oppression. On pourrait presque dire, que c’est une espèce de

* Comme les RPC (Remote Procedure Call) * A l'échelle globale, sur Internet * Comme le ver Blaster avec les RPC DCOM * Un système de dénomination global unique (URI) * Des projets de systèmes répartis de gestion des authentifications et * des permissions (SAML) * Des projets d'annuaires de Web Services (UDDI) III-Technologies des Web Services 1-XML ( eXtensible Markup Language) Le XML (Extensible Markup Language, « langage de balisage extensible ») est

web - des composants de collaboration (génération de portails…) et d’analyse décisionnelle (moteur OLAP, générateur d’état…) directement embarqués dans la plate-forme - l’intégration native de fonctions très avancées de sécurité (encryptage, authentification…) - la compatibilité avec les principales suites bureautiques du marché (Microsoft Office, Open Office, Star Office, IBM Lotus Domino). :: L’entreprise 1.0 Hiérarchie pesante Friction Bureaucratie Inflexibilité Axée sur la technologie

Banque. 7 Modèle du processus d’affaires Processus d’approbation d’une protection à découvert Banque de Moncton Début 1. Saisir # carte et NIP Authentification non acceptée Infos personnelles Montant désiré Approbation / accès au bureau de crédit Client Approbation et délai ou refus a b 2. Authentifier client Authentification réussie? non 3.Informer client SIRV Clients oui 4. Acheminer l’appel 5. Saisir # carte 6. Valider/MAJ données personnelles 7

|– dégradation | |– logiciel anti-intrusion (pare-feu) | | |– malveillance | |– authentification, filtrage des | | | | |utilisateurs | | | |

premier octet, y peut être omis pour spécifier jusqu ' à la fin) Entêtes des réponses serveur HTTP ■ Accept-Range = accepte ou refus d 'une requête par intervalle ■ Age = ancienneté du document en secondes ■ Proxy-Authenticate = système d 'authentification du proxy ■ Public = liste de méthodes non standards gérées par le serveur ■ Retry-After = date ou nombre de secondes pour un ressai en cas de code 503 (service unavailable) ■ Server = modèle de HTTPD · utilisé par Satan !!!! ■ Set-Cookie

WASC établie dans son rapport « WASC Threat Classification » une liste exhaustive des menaces qui pèsent sur la sécurité des applications Web. Elles sont regroupées dans six catégories définies dans la version 2004 de ce rapport. La catégorie « authentification » regroupe les attaques de sites Web dont la cible est le système de validation de l’identité d’un utilisateur, d’un service ou d’une application. La catégorie « autorisation » couvre l’ensemble des attaques de sites Web dont la cible est le

802.11h) et être 802.11h en conformité avec la réglementation européenne en matière de fréquence et d'économie d'énergie. La norme 802.11i a pour but d'améliorer la sécurité des transmissions (gestion et distribution des clés, chiffrement et authentification). Cette norme s'appuie sur l'AES (Advanced 802.11i Encryption Standard) et propose un chiffrement des communications pour les transmissions utilisant les technologies 802.11a, 802.11b et 802.11g. La norme 802.11r a été élaborée de telle manière