Auto Conscience Hegel

coutume, tradition, habitude, passion exacerbée et tyrannique (Dostoïevski, Le joueur ; Goethe, Les souffrances du jeune Werther) Paradoxalement, on peut vouloir librement ne plus être libre. Rousseau : « L’esclave finit par aimer jusqu’à ses fers ». Cet auto-enfermement peut s’effectuer à notre insu : pouvoir de l’inconscient, symptômes de la névrose, influence des idéologies de l’époque, conditionnements multiples, etc. La liberté peut-elle s’enchaîner elle-même volontairement ? Peut-on vouloir

des économistes. Au final, il n’écrira que sur l’économie. Marx a dû s’exiler plusieurs fois (en Belgique, en Angleterre). Il a écrit avec Engels (GB) « Le manifeste du parti communiste ». Il a été influencé au départ de sa vie par le philosophe HEGEL. Il emprunte l’idée qu’il y a des lois de l’histoire. Cela signifie que d’une part l’histoire a un sens, mais également que toutes les sociétés vont traverser divers étapes historiques. Si on soutient qu’il y a des lois de l’histoire et qu’elles

l’univers, cette source commune de tout ce qui est en train d’être imprime une impulsion décisive au cours de l’histoire : ne sommes-nous qu’une passion inutile de ce presque rien d’Être ? Cette manifestation où il y a de la conscience ne serait-elle une évolution de la conscience de l’Être par lui-même et dans ce cas quelle peut être notre participation au cours de l’histoire de l’Être ? II - CONTINGENCE ET NECESSITE LORS DE L’ELABORATION D’UN RECIT. A - Légendes et mythes. Le génie intuitif

I- La foi religieuse - espoir, refuge - rassemble - II- L'aliénation - Dérive : secte, fanatisme religieux ( les extrémistes ) - Contraintes liés à la religion, rites,traditions, rythmes de croissance auto privation de liberté, soumission - La religion est un frein à l’évolution des mœurs (avortement, etc.). Elle freine la liberté individuelle, elle culpabilise l’individu, etc. - Conclusion : La religion est porteuse de liberté car elle peut symboliser l'espoir pour des hommes en détresse

La conscience : On admet généralement que la conscience est le propre de l’être humain au même titre que la raison. Pourtant, la conscience est une forme de présence au monde qui semble commune à certains animaux et aux être humains. On distinguera donc, en toute rigueur, la conscience spontanée, commune aux animaux supérieurs et à l’homme, et la conscience réfléchie, propres aux êtres humains. Celle-ci serait plus précisément la capacité de se mettre à distance de soi-même pour s’observer, ou

jardin d’Eden marque la souffrance du travail par rapport à une situation antérieure, c’est à dire un âge d’ or de la nature où l’homme est protégé du travail dans le paradis terrestre. L ‘expulsion du jardin d’Eden marque une rupture et une prise de conscience de la nullité de l’homme devant la nature. Le travail porte alors la marque de la nature humaine déchue. Adam et Eve ont consommé le fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal : maintenant ils savent. Ils sont tout à coup arrachés à l’innocence

société parce qu'il existe des lois dans l'histoire. Si l'histoire a un sens, il fait preuve d'historicisme. Pourquoi, cet historicisme ? Parce qu'il a été influencé par la pensée de Hegel car il conçoit l'histoire du monde comme le développement de l'idée de liberté dans les limites de la conscience de l'homme. Pour Hegel, chaque étape de l'histoire est dominée par l'esprit du temps qui va déterminer les pensées et les actions des peuples. Il existe des contradictions inhérentes à chaque étape de l'histoire

en tant que résultat ou oeuvre, il a aussi et peut-être avant tout un effet sur celui qui travaille. Hegel affirme ainsi (Phénoménologie de l’esprit) que “cet être-pour-soi, dans le travail, s’extériorise lui-même et passe dans l’élément de la permanence; la conscience travaillante en vient ainsi à l’intuition de l’être indépendant comme intuition de soi-même.” C’est ainsi qu’en prenant conscience de ses besoins et en faisant intervenir les moyens techniques de les satisfaire, l’homme se rend non

Doctrine philosophique qui nie l’existence du monde extérieur, et réduit celui-ci aux représentations de la subjectivité. Autrement, les idéalistes pensent que le monde n’existe pas sans sujet pour le penser. Voir les philosophies de Platon, Kant, Hegel, Fichte, - Positivisme : Le principe du positivisme est de réfuter à l’homme tout sens métaphysique, s’attachant ainsi aux sciences objectives, à la recherche de lois. Voir la philosophie d’Auguste Comte - Stoïcisme : Le stoïcisme est à la fois

SECTION 1 : ANTHROPOLOGIE PHILOSOPHIQUE « Qui suis-je, moi qui dis « je » ? » CH1 : L’HOMME, DANS LA LUMIERE DE LA CONSCIENCE I) Etymologie : Du latin conscientia : con- (« avec ») et scientia (« connaissance »). Conscience= intuition + ou – claire qu’un esprit a de ses états ou de ses actes =capacité à représenter qui né du caractère auto-réflexif de l’activité humaine |Pensée (elle ne peut être vu lorsqu’elle est éclairée)