Automatistes

conseil l’inspire a dépendre que de ces sentiments et non au choix du thème pour la création de ces tableaux plus clairement de dessiner automatiquement. De la surgit «le concept de l’automatisme»1, en effet Borduas dessine son premier tableau «automatiste»2 en 1943, les expositions s’ensuivent et notre artiste devient célèbre, par son désaccord avec le control de l’église catholique au Québec sur tous les composants de l’état, il dénonce l’abus de pouvoir de l’église et incite les gens à se manifester

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la succession hallucinante d'images contradictoires. » Au Québec, dans les années 1940, naitra un groupe d'artistes qui se qualifie d'« automatistes ». Ils feront grands bruits dans la société québécoise avec la sortie en 1948 du Refus Global qui s'oppose à toute l'idéologie des autorités au pouvoir, qu'elles soient politiques ou religieuses. Les automatistes se regroupent autour du peintre Paul-Émile Borduas et sont de toutes les formes artistiques. Dû à leur position à contre-courant et très avant-gardistes

la succession hallucinante d'images contradictoires. » Au Québec, dans les années 1940, naitra un groupe d'artistes qui se qualifie d'« automatistes ». Ils feront grands bruits dans la société québécoise avec la sortie en 1948 du Refus Global qui s'oppose à toute l'idéologie des autorités au pouvoir, qu'elles soient politiques ou religieuses. Les automatistes se regroupent autour du peintre Paul-Émile Borduas et sont de toutes les formes artistiques. Dû à leur position à contre-courant et très avant-gardistes

Montréal 1923 – l’Isle-aux-Grues QC 2002 Autriche 200 x 300,7 cm 1945 Huile sur toile Né à Montréal en 1923, Jean Paul Riopelle a fait de la peinture, de la sculpture, l’estampe, la céramique et la lave emmaillée. Il est membre du groupe des AUTOMATISTES de Paul-Émile Borduas. C’est Riopelle qui illustra la jaquette du Refus Global en 1948. Il vit à Paris (1948) où il devint un des chefs de file à l’école abstraite de Paris et en 1966. Il était très populaire à New York et représentait fièrement

ou Toyen et des écrivains comme André Pieyre de Mandiargues, Joyce Mansour et Julien Gracq. Le surréalisme exerça une influence importante au-delà des années 1960 sur de nombreux mouvements littéraires ou artistiques, et inspira notamment les automatistes canadiens (Paul-Émile Borduas, Jean-Paul Riopelle), les artistes du pop art et les adeptes du Nouveau Réalisme. En 1969, soit trois ans après la mort d’André Breton, Jean Schuster signa officiellement, dans le quotidien le Monde, l’acte de décès

Graffiti - Harlem Renaissance - Modernisme - Muralisme - Orphisme - Peinture non figurative - Nouvelle Objectivité - Pittura Metafisica - Précubisme - Primitivisme - Purisme - Rayonnisme - Shin-Hanga - Suprématisme - Surréalisme Après-guerre : Les Automatistes - Art conceptuel - Art brut - Colorfield Painting - Cobra - Expressionnisme abstrait - Figuration Libre - Figuration narrative - Gutai - Hyperréalisme- Peinture informelle - Minimalisme - Néo-expressionnisme - Nouveaux Fauves - Mouvement Trompe-l'œil/Réalité

Les Plouffe (1948) • Anne Hébert, Le torrent (1950) • Yves Thériault, La fille laide (1950) • Françoise Loranger, Mathieu (1949) 1948 : Le refus global Refus global est un manifeste artistique publié le 9 août 1948 à Montréal par le groupe des Automatistes. Son auteur, Paul-Émile Borduas, remet en question les valeurs traditionnelles et rejette l'immobilisme de la société québécoise de l'époque. Il considère alors que le surréalisme ne peut coexister avec le dogme catholique. Il désire plus que tout

incontournable, dans le monde de l’art contemporain. C’est par cette préoccupation première d’exprimer l’identité que des femmes artistes participent de plain-pied à l’éclatement du modernisme. On ne compte plus les œuvres de la période dite « post-automatiste » au Québec qui consacrent de diverses manières le décloisonnement des disciplines (performance, installation, etc.) (Arbour 1993). Ce que montre, entre autres, l’exposition tenue en 2010 au Musée national des beaux-arts du Québec : Femmes artistes

la succession hallucinante d'images contradictoires. » Au Québec, dans les années 1940, naitra un groupe d'artistes qui se qualifie d'« automatistes ». Ils feront grands bruits dans la société québécoise avec la sortie en 1948 du Refus Global qui s'oppose à toute l'idéologie des autorités au pouvoir, qu'elles soient politiques ou religieuses. Les automatistes se regroupent autour du peintre Paul-Émile Borduas et sont de toutes les formes artistiques. Dû à leur position à contre-courant et très avant-gardistes