Automutilation

les suscite pas) sous le double effet de l'insuffisance des soins dispensés et des conditions de vie dans les établissements pénitentiaires (promiscuité, troubles du sommeil...). Cette situation met en danger les malades (risque suicidaire et automutilation), le personnel pénitentiaire et les codétenus. Le rapport établi en 2009 par le docteur Louis Albrand sur la prévention du suicide en milieu carcéral montre ainsi que la dépression, lorsqu'elle n'est pas prise en charge, est la première cause

de l’erreur très couteuse, d’où l’importance de réussir brillamment - hyperactivité scolaire pour éviter les liens sociaux, les affects (évitement narcissique) - refus de toute forme d’aide (montrer que l’on gère la situation) - automutilation (scarifications) - disponibilité aux apprentissages variable, changements d’humeur - faible estime de soi Stratégies envisageables par l’enseignant : - travailler sur les liens sociaux : s’assurer que l’adolescente est entourée

action Atteinte à l’intégralité physique. De 2 ordres : - Raisons d’ordre psychique (je souhaite me mutiler…) la société nous empêche de nous mutiler, de nous suicider. La société est opposer à tout se qui porte atteinte à la vie. Les automutilations ne sont pas permises mais elles ne sont aucunement incitées par le droit. Le droit protège l’intégrité physique. Si je suis sadomasochiste : Je prends plaisir à me faire plaisir. - Raisons d’ordres de convictions 3 termes

incorporation d’alcool s’inscrit dans un essai d’annulation de l’alcoolisme du père qui entraîne Léa dans un processus de destruction de soi et de séparation (de l’image paternelle). Le processus de « réparation » est souvent fait de destruction (automutilations tec). Toute la fantasmatique issu de l’incorporation cherche à réparer dans l’imaginaire une blessure réellement advenue. Ces oppositions entre idéalisation et dénigrement, destruction et réparation et le recours à l’annulation renvoient à un

evautpasgrandchose,autres:peuventpas/mecomprendre/m’aimer=vontmerejeter,vie:vide/ennuyante)comportements(impulsivité(SPA,sexualité,dépenses/boulimie),colèresintenses,instabilitéaffective(amour/haine),identitéperturbée,comportementssuicidaires/automutilation)(*crisesintenses,préfèrentdouleurphysiqueàémotionnelle,jetehais/nemequittepas)personnalitéC(Tp.CsetraitemieuxqueA/B):évitant:croyances(soi:nul/raté,autres:metrouventennuyeux/vontmerejeter,vie:vautmieuxéviter/qu’êtrejugé)comportements(indécision

Terribles colères, rages, haine soudaine envers les proches.  Tendance à se tourner vers la consommation de substances psychotropes.  Dépenses superflues, gaspillages, etc.  Une perte de poids spectaculaire.  Fuite de la maison familiale.  Automutilations pouvant aller jusqu’au suicide.  Agressivité, angoisses, etc. Traitement :  Médicaments appelés neuroleptiques (apaisement des hallucinations, délires et problèmes déficitaires mais ne guérissent pas).  Psychothérapies o Psychanalyse

sont encourus d’1 mois à 2ans ou d’une amende de 100 à 500. -des dépressions nerveuses. -des violences conjugales. -une perte d'autonomie et de liberté : arrêt des études par exemple. -des grossesses non désirées. -tentatives de suicide , automutilations. -agressivité, pulsions violentes. Elles peuvent aussi avoir des difficultés matérielles ,comme par exemple des problèmes de logements, des pertes d’emplois, ces femmes ont des problèmes financiers qui les poussent à gérer leurs vies, afin de

travail en 1996, et en définissant un plan d'action en janvier 1997. Il reste que bon nombre de suicides pourraient être évités si le personnel pénitentiaire pouvait consacrer davantage de temps à l'écoute des détenus. b- Les automutilations Les automutilations apparaissent en prison à la fois comme une manifestation du désespoir des détenus et comme un moyen d'appeler au secours. Il suffit d'une lame de rasoir pour entailler un bras. Certains détenus exhibent avec fierté leur avant-bras

de plongée, qui nous permet de ressentir l’espace. On augmente le son pour rendre le paysage encore plus inhumain. b) Un gradé donne toujours l’ordre d’aller au combat. Les armes employées sont les baillonnettes, mitraillettes, obus,… 3) Les automutilations et la réaction des officiers a) Ils sont prêts à tout, pour fuir cet enfer des tranchées. Cette violence omniprésente, permet de montrer la brutalisation du combat. Ils sont considérés comme des traitres, ils sont menacés d’aller à la cour martial=

ambiguïté en rapport avec le sexe chromosomique, et le besoin intense et constant de changer de sexe et d’état civil ». Le transsexualisme entraine pour le sujet un état dépressif grave qui le conduit fréquemment à des tentatives de suicide ou à une automutilation. Le changement corporel apparait alors, pour les médecins, comme la seule thérapie de nature à faire cesser le trouble dont souffre le transsexuel. Mais cette thérapie ne peut aboutir que si elle est accompagnée d’un prise en compte, par la société