Automutilation

problèmes et leurs colères. C’est pourquoi les éducateurs de cet établissement sont souvent confrontés à de la violence de la part des usagers. Cette violence a plusieurs formes elle peut être verbale, physique mais aussi elle peut se manifester en automutilation. Les notions qui ressortent le plus souvent sont la violence, la communication et la socialisation. Les enfants ne sachant pas comment exprimer ce qu’ils ressentent ou leurs peurs, ne peuvent pas avancé, avoir un cursus scolaire ordinaire ou

distance relationnelle, peur de tout contact physique »» intérêt pour la sexualité ne correspondant pas à l’âge, masturbation excessive (éventuellement en public) »» agressions sexuelles sur des enfants plus jeunes »» comportement agressif »» automutilation, abus de drogues »» tendances suicidaires »» fugues, mensonges, refus de l’effort, délinquance »» régression pour adopter le comportement d’un stade de développement antérieur »» baisse du rendement scolaire Effets psychiques possibles à long

motivé, il n’y a pas d’interprétation au geste. Impulsion hétéro agressive : toujours imprévisibles, d’une grande violence, exécutées froidement. Elles peuvent revêtir un caractère symbolique délirant. Impulsion auto-agressive non suicidaire : automutilation Isolement social : arrêt de toute activité scolaire ou professionnelle rupture avec les amis, la famille clinophilie : fait de rester au lit Régression totale : mutisme, anorexie, incurie… IV / Formes cliniques A – Schizophrénie

décide. Le fait de pouvoir prendre des décisions nous confère un choix, synonyme de liberté intellectuelle. Ainsi, en nous empêchant de faire ces choix pour laisser cette opportunité au hasard, ne peut-on pas plutôt assimiler cela à une simple automutilation, une privation, plutôt qu’à un manque de considération et un laisser aller ? En effet nous nous ôtons la liberté de pouvoir décider en laissant autre chose décider à notre place. Le paradoxe de la question que l'on se pose émane ici même : une

pourrait provoquer des effets neurocomportementaux indésirables (agissant sur les neurones et causant des troubles du comportement). En cause : une hyperactivité, ainsi qu’une grande sensibilité au bruit et des comportements bizarres. tels que des automutilations POUR les rats (ils se rongeaient les pattes). Ces effets pourraient provenir du rôle de neurotransmetteur de la taurine, des doses de taurine élevées exciteraient trop les neurones.` QUELS EFFETS ONT-ELLES SUR NOTRE ORGANISME ? EFFETS BENEFIQUES

l’éducation physique, ne semble pas vouloir retourner à la maison à la fin de la journée, retrait social, etc. * S’engage dans des comportements à risque : abus de drogues et alcool, vitesse automobile, activité sexuelle non protégée, fugue, automutilation, tentative de suicide, troubles alimentaires, etc. * Santé mentale : dépression, anxiété, attaque de panique, semble en colère contre le monde entier, agressivité envers autrui, etc. Ces indices doivent être pris au sérieux, surtout si plusieurs

trouver le point faible des autres jeunes et de se l’approprier afin de les entrainer dedans. Elle se bascule à coté des autistes, ou les engraines dans leurs stéréotypies. Elle part dans des discours de folies avec les psychotiques, imite les automutilations …etc. Face a ce comportement, Inès m’est apparue comme « malsaine » ce qui m’a au départ désemparée puis bloquée. Je n’arrivai tout simplement pas à établir une relation éducative avec elle. Face à cette impasse, je décide d’en parler à ma

l’importance de l’observation même si la lecture de ce livre m’a plus fait comprendre les enjeux de l’observation et de la verbalisation. En effet, j’ai pu remarquer dans le comportement de D. des similitudes avec les remarques de M. Lemay, hormis les automutilations. Cet enfant s’inflige des autopunitions en se frappant ou par exemple en se tapant la tête contre son armoire. Il est constamment dans une recherche d’affection auprès des éducatrices mais la rejette aussitôt. J’ai pu remarquer qu’au début de

Également en petit groupe pour favoriser les interactions. - Les thérapies familiales : dynamique des interactions et représentations familiales - Les thérapies cognitivo-comportementales : modifier les comportements inadaptés ou dangereux (automutilation, agressivité…). Aider la personne à avoir des conduites plus adéquates socialement. (ABA, IBI p.115) - La thérapie institutionnelle : prendre l'enfant dans sa globalité, dans un espace de rencontre, assurant une fonction contenante dans un espace

à de jeunes déficients intellectuels moyens ou profonds, autistes ou à tendances autistiques, souffrants de troubles de la communication. En effet, je constate que le travail mené avec ces jeunes était sans cesse confronté à divers obstacles : automutilation, difficultés à communiquer, stéréotypies, résistance aux changements, repli sur soi, rituels,... Face à cela, je me trouvai, comme toute l'équipe éducative, impuissante, désarmée. Par manque de méthode et d'outils ainsi que par inadaptation