Autoportrait Du Chapeau Au Feutre

seul héritier de sa vie, de son œuvre. DESCRIPTION DU TABLEAU Ce tableau s’appelle « Autoportrait au chapeau de feutre ». Il a été réalisé pendant l'hiver 1887-1888 à Paris. C’est du pointillisme, auquel l'artiste s'est beaucoup intéressé durant cette période. Il s’agit d’un cadrage coupé à la poitrine. C’est un arrière plan neutre. Au premier plan, on voit le peintre vêtu d’une chemise bleue et d’un chapeau avec un regard fixe.

de la pièce (costume sombre, chemise rayée et cravate foncée), il porte des lunettes, ce qui lui donne l’air d’un étudiant sérieux Le personnage reste le même. Claudio : costume noir, chemise blanche, cravate noire, lourd pardessus noir, chapeau de feutre, Page 2 lunettes à monture épaisse et attaché-case, c’est un homme important et inquiétant. Marianne :son costume accompagne son évolution. • I1, tailleur blanc cassé, longue veste, jupe droite sous le genou, mantille brodé fermement

l'explorer la réflexion jusqu'au bout. P.7 36: Sans titre de Morris En général, son travail n'est pas reconnaissable, il exerce dans différents domaine d'expression: – esthétique du désordre – jeux de miroir – différent matériaux: tissus, feutres – jeux avec la nature et le miroir Comment aborder l'art contemporain? – Des réactions parfois très négatives, surtout venant de la presse. – l'individu est souvent ridiculisé par cet art contemporain qui ne le comprend pas – faut se demander

troisième personne. narratifs littéraires Texte A A Étudier les composantes du récit 1. 5 Distinguer histoire et narration LE CÔTÉ SUBJECTIF 5 10 Je n’étais pas mécontent de ma vêture, ce jourd’hui. J’inaugurais un nouveau chapeau, assez coquin, et un pardessus dont je pensais grand bien. Rencontré X devant la gare Saint-Lazare qui tente de gâcher mon plaisir en essayant de me démontrer que ce pardessus est trop échancré et que j’y devrais rajouter un bouton supplémentaire

Gregor peut se permettre de puiser sans retenue dans celui de la compagnie locale. Ces nuits-là, dès qu'il va mettre ses appareils en marche, on prend d'abord soin de se protéger. Lui et ses assistants sont juchés sur des semelles de liège, gantés de feutre ou d'amiante isolants et assourdis de coton jusqu’aux tympans. Puis, une fois le déclencheur manœuvré, des éclairs éblouissants commencent à se succéder, plus denses et prolongés que ceux d'un orage naturel, parcourus d'aigrettes scintillantes, épineuses

phosphorescents). En reflet à cette tête d’animal monstrueux, le personnage de femme présente une expression de terreur (bouche ouverte et yeux exorbités) ; elle semble être la victime de l’animal. Au premier plan, S. Holmes (reconnaissable par son chapeau, son manteau, son physique aristocratique.). Il est intrigué par quelque chose, très attentif, alors que derrière lui, au second plan, un homme écarquille les yeux et semble horrifié par ce que voit Holmes. (Ce n’est pas Watson, mais Baskerville

présence de ces deux illustrations est justifiée par la présence dans l’extrait choisi de ces trois personnages. Ces illustrations aident le lecteur à se figurer plus précisément l’époque à laquelle se situe l’action, grâce aux costumes (redingotes, chapeau) et aux coiffures. De plus, l’observation de l’aspect physique des personnages (taille, corpulence…), et de leurs postures, fournit des indications qui renforcent ou complètent celles du texte. Dans l’illustration de la page 42, le père Goriot, maigre

lit les lettres qu’elle m’écrit où malgré elle les souvenirs se pressent en foule sous chaque mot. Me voilà donc comme un autre Marius sur les ruines d’une Carthage que sont mes amours défuntes. artyuiop Guillaume Apollinaire Marie Laurencin Autoportrait - 1920 Pardonnez-les-moi, Madeleine  ; voilà pour «  Zone  » et aussi pour l’ensemble de Case d’Armons si jamais je vous l’envoie ; « Le Pont Mirabeau » est aussi la chanson triste de cette longue liaison brisée avec celle qui ayant inspiré « Zone »

et avec les autres parties. 35 LE POINT Le point est en lui-même une forme, la plus petite unité de perception que notre œil puisse voir. Ses dimensions dépendent de plusieurs facteurs: • l’instrument qui le dessine (crayon, plume, crayon feutre, pinceau, etc.); • la pression exercée par la main qui le trace; • le support sur lequel il est dessiné (papier lisse, papier rêche, toile, etc.). Le point est le signe conventionnel et l’élément de base du système servant à imprimer les images: la

plutot par la toi… – Non, laisse-moi. – Allez, viens quoi… Viens… Pourquoi t'enleves pas ton tee-shirt? – J'ai froid. – Viens je te dis. – Il est bizarre, non? – Completement givre… Tu l'aurais vu partir tout a l'heure, avec sa canne et son chapeau de clown… J'ai cru qu'il allait a un bal costume… – Il allait ou? – Voir une fille, je crois… – Une fille! – Ouais, je crois, j'en sais rien… On s'en fout… Allez, retourne-toi, merde… – Laisse-moi. – He, Aurelie, tu fais chier a la fin… – Aurelia