Autoportrait En Soldat

une éducation artistique par sa mère puis prend des cours de peinture et entre à l'école des arts appliqués de Dresde. Il s'essayera au cubisme, au futurisme ainsi qu'au dadaïsme. Première guerre mondiale: Dix est engagé volontaire en tant que soldat lors de la 1ere guerre mondiale. Il combattra en France et en Russie; dans les tranchées de l'Artois et de la Champagne. Cette période le marquera énormément: L'horreur ou les conséquences de la guerre deviendront alors sa source d'inspiration principale;

miroir (Alberti) et se réfère donc directement à l’autoportrait. Au-delà de l'introspection, l'autoportrait fut une manière commode d'exercer sa technique (le modèle le plus facilement disponible étant soi-même). On note l’apparition des premiers autoportraits dès le xiie siècle dans les enluminures, mais ils s'apparentent en fait à un procédé de signature (celles-ci étant souvent accompagnées du nom de l'exécutant) plus qu'à de réelles expressions picturales. Le procédé consistant à se peindre parmi

Les éléments iconographiques Panneau de gauche : des soldats en armes portant sac au dos (il est possible d’identifier là les armes et l’uniforme portés par les poilus) tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, masse aveugle avançant d’un même pas vers le front et ses atrocités. La brume entoure les soldats comme si il etaient inéxorablement pris au piège. Panneau central : Alors qu’aucun

engagé volontaire au début du conflit de la première guerre mondiale et qui en revient révolté et pacifiste. Cette œuvre est donc celle d'un homme qui a vécu l'horreur et l'inhumanité de la "Grande Guerre" et qui témoigne de son expérience de soldat en représentant un champ de bataille où la mort et la cruauté règnent en maîtres. Otto DIX réalise La Guerre entre 1929 et 1932 c'est à dire plus de dix ans après l'armistice, à une période où les idées nationalistes trouvent de nouveau une place

d'animaux dans un espace fermé. Organisé comme une frise, Guernica peut être décrit de gauche à droite : On voit une femme criée avec son enfant dans les bras, derrière elle, on trouve un taureau et un oiseau suivi d’un cheval, au premier plan à gauche un soldat tenant une fleur et une épée git au sol, A droite, en bas, une femme, un genou à terre. Au-dessus d'elle, un personnage ‘’fantôme’’ portant une bougie. Enfin, à droite, une femme prisonnière des flammes et levant les bras. La scène est éclairée par

SOUVENIRS DU CAMP DE CHALONS AU_ LT COLONEL D’EGGS GUSTAVE LE GRAY, 1857 Autoportrait Gustave Le Gray, vers 1850-1852 Tirage sur papier salé d'après un négatif sur verre au collodion Ancienne collection Georges Sirot Gustave Le gray Gustave Le Gray (1820-1884) était, au même titre que Nadar, Gustave Le gray Gustave Le Gray (1820-1884) était, au même titre que Nadar, Charles Nègre, Henri Le Secq, Edouard Denis Baldus, les frères Bisson, Roger Fenton, un des photographes phare du XIXe siècle

TOURNE MAL 1. Le cadre romantique : Une nuit d’été, « sans air » (v.1), sous « la lune » (v.2), un espace naturel : « vert sombre » (v.3), « massif » (v.5), c’est le cadre idéal pour une ballade romantique. Au vers 5 : il y a un chant. « Ton soldat fidèle » (v.7), c’est un cliché de la littérature courtoise du Moyen Age. Les points de suspension dans les tercets donnent de la rêverie, du calme à la scène. « Un chant dans la nuit sans air…/ (…) …Un chant » (v.1-4), pause pour écouter le chant

et hautement politique. La série Soldier, réalisée à New York entre 2004 et 2005, se compose de portraits de soldats américains ayant servi en Irak et en Afganistan durant la guerre. Le cadrage est systématique : tous ont la tête allongé sur une table, le visage et le cou découvert. Parfois le regard absent, pensif, ou fixant l'objectif de l'appareil, ces portraits de jeunes soldats laissent le spectateur songeur, ces images nous livrent à la fois une vulnérabilité et une innoncence juvénile

exploitation est décrite comme une longue agonie ("assassine", "sang qui coule goûte à goûte"), qui s'accompagne d'un sentiment de souffrance ("larmes", "douloureux"). Outre ces termes qui renvoient à des attitudes humaines, une comparaison ("Comme un soldat blessé qui veut mourir debout") complète la personnification. L'assimilation de l'arbre à un être vivant annonce la comparaison du pin avec le poète, qui devient explicite dans le dernier quatrain.(...) Enfin, la dernière strophe rend explicite le

soir (panneau de droite), alors que les panneaux centraux ont des couleurs plus chaudes au premier plan, et froide à l'arrière plan (pour le panneau central). d) Description précise et composition Sur le panneau de gauche, on peut voir des soldats en armes portant un sac à dos (il est possible d’identifier là, les armes et l’uniforme portés par les poilus). Ils tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité. La composition