Autoportrait Murillo

 J'ai choisi cet autoportrait pour des raisons diverses : -J'aime beaucoup le style de Van Gogh ; comment il peint ses toiles et surtout les émotions qu'il fait passer à travers ses œuvres. Celle-ci nous montre un homme seul et très atteint par cette solitude. Ici la tristesse de son visage est accentué par la façon dont il a peint ; tous les traits de peinture tournent autour de son regard qui nous transmet les émotions ; on dirait presque une forme de folie du à la forme ronde

Van Gogh et Gauguin, des impressionistes ? Etude qui propose une comparaison de deux artistes à travers deux de leurs œuvres : l'"Autoportrait à l'oreille coupée" de Vincent Van Gogh et "L'esprit des morts veille" de Paul Gauguin. 2030 mots (approximativement 5.1 pages) | 0 sources | 2008 Résumé: Van Gogh et Gauguin sont deux artistes dont les chemins se sont croisés à Arles en 1888. Malgré de nombreuses divergences, la présence de chacun a apporté à l'autre un aspect nouveau de leur création

domestiqué par l'homme. Murillo, (1618-1682) Autoportrait, Autoportrait en Trompe l'oeil, il tente de sortir du cadre, Il représente des gens ordinaires dans des activités de quotidien sur ses tableaux, pas du tout idéalisé. Il représente aussi des enfants pour ce qu'ils sont ( mendaiants, enfants abandonnés simplicité de vie ... contraire de Caravage) Les doigts pointent les personnages principaux, pouce nous, index dées, majeur - annulaire - auriculaire petits garçons. Murillo, L'immaculée Conception

Vélasquez. C’est comme si on se trouvait à leur place et que c’est nous que Vélasquez peinait. En réalité à la place d’être un portrait du Roi et la Reine c’est un portrait des Ménines. En plus il y a Vélasquez dans le tableau donc c’est aussi un autoportrait. Il y a aussi l’infante et 2 Ménines à ces cotés, une naine, un chien, un ecclésiastique et une gouvernante. Il y a aussi un type dans le fond ce qui donne de la profondeur au tableau. C’est une simple scène de genre : l’infante vient

l’Italie. L’adoration des mages : influence gothique, évocation de ruines antiques Dürer se mit à la recherche d’une formule capable d’expliquer ce qui fait la beauté du corps humain. ------------------------------------------------- Œuvres : autoportraits, St Jérôme, gravures : l’apocalypse. ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- CRANACH : Vénus et Cupidon, l’âge d’or. ------------------------------------------------- -------------------------------------------------

* 7ème poème : « Les effarés » Ce poème inspiré par les petits mendiants de Charleville accroupis un soir d'hiver devant le soupirail d'une boulangerie est un tableau de genre, croqué, dira plus tard Verlaine, avec le crayon de Goya ou de Murillo, quelque chose à la fois de « gentiment caricatural et de si cordial », une scène réaliste mais où semble passer aussi un lointain regret de la chaleur du sein, de la tendresse du foyer que Rimbaud enfant n’avait guère connue. Il y a mis une part

scènes de genre, des paysages, des natures mortes, des portraits ou des peintures d’histoire. Rembrandt le maître de l’art baroque européen. Rembrandt s’est illustré dans les portraits de ses contemporains, les autoportraits et les illustrations de scènes de la Bible. Dans ses autoportraits l’artiste se représente sans vanité et avec la plus grande sincérité. C’est grâce à sa connaissance des textes bibliques, sa compréhension de la composition classique et son observation de la population juive

Jardinière (Raphaël) faisaient partie de la collection de François Ier (il acquit la Joconde en 1519). Les Noces de Cana (Véronèse) proviennent du pillage d'un couvent à Venise en 1798[3]. Le Jeune Mendiant (Murillo) a été acheté par Louis XVI en 1782. La Dentellière (Vermeer) ou le célèbre Autoportrait au chardon (Dürer) ont été achetés par le musée respectivement en 1870 et en 1922. Enfin, le Christ en croix du Greco n'a rien coûté au musée, qui l'a récupéré au palais de Justice de Prades (Pyrénées-Orientales)

d’allitérations. * 7ème poème : « Les effarés » Ce poème inspiré par les petits mendiants de Charleville accroupis un soir d'hiver devant le soupirail d'une boulangerie est un tableau de genre, croqué, dira plus tard Verlaine, avec le crayon de Goya ou de Murillo, quelque chose à la fois de « gentiment caricatural et de si cordial », une scène réaliste mais où semble passer aussi un lointain regret de la chaleur du sein, de la tendresse du foyer que Rimbaud enfant n’avait guère connue. Il y a mis une part

(1606-1669) 1653 Le sacrifice d'Isaac 1654 Bethsabée au bain tenant la lettre de David 1664 Lucrèce 1669 Le retour du fils prodigue  Vermeer (1632-1675) La jeune Fille à la perle La Dentellière La Laitière  Bartolomé Esteban Murillo (1618-1682) Garçon et chien Le Jeune Mendiant La Vierge du Rosaire  Juan de Diego Velazquez(1599-1660) Les Ménines Vénus à son miroir Les fileuses  Peter Paul Rubens (1577-1640)