Autoritarisme

Dualité Marguerite / Marie a elle aussi une dimension symbolique. Elle sont en fait les deux tendances de notre esprit : la passion et la raison. Elles sont les deux principes vitaux complémentaires (yin et yang) froid et chaud, féminin et masculin (Autoritarisme de Marguerite) passivité, activité etc. Et au centre Bérenger, c’est l’être humain. C’est chacun d’entre nous aux prises avec ces deux tendances contradictoires Quand Ionesco écrit « ce n’est pas la bonne voie » l.44 cf. livre tibétain des morts

bonheur, chavez est de plus en plus perçu comme un homme autoritaire possédant tous les pouvoirs et à la tête d’un projet souvent vue comme totalitaire. Ainsi on peut considérer que l’autorité hyperpersonelle de chavez oscille entre populisme et autoritarisme. De plus s’est une véritable désillusion qui s’est opéré pour le peuple vénézuélien, passant d’un imaginaire de l’opulence de tous à une société ou violence, corruption et pénuries se font sentir. En outre, l’opinion que porte le peuple à propos

devise des Lumières. » I – Le contexte historique La mort de Louis XIV en 1715 fait souffler un vent de liberté sur la France. Les dernières années du règne se sont en effet révélées très sombres (guerres, famines, persécutions religieuses, autoritarisme du roi…). Le climat change, la vie intellectuelle se développe, en particulier dans les Cafés et les Salons parisiens, tenues par des femmes cultivées (Madame du Châtelet, Madame Du Deffand…) où se rencontrent les esprits les plus brillants qui

Isabelle qui ont entrepris le métier de comédien ; Alcandre lui vante alors les vertus du théâtre et fait ressortir le bien-fondé du choix des jeunes gens, emportant l’adhésion du vieux père enfin rasséréné. Thématiques principales Thèmes : • Autoritarisme paternel : Thème très abordé au XVIIème siècle, Clindor est rejeté par son père car il voulait être comédien, l’a mené en exil pendant 10 ans pour que finalement Primadant regrette son geste et cherche à retrouver son fils. Se voit dans scène

pas ces quelques éléments déterminants, on ne pourra pas comprendre les enjeux des accords de Grenelle. Pour les plus engagés, la France est au bord de l’insurrection. La république française récolte des critiques de toute part : on dénonce son autoritarisme, son excès sécuritaire, son manque de liberté, la capitalisation de la société, les dangers de la société de consommation, les conditions au travail... Le chômage ne cesse de progresser et devient la hantise de tout salarié. Sans atteindre des

autres approches et vécus du judaïsme. Il est la conviction qu'il faut par tous les moyens imposer aux autres Juifs (ou citoyens d'Israël) des normes que ces derniers n'ont pas choisies en âme et conscience. Parmi les religieux, on trouve cet autoritarisme nombriliste qui leur fait sans cesse ressasser que seuls les « grands maîtres de la génération » sont avisés pour se prononcer sur les graves questions de l'heure. Ils ne s'aperçoivent même pas que cette notion est déjà un parti pris, ni que

pour leur pondération, comme incapables de faire une opposition acharnée aux idées des autres». Par cette phrase, Tite-Live critique à nouveau Auguste, déclarant clairement qu’il ne sait agir avec réflexion et modération mais plutôt avec force et autoritarisme. * * * Ainsi qu’en témoigne Tite-Live, la République a permis une démocratisation de la cité romaine avec l’instauration de nombreuses institutions dont le décemvirat, rédacteur de la loi des XII Tables. Cette démocratisation a par cette loi fondatrice

départ pour les iraniennes. Les conséquences sont à la fois bénéfiques et néfastes. D’un côté, le recul du clergé dans l’administration permet le développement d’une économie moderne. D’un autre côté, les réformes sont appliquées avec autoritarisme, entraînant de sévères répressions pour les plus virulents. Les réactions viennent surtout du clergé et de minorités telles que les Kurdes. En 1926, la situation économique en Iran est désastreuse. Le pays est en retard par rapport à d’autres

l'obéissance est incompatible avec la liberté, le même problème se pose dans le cadre du terrorisme religieux, si l'obéissance a lieu sous la terreur, elle annule toute autonomie (4-5), toute liberté ; l'autorité n'en est pas une, elle se transforme en autoritarisme. A partir de cela Spinoza distingue deux cas de figures politiques sous la forme d'une hypothèse (7-11) ; le premier cas caractérise le despotisme, l'obéissance et la liberté ont inconciliables « la fin de l'action n'est pas l'utilité de l'agent

l’instance des règles de la vie en société ». Si elle affirme une responsabilité individuelle, elle doit être adressée à un individu, excluant toute punition collective que nous avons pu connaitre en classe scolaire, par des profs se positionnant en autoritarisme. La sanction doit porter sur l’acte, si il n’y a pas de preuve, il n’y a pas de sanction. Ensuite on ne juge pas la personne mais ce qu’il a fait. Pour Pierre, ce n’est pas le fait qu’il soit hyperactif, qu’il y a sanction, mais bien sur l’insulte