Autorité de contrôle des assurances et des mutuelles

partenaires ont en général besoin d’étudier de près cinq domaines essentiels : 6-L’environnement La mise en œuvre d’efforts en commun pour s’informer sur l’environnement concurrentiel et technologique ainsi que sur le marché renforce la confiance mutuelle des partenaires, rapproche leurs points de vue et diminue le risque que chacun envisage l’alliance à sa manière. 7-Les tâches exécutées dans l’alliance. Les tâches que les partenaires considèrent, au départ, comme essentielles sont appelées à évoluer

…………………………………………...23 2-3 Choix du produit …………………………………………..…….23 2-4 Choix du modèle………………………………………………….24 2-5 Choix du marché …………………………………………………24 CHAPITRE III : La bancassurance dans le marché algérien des assurances Section I : Bref aperçu sur le marché algérien des assurances………………..28 Section II : La bancassurance en Algérie……………………………………..30 1- La législation…………………………………………………………..30 2- La convention de distribution type des produits d’assurance par les établissements financiers

le débat ancien dans la profession inauguré au début du XX°s par la Doctrine Germain). En raison de l'importance des activités bancaires dans l'économie d'un pays, les banques sont soumises à une législation stricte encadrant l' exercice et le contrôle de leurs actions . Collecter des dépôts, gérer et distribuer des crédits, délivrer des outils ou des services de paiements « bancaires » (chèques, cartes de paiement, virements, etc.) sont des activités réservées à des établissements agréés et soumis

Disraeli écrit qu’il y a désormais deux nations étrangères l’une à l’autre en Angleterre. Marx décrit la destruction des relations sociales traditionnelles entre ouvriers et patrons. Ils ne se connaissent pas personnellement, n’ont aucun respect mutuel et leur inégalité est moins fondée sur une hiérarchie de statuts que sur une différence d’argent (pas Downton Abbey, Lord Grantham et ses fermiers). Ils n’ont en commun que de s’être croisés sur un marché où les uns vendent et les autres achètent

D'Enron à Ahold en passant par Parmalat, les récents scandales financiers exposent à la critique les commissaires aux comptes, analystes, agences de notation, régulateurs et banquiers. Ils sont accusés de ne pas avoir pleinement joué leur rôle de contrôle ou d'alerte. Les plaintes de petits actionnaires s'estimant lésés s'accumulent en Italie, au fur et à mesure que les enquêtes progressent sur les scandales Parmalat et Cirio. Jour après jour, le grand public découvre des réalités insoupçonnées.

DIRECTION GENERALE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR ASSURANCE Septembre 2007 J.O n° 89 du 15 avril 2007 page 6884 texte n° 20 Ministère de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche Arrêté du 30 mars 2007 portant définition et fixant les conditions de délivrance du brevet de technicien supérieur « assurance » NOR: MENS0700823A Le ministre de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche, Vu le décret n°

INFORMATIONS MARCHE BANCAIRE Définition Marché bancaire (Source Trader-finance.fr) Le marché bancaire peut s’appréhender à travers les acteurs du marché bancaire (les banques, les autorités, la clientèle) mais aussi à partir des différentes offres et des différents produits proposés. Le marché bancaire français est un marché important puisque les banques françaises sont parmi les plus importantes en Europe et qu’elles emploient plus de 500 000 salariés en France (3ème employeur privé).

Droit des assurances : KETTANI INTRODUCTION Le droit des assurances est très récent et c’est une discipline qui est née d’un certain besoin (lorsqu’on a cherché à se prémunir contre les risques). L’assurance en tant qu’industrie est une technique relativement jeune. L’assurance est une activité qui naît du développement économique mais qui y contribue aussi. Son apparition est à peu près estimée à la fin du moyen âge. Sur le plan de la matière, l’assurance fit son apparition dans le cadre

vis-à-vis du serveur du commerçant ou du prestataire de services. L’absence d’identification forte et mutuelle crée des risques de fraude importants ; – la protection de l’ordinateur personnel des clients : celui-ci est, en général, peu protégé contre, par exemple, les tentatives externes de prise de contrôle de la machine, les attaques par des virus ou le chargement non sollicité ou non contrôlé de logiciels à partir de l’Internet. BULLETIN DE LA BANQUE DE FRANCE – N° 98 – FÉVRIER 2002 39

Enquête sur les rapports du président du conseil relatifs aux dispositifs de contrôle interne Sommaire 2 Sommaire .............................................................................................................................................................................................................................. 3 I. Périmètre de l’enquête.................................................................................................................