Autrui Est Il Mon Semblable

difficilement maîtrisable, y compris par moi-même. L’imaginaire, la rêverie sont des aspects spontanés de la pensée qui ne se laisse pas guider ou facilement dompter, pour ainsi dire, de l’intérieur. Comment pourrait-il l’être de l’extérieur, c'est-à-dire par autrui ? De cette capacité à penser par soi-même découlent toute la créativité et la richesse de la pensée individuelle que l’on peut aisément observer si on la laisse se déployer librement. Le succès toujours grandissant de tous les moyens individuels d’expression

AUTRUI INTRODUCTION Autrui s’impose à nous dans notre vie la plus quotidienne, que ce soit sur le plan affectif, pratique, moral ou intellectuel. A tel point que le mot solitude se définit par autrui, et non l’inverse (comme l’erreur se définit à partir de la vérité, et le néant par l’être.) A considérer la solitude, nous pouvons constater qu’il en existe deux sortes : - La solitude physique : qui se caractérise par l’absence physique de l’autre, mais qui en général est présent

PlanINTRODUCTIONI- Le traitement d’autrui dans la philosophie moderne (philosophie de la conscience) : autrui comme autre conscience ou subjectivité.II - Sartre : l’autre est indispensable à mon existence.A-L’existentialisme est un humanisme : autrui, condition de la conscience de soi.B- L’intersubjectivité et le duel des consciences.III- Le problème de la reconnaissance d'autruiA- autrui comme personneB- L'humanité en questionC- Le respect des différences : la tolérance.ConclusionBibliographie

le Moi et définit le Soi comme « la somme totale de tout ce que l'individu peut appeler sien » (1890).                    Le psychologue George Mead introduit l'idée de l'interaction sociale de l'individu et du rôle des relations avec les autres (autrui) dans la constitution du sentiment de soi. « L'identité est non pas une donnée génétique (un "attribut") mais un "processus", un objet que nous construisons petit à petit dans le contact avec les autres. Nous prenons conscience de notre identité

pensée et les sentiments puis dans un second temps nous verrons si est prudent de faire savoir tout ce que l’on ressent. Enfin, dans une dernière partie nous verrons si d’un point de vu moral il est bien de dire toute la vérité au risque de blessé autrui. Les signes que nous utilisons pour nous exprimer sont très variés. Nous pouvons utilisés de simples mots mais aussi notre corps (par exemple avec la danse ou le langage des signes). La richesse de notre vocabulaire, la grammaire et la conjugaison

|[Respecter autrui, est-ce respecter sa différence] | | | SOMMAIRE INTRODUCTION 2 DEFINITION DES CONCEPTS 3 Au-delà de la différence 6 « Autant de liberté que possible, autant d’autorité que nécessaire. » 11 CONCLUSION 13 Respecter autrui, est-ce

DEVOIRS ENVERS SOI-MÊME ET DEVOIRS ENVERS AUTRUI par Victor COUSIN Extrait de « Du vrai, du beau et du bien » ( 2e éd., Paris 1854 ) La dignité de la Personne humaine a un prix. Puisqu’elle s’attache à chacun d’entre nous, en sa qualité d’être humain et non en tant qu’individu, elle revêt un caractère indisponible et emporte des devoirs : devoirs envers soi-même et devoirs envers autrui. La méconnaissance de ces devoirs n’est pas seulement assortie de sanctions morales, mais aussi de sanctions

connaitre autrui ? L’existence d’autrui n’est sujet philosophique que depuis la découverte du Cogito par Descartes. En effet, si « je » est la seule certitude, le fait qu’il y ai un « autrui »peut être quelque chose de problématique. C’est alors que Descartes cherche a prouver l’existence de Dieu afin de prouver l’existence d’autrui. C’est donc le solipsisme, c’est-à-dire l’existence d’autrui selon Descartes qui nous amène a nous demander si il est possible que je puisse connaitre autrui ? Car

Une telle affirmation devra être établie en introduction, avant que soit posé le problème du devoir. La question porte sur l'idée d'humanité et se situe au croisement de plusieurs notions : autrui et l'anthropologie, principalement. Ses implications sont relativement semblables, concernent la nature et l'unité de l'homme : si un homme peut m'être totalement étranger, il n'y a plus d'unité ni de nature universelle de l'homme. Si inversement aucun homme ne m'est totalement étranger, cela implique

L'HOMME PEUT-IL ETRE HUMAIN SANS AUTRUI ? INTRODUCTION Tout au long de son existence, l'homme est entouré par des individus dont la présence d'autrui. Autrui est un individu singulier que je reconnais comme un sujet, il est alors défini comme un autre moi-même, mon alter-égo. Le fait d'être humain c'est appartenir à l'humanité c'est-à-dire à l'ensemble de personnes capables d'autonomie et méritant le respect. Être humain c'est donc appartenir à l'humanité tout en étant capable de respecter